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[Event 12.15] You draw me back in ▬ Groupe n°1

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Ven 31 Mai 2019 - 16:50


You draw me back in


J’étouffe un gémissement lorsque la gifle s’abat brutalement sur ma joue. Epuisée, je n’ai pas la force de lutter et mon visage part douloureusement sur le côté, m’offrant un goût métallique dans la bouche. Un goût presque agréable lorsque l’on mange uniquement de la merde ou le vide pendant plusieurs jours.
Une éternité.
La douleur pulse dans ma main, je ne cherche plus à retenir les larmes qui s’évacuent seules. Je tremble de froid, d’angoisse, de colère, de désespoir, mon instinct de survie me hurlant d’arrêter la résistance. A quoi bon ?

« Tu nous dois le respect à nous deux, petite vermine. Tu n’as pas à nous parler comme ça. Tu ne peux ouvrir la bouche que pour nous donner des infos ou pour hurler de douleur. Je hurle, me débat, insulte, supplie. La douleur est plus lente que la précédente, plus affreuse et insupportable. Et lorsque mon os craque, ma gorge semble se déchirer sous le cri sec. Un sanglot m’étrangle, la honte étant depuis un moment effacé. Affamée, assoiffée, souillée par mes propres déchets dans les mêmes vêtements, la dignité n’a plus sa place. Je ne supporterai plus la moindre forme d’insolence. Le regard baissé vers le sol, je suis incapable d’arrêter ce sanglot sec et presque sans larmes tant mon organisme se déshydrate. Cody t’a posé une question assez simple : quels sont vos prochains objectifs ? Et il attend une réponse. Il est plus patient que moi mais à ta place, je ne le mettrais pas en colère.
- Je comprends que tu en aies marre de cette situation. Que tu sois fatiguée de souffrir. Que tu aies envie de revoir tes proches. Mais pour avoir de nouveau droit à ta liberté, tu dois faire ta part du marché. À quoi ça sert de t’infliger toutes ses souffrances ? Que cherches-tu à prouver ? Les autres membres de ton petit club ne sont même pas là avec toi pour juger ta détermination. Ou peut-être que tu es sadomasochiste, qui sait… Mon esprit est épuisé, tout mon corps est en souffrance et je n’ai malheureusement pas la résistance d’une guerrière. Si j’en doutais, j’en suis maintenant certaine. Une part de moi essaie de me rappeler que ma seule vie n’est pas en jeu, mais mon instinct de survie prend le dessus malgré moi. La présence de Cody remplace celle d’Aiyana et se montre tout aussi oppressant. Je relève un regard humide. J’ai envie de croire à cette histoire de liberté, j’ai sincèrement envie de croire que si je déballe tout, peut-être aurais-je l’espoir de retrouver mon domicile, mon quotidien, que tout redevienne comme avant. Et l’horreur que je croise dans le regard de Cody me tétanise. Mon souffle s’accélère alors que je détaille ses yeux et surtout, ses crochets de serpents. Et à ta place, je ne mettrai pas Cody en colère non plus. Réponds à la question.» Mes yeux se fixent sur le poison qui fait désormais une tache sombre sur mon jean déjà sale. L’angoisse palpite dans mes tempes, envisage désormais le pire des scénarios. Ils sont tous deux capables de me laisser crever dans des souffrances abominables juste pour obtenir ce qu’ils veulent et je ne crois pas une seule seconde à cette possibilité de libération … Et si je déballe, peut-être qu’ils m’achèveront rapidement.
C’est égoïste, la honte me submerge. Et c’est lorsque je vois Aiyana qui s’apprête à pointer sa baguette vers moi, face à mon hésitation, que mes lèvres sèches articulent.

« V…Votre réseau de communication, à Oxford. Mes tremblements incessants hachent mes mots, mon regard rivé sur le sol. On devait le démanteler pour fin décembre, profiter des fêtes de fin d’année. Ça allait affaiblir vos transmissions pour nous permettre d’agir ailleurs. Détourner votre attention. Je viens de lâcher la bombe, celle qui va compromettre toute la suite des actions prévues et déjà, la nausée me tord les tripes. Je ne me suis jamais sentie aussi lâche et aussi misérable qu’en cet instant où ma seule envie est de disparaitre. J’connais pas les noms de mon équipe, j’sais rien de plus. » C’est un mensonge que je noie parmi mes aveux lâchés du bout des lèvres.
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Sam 1 Juin 2019 - 12:17
En s’éloignant pour laisser la place à Cody, Aiyana était presque déçue mais ce sentiment ne dura guère longtemps. Son camarade reprit le flambeau de manière tout à fait magistrale. Ce qu’elle pensait depuis le début se confirma bel et bien : ils formaient un duo très efficace. Cody joua la carte doucereuse de celui qui comprend, de celui qui offre une perspective d’espoir. Aiyana dû se retenir pour ne pas sourire face à ses propos. Il était doué et c’était absolument jouissif de l’observer. Bien évidemment, elle préférait être en première ligne mais la stratégie avant tout et il était important de jouer sur l’alternance. C’était ça qui viendrait à bout de Kezabel, alterner la souffrance et la lueur d’espoir. Parle. Parle et les choses se calmeront. Cody s’approcha alors un peu plus de Kezabel, Aiyana ne pouvait voir la déformation s’opérer sur son visage de là où elle était, elle vit que cette goutte tomber de sa bouche et former une tâche étrange sur le pantalon souillé de la jeune femme. Elle avait bien des questions à poser à son camarade depuis qu’ils avaient commencé à la mission mais cela allait devoir attendre.

Il y eut alors quelques secondes de silence. Cody semblait être proche du but mais Kezabel luttait encore. Aiyana leva alors lentement sa baguette sans avoir bougé de sa place. Il restait encore quelques doigts à tordre avant de pouvoir passer aux ongles. Mais visiblement, le geste suffit à éveiller la douleur chez la jeune femme et ses lèvres se délièrent. Aiyana fit deux trois pas en avant pour mieux entendre chacun de ses mots. D’un geste vif, elle sortir de sa poche un parchemin et d’un coup de baguette, les propos de Kezabel s’y imprimèrent. La jeune femme s’approcha alors d’elle, se plaçant à ses côtés sans pour autant gêner Cody. Ils arrivaient à la fin, ils avaient besoin d’être deux.

« C’est bien… »

Aiyana pointa alors sa baguette vers la main de Kezabel et d’un mouvement du poignet, remit un de ses doigts dans une position normale. Elle posa ensuite une main sur le haut de la tête de la jeune femme.

« Tu vois, quand tu coopères, les choses s’arrangent tout de suite. »

Aiyana avait toujours cet air froid sur le visage, sourire ce n’était pas spécialement son truc. Mais surtout, elle n’en avait pas fini avec Kezabel. La main qui était jusqu’alors posée nonchalamment sur le haut de son crâne attrapa alors brutalement ses cheveux et tira avec force la tête de la jeune femme en arrière. Leurs regards se croisèrent alors de nouveau et Aiyana tapota sa baguette sur la gorge alors offerte de la demoiselle.

« Mais tu vois, j’ai comme l’impression que tu cherches encore à nous prendre pour des idiots. Et je te l’ai dit, j’ai un gros problème avec l’insolence. »

La baguette d’Aiyana s’enfonça alors dans la gorge de Kezabel. Pas un sort formulé pour le moment mais cette pression exercée contre sa peau, contre cette partie de son corps qui ne pouvait qu’être vulnérable. Elle se pencha alors en avant pour venir glisser quelques mots à l’oreille de la jeune femme tout en la tenant toujours fermement par les cheveux.

« Alors crache ce que tu sais ou Cody se fera un plaisir de venir chatouiller cette jolie gorge. »
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Jeu 6 Juin 2019 - 17:40
Menaces et faux espoirs. Voilà où nous en étions rendus. Après tout il s’agissait d’armes puissantes dans ce genre de situation. La parole pouvait être à la fois porteuse des pires cauchemars et des plus belles libérations. J’étais la lueur d’espoir et Aiyana était le bourreau. Ça me rappelait ces vieux films d’action que ma mère regardait parfois durant les weekends. Ce genre de scénario policier dans lequel le baraqué était celui qui malmenait le suspect tandis que l’autre, plus à l’arrière, avait le beau rôle. C’était typique et extrêmement cliché comme manière de faire et je n’aurais jamais cru que ce genre de duo aurait pu fonctionner dans la vraie vie. Kezabel semblait montrer le contraire puisqu’elle ouvrit enfin la bouche pour donner des renseignements qui, de prime abord, me semblaient réels.

« V…Votre réseau de communication, à Oxford. On devait le démanteler pour fin décembre, profiter des fêtes de fin d’année. Ça allait affaiblir vos transmissions pour nous permettre d’agir ailleurs. Détourner votre attention. J’connais pas les noms de mon équipe, j’sais rien de plus. »

Mes traits reptiliens avaient fini par disparaître tandis que j’ingérais les paroles qu’elle venait de prononcer. Je me relevai légèrement et j’envoyai un regard en direction d’Aiyana qui ne perdit pas de temps avant de réagir. Sa baguette se pointa une nouvelle fois vers la main blessée et l’un des doigts reprit son angle normal. La seconde d’ensuite, ma collègue tira brutalement sur les cheveux de notre victime, forçant Kezabel à la regarder dans les yeux.

« Mais tu vois, j’ai comme l’impression que tu cherches encore à nous prendre pour des idiots. Et je te l’ai dit, j’ai un gros problème avec l’insolence. Alors crache ce que tu sais ou Cody se fera un plaisir de venir chatouiller cette jolie gorge. »

À cette dernière phrase, j’offris un sourire tranquille et tout à fait humain à Kezabel qui ne m’avait probablement pas vue. Je n’avais pas dans l’idée de la mordre, mais une nouvelle menace ne pouvait pas faire de tort.

- Je vois que tu fais des efforts, mais ce n’est pas suffisant. Si tu dis que tu ne connais pas les noms, je suis prêt à te croire. De toute manière que tu dévoiles quelque chose ou pas, la vérité finira toujours par éclater. Et si nous apprenons que tu as menti sur ce sujet, la carte blanche fera très mal crois-moi.

Nouveau regard vers Aiyana. Kezabel avait déjà goûté la douleur, mais elle devait bien se douter que nous ne nous arrêtions certainement pas là si l’envie nous en prenait. Et à voir comment elle était épuisée de toute cette pression, je me doutais qu’elle choisirait pour la facilité, soit la docilité.

- En attendant, nous sommes à la recherche d’autres informations. Quel est ton rôle précis au sein de cette organisation ? Tu dois bien en avoir un. Nous aimerions aussi savoir où se trouve votre quartier général. Encore une fois, soit la plus précise que possible. Plus tu fourniras de détails, moins la carte blanche sera puissante.
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Jeu 6 Juin 2019 - 22:10


You draw me back in


L’épuisement m’alourdit les épaules et la fatigue secoue mon corps de tremblement en même temps que cette angoisse qui n’en finit plus de grossir. Mon estomac se creuse sous la faim, mes lèvres écorchées et ma langue pâteuse par la soif … Je me demande de quoi vais-je mourir en premier.
Je n’veux pas mourir. Pas maintenant. Mes yeux me brûlent et je les ferme en serrant les dents, lâchant un grognement à la fois douloureux et de soulagement lorsqu’un de mes doigts se remet en place. Un soulagement de courte durée.
Une expression de douleur m’échappe lorsque mes cheveux son tirés brutalement en arrière, le visage d’Aiyana bien face à moi.

« Mais tu vois, j’ai comme l’impression que tu cherches encore à nous prendre pour des idiots. Et je te l’ai dit, j’ai un gros problème avec l’insolence. Alors crache ce que tu sais ou Cody se fera un plaisir de venir chatouiller cette jolie gorge. Sa baguette plantée dans ma gorge, je lâche un sanglot étranglé. J’en ai assez de tout ça, je suis fatiguée, je veux qu’on me foute la paix et qu’on me laisse croupir au fond de ma cellule jusqu’à en perdre connaissance.
- Je vois que tu fais des efforts, mais ce n’est pas suffisant. Si tu dis que tu ne connais pas les noms, je suis prêt à te croire. De toute manière que tu dévoiles quelque chose ou pas, la vérité finira toujours par éclater. Et si nous apprenons que tu as menti sur ce sujet, la carte blanche fera très mal crois-moi. En attendant, nous sommes à la recherche d’autres informations. Quel est ton rôle précis au sein de cette organisation ? Tu dois bien en avoir un. Nous aimerions aussi savoir où se trouve votre quartier général. Encore une fois, soit la plus précise que possible. Plus tu fourniras de détails, moins la carte blanche sera puissante. » Je sais qu’ils ne bluffent pas et dans mon cerveau usé, épuisé, je n’ai pas envie de tester leurs limites. Je n’ai plus la force de lutter, de jouer les héroïnes. Mon ventre et mon cœur se serre de constater que je ne suis rien d’autre qu’une lâche mais aussi une traitre. Que je suis entrain de mettre en danger toute une idéologie, tout un camp, des gens. Un paquet de personne. Une part de moi, celle qui me pousse à la facilité, me souffle qu’ils savent se défendre, qu’ils savent pertinemment que nous risquons de parler, non ? A moins qu’ils ne comptent sur nous pour jouer les soldats jusqu’au bout.
Je souffle, soupire, ferme les yeux.
Je ne suis pas un soldat. Et peut-être ne l’ai-je jamais été.

« J’sais pas. Je soupire, grimace sous la douleur qui pulse dans mes doigts jusqu’à mon coude avant de reprendre. J’sais pas où est à l’adresse. Ils nous la donne pas, le lieu de rendez-vous est différent à chaque fois. Et ça tombe sous le sens, surtout avec un rôle comme le mien. Je suis arrivée il y a à peine quatre mois au sein de l’organisation, je ne suis même pas certaine que ceux qui sont plus gradés que moi en savent plus à ce niveau-là. Je déglutis difficilement avec de poursuivre, la honte me rongeant les tripes et me donnant plus que jamais l’envie de vomir. Je… je n’suis qu’une activiste, j’ai aucun rôle. Sabotage des plans, libération des prisonniers, destruction de QG… je ne fais qu’exécuter les ordres qu’on m’donne. Je tremble de plus belle sous la poigne d’Aiyana, sous la menace de Cody, les larmes ruisselant sur mes tempes, le visage toujours levé vers eux. Je n’sais rien de plus … S’il vous plait. »
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Jeu 6 Juin 2019 - 22:11
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Pound the Alarm



Lundi 8 Décembre 2015 ▬ 6h du matin

La douleur et la pression on eut raison de Kezabel qui avoue toutes les informations qu’elle a en sa possession mais réussit malgré tout à ne citer aucun nom. Ce qui n’empêchera pas les Supérieurs d’avoir les informations nécessaires pour contre-carrer les plans contre la communication à Oxford. D’ailleurs, « grâce » aux aveux de Kezabel et de Kim à ce sujet, leurs ennemis ont pris à revers la Garde qui perdra, le soir du 11 Décembre, les trois espions qui se trouvaient sur place et qui leur fournissaient jusqu’ici les informations.
Aiyana et Cody remettront la jeune femme dans sa cellule sans soigner ses os brisés et sans lui apporter ni eau ni nourriture. Et si Kezabel pensait que le cauchemar s’arrêterait là, c’était sans compter l’insistance des Anthon pour faire payer Emily d’assombrir ce nom qu’ils veulent glorieux. Aiyana ayant quelques comptes à régler avec l’ancienne Poufsouffle, viendra elle-même la torturer chaque jours, à des heures aléatoires, pour décharger sa haine mais également honorer la demander de son mentor.

FIN DE L’INTRIGUE

Cette partie d’intrigue concernant le Groupe n°1, touche à sa fin ! N’ayez crainte, un autre sujet vous parviendra un peu plus tard, il vous faudra être un peu patient .

Merci à tous d’avoir participé, nous savons que cette intrigue a été plus compliqué pour certains. Sachez que nous prenons en compte toutes les remarques qui ont pu être faites et que nous en tenons compte. En espérant que tout cela vous a plu, parce que lorsqu’il n’y en a plus, il y en a encore MOUHAHAHAHAHAHAHAHA

En attendant, voici un petit résumé des évènements pour que vous puissiez prendre en compte certains éléments si vous le souhaitez Wink :

Kezabel : Déshydratée, affamée et torturée les jours suivants, la jeune femme sombre doucement dans le désir d’en finir et n’attend qu’une chose : que ses bourreaux en terminent avec elle. Entre illusions horrifiques, jouant sur ses peurs les plus profondes et ses os brisés puis ressoudés pour être mieux détruit par la suite, Kezabel ne croit plus en une liberté malgré son vœu sincère de retrouver ses proches. Sa raison s’éloigne au rythme des jours, son caractère de battante étant son seul point d’attache pour ne pas sombrer dans une folie certaine.

Aiyana et Cody : Les deux jeunes gens ont fait des prouesses depuis le début de leur mission. Grâce à eux, les Supérieurs ont pu prendre à revers la Garde et débusquer les trois espions se trouvant à Oxford. Ils seront largement récompensés par James Holt en les intégrant officiellement au sein du clan et seront considérer comme des membres à part entière des Supérieurs. Ils auront le choix de leur voie.
Aiyana ayant des comptes à régler avec Kezabel et parce que son mentor le lui a demandé, passera chaque jour à des heures aléatoires pour torturer cette dernière de multiples façons, usant d’illusions horrifiques, lui brisant ses os et bien d’autres choses mettant à l’épreuve son imagination la plus morbide.
Cody, quant à lui, se fout du sort de Kezabel. Le jeune homme préfèrera continuer sa vie tranquillement entre les murs de Poudlard, satisfait de ce qu’ils ont accompli en duo avec Aiyana.


A savoir:
Merci de ne pas RP au-delà du 13 Décembre.

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