■ Demande de don

Groupe : Citoyen
Don demandé : Occlumencie
Exemple de Rp :

Décembre 2004. Centre ville de Accra, Ghana. Les tibias posés sur un tapis tissés, yeux clos, paumes à plat sur les cuisses, Jane tente de faire le vide dans son esprit. Qu’importe votre tempérament il s’agit d’une chose extrêmement difficile à faire et bien que cela fasse désormais quelques mois qu’elle pratique la jeune femme est bien loin d’avoir atteint son but. Cette démarche elle l’a entrepris pour protéger son frère, Leroy, tout en gardant la possibilité de l’aider en connaissance de cause. Elle est là, avec lui, à chaque Pleine Lune. C’est elle aussi qui lui a permis de trouver l’aide dont il a eu besoin et qu’elle n’aurait jamais pu lui apporter. Elle a beau l’aimer de toutes ces forces elle ne sait pas ce qu’il ressent au plus profond de lui même, ces changements incontrôlés, cette vie soudainement bousculée. Il reste son petit frère mais elle voit dans le fond de son regard cet étincelle qui jusque là n’y était pas. Jamais elle ne lui montre qu’elle a peur quand elle sait que lui est terrorisé, l’instinct protecteur qu’elle ressent pour lui est plus fort que n’importe quel autre sentiment.

« Jane, concentre toi. »

La voix grave de Grace la ramène à sa concentration alors que son esprit dérivait et la crainte de l’intrusion à venir ferait presque trembler ses membres. Face à elle une amie de ses grand-parents, une sorcière puissante et déterminée, parfois dure, implacable. Grace est Legilimens et Occlumens, entrer dans l’esprit des autres n’intéresse pas Jane alors c’est pour le second don qu’elle l’a contacté.

Enseigne moi, a-t-elle dit un jour en se présentant à sa porte.

On n’apprend pas aussi facilement une fois adulte, il est vrai, mais portée par la volonté Jane sait qu’elle n’abandonnera pas. Personne ne l’oblige à faire ce qu’elle fait, surtout pas Leroy qui n’est de toute façon pour le moment pas au courant.
Dans son esprit la jeune femme de trente ans organise ses songes. Elle visualise des compartiments, des tiroirs qu’elle referme les uns après les autres. Aujourd’hui, après quelques mois, la précipitation n’est plus présente. Les « gestes » sont méticuleux mais elle le sait, Grace ne prévient jamais lorsqu’elle attaque. Gérer cette appréhension fait partie intégrante du processus mais pour l’heure l’anglaise n’a pas le contrôle sur cette peur.

Et elle est là, cette douleur indescriptible, cette sensation qu’on vient violer ce que vous avez de plus cher, de plus précieux et surtout de plus intime. Votre essence même. Elle sent les rayonnement de la présence de Grace dans son esprit, visualise des ondes qui encerclent ses pensées et les absorbent. Un hurlement silencieux dans la gorge elle lutte. Contre cette présence, bien sûr, mais contre la douleur surtout. La frustration s’invite ensuite, la jeune femme enrage de voir tout ce qu’elle est soudainement à la merci de quelqu’un d’autre sans pouvoir y faire quoi que ce soit.
Il lui faudra encore quelques mois pour parvenir à se faire maîtresse de ses propres perceptions, puis d’autres pour commencer à atteindre ce frémissement : Celui de la victoire, de la progression, de l’objectif atteint. La première fois que Jane a réussi à contrer l’attaque de Grace elle s’est évanouie juste après, pourtant lorsqu’elle a ouvert les yeux le cri de joie ne s’est pas fait attendre. Depuis ce jour tout s’est fait plus « simple » et aujourd’hui encore l’Anglaise passe voir sa mentor pour tester ses défenses. Pas parce qu’elle ne se fait pas confiance, simplement pour ne pas se reposer sur ses acquis. Ce don elle le maîtrise désormais à la perfection, douze ans après les prémices de son apprentissage. Le secret de Leroy est bien gardé et il n’est pas le seul.

Jane ne repart jamais de chez Grace sans avoir laissé souffler aussi bien son esprit que son corps. Une potion Calme-Tête, un sommeil profond pendant une demi heure, ensuite la sorcière lui offre un repas qu’elles partagent tantôt en silence, tantôt en échanges divers. Une fois la séance passée elles n’en parlent plus, jusqu’à se retrouver la fois suivante.

Groupe : Supérieur
Don demandé : Légimencie/ Occlumencie (Nb je l'explique beaucoup plus longuement dans la fiche)
Exemple de Rp :
Respirer. Se concentrer. Comme toujours et surtout ne pas perdre le contrôle. Les années avaient passé, défilé et il avait fini par s'habituer à devoir toujours se restreindre, ne pas laisser son don de légimens de vagabonder là où il le souhaitait même si ça restait quand même toujours instinctif. Même s'il comprenait pourquoi ce n'était pas bien de rentrer dans la tête des gens sans aucune autorisation ; les autres ne semblaient avoir la moindre idée de ce qu'Eux pouvaient endurer à quel point il fallait toujours être vigilent – même si ça devenait au fil du temps comme une seconde nature, que c'était intégré mentalement-. Cacher ses « pouvoirs », pour que le secret ne soit pas révélé à n'importe qui. Cacher sa vraie nature. Cacher au final peut-être sa propre personnalité. Roi du faux semblant.

Il aurait pu penser qu'au fil des années avec les cours d'occlumencie pour l'aider à se canaliser un minimum, certaines choses auraient été moins compliquées, comme par exemple le fond de migraine qui aurait disparu, qu'il devrait moins dans le contrôle constant... et ce n'était pas tout à fait vrai même si ce n'était pas faux non plus. Ce n'était même pas un juste milieu, disons que les douleurs étaient toujours présentes mais qu'il avait dû s'y habituer et que les cours l'aidaient à ce que ce soit moins contraignant. La fatigue aussi, toujours présente même si cela ne l'empêchait pas d'être quand même de bonne humeur, d'essayer de profiter un peu de la vie, d'être entouré d'autres individus. La journée, ça allait, la plupart du temps mais il avait toujours besoin de ses temps calmes, sans rien ni personne autour. Moments où il pouvait relâcher toute sa vigilance – ou, au moins la laisser au strict minimum-.

Oui, respirer, se concentrer. Par ce qu'il n'avait pas le droit réel à l'erreur. Mais à force de cours, d’entraînements, il était quand même arrivé à gérer son Don au mieux tant que les émotions fortes n'étaient pas présentes et qu'il partait parfois en vrille. Il savait aujourd'hui comment entrer dans la tête des gens, trouver un souvenir, une information – merci à son Mentor qui l'avait toujours aiguiller-. Il savait aussi qu'il pourrait ressentir certaines émotions de la personne qu'il « visitait » avait vécu dans ce souvenir, que ce soit la douleur ou autres, pas forcément au sens strict du terme, mais quelque chose de plus nuancé, d'indescriptible. Pas quelque chose de très enviable généralement, par ce que ce que l'on cherche, quand on le fait volontairement ce n'est jamais sur quelque chose de gai, et joyeux. On veut chercher, ce qui peut faire mal, ce qui peut nous servir, nous être utile.
Du travail, encore et toujours. Par ce qu'il y avait toujours de quoi s'améliorer aussi bien concernant la légimencie que l'occlumencie. Par ce qu'il n'y avait que comme ça qu'il pourrait devenir meilleur, et, peut-être un jour se contrôler en toute circonstance. Ambition, ultime. Probablement que c'était d'une certaine manière aussi son envie de rendre fiers parents, famille, Mentor. Ce dernier qui n'avait jamais été tendre avec lui, même lorsqu'il était haut comme trois pommes, qui n'avait pas toujours expliqué les choses comme il aurait dû, ne s'adaptant pas forcément à l'âge de l'époque. Mais peu importait aujourd'hui, le résultat était là et c'était tout ce qui comptait.

Et il faut bien avouer, qu'aujourd'hui il est bien content de savoir aussi maîtriser l'occlumencie. Lorsqu'on essaye de s'intégrer au monde, de se fondre dans la masse, il serait dommage de se faire repérer, de donner des informations à l'ennemi détesté. Si jusqu'il y a quelques mois, il considérait comme un petit plus, comme une aide pour se maîtriser lui-même et la légimancie, aujourd'hui, il y voit pas mal d'autres possibilités. Par ce que dans la guerre dans laquelle ils sont engagés, il est toujours bon de ne pas pouvoir entrer dans son esprit.

Groupe : Citoyen
   Don demandé : Vampire
   Exemple de Rp :

Demande de don - VAMPIRE

Hailey Moira Harding

Hailey ne se souvenait pas très bien de ce qui était arrivé le soir où elle avait été attaquée. Tout c’était passé si vite. Remontant l’avenue qui menait à son appartement, elle avait quitté la librairie vers neuf heures trente, comme à tous les soirs. Elle se souvenait de la pluie fine qui tombait. Elle embaumait l’air d’une odeur d’humidité et lui rappelait sa Louisiane chérie. Soudain, le néant. Elle s’était éveillée sur le sol d’une ruelle, à plus de 300 mètres de l’endroit où elle marchait plus tôt. La lune était toujours haute dans le ciel, mais quand elle regarda sa montre, elle fut choquée de réaliser qu’il était presque une heure du matin. La tête lourde comme du béton et la bouche ensanglantée, elle eut du mal à se lever sur ses jambes. Le goût de plomb dans sa bouche lui donnait les haut-le-cœur. Son omoplate gauche lui faisait si mal qu’elle ne réalisa pas qu’il lui manquait son veston. Un miaulement cristallin vint raisonner contre les murs de l’allée.

- Flocon, t’a une idée de ce qui s’est passé?

Le ragdoll blanc comme neige la dévisageait de ses yeux azurs, sa crinière volumineuse lui donnant un air autoritaire. Il était comme une gargouille immobile dont le regard était lourd de jugement. La petite blonde se dirigea vers la rue adjacente, se tenant contre le mur de brique pour éviter de perdre pied dans sa confusion. Un taxi passa miraculeusement tout près d’elle, après plus de quinze minutes de long pas trainant sur la principale. La bête se faufila rapidement sous le siège arrière de la voiture comme un ombre, Flocon avait l’habitude de suivre sa maitresse en toutes circonstances. Elle paya avec les vingt dollars qu’elle gardait dans sa chaussette, une vielle habitude de ses étés en Amérique. Elle n’avait plus de sac à main ou de cellulaire, heureusement qu’elle vivait en colocation avec une fêtarde qui verrouillait rarement la porte de derrière. Lorsqu’Hailey atteignit enfin sa chambre, elle ne prit même pas la peine d’ouvrir la lumière. Elle retira simplement ses chaussures et se laissa tomber lourdement dans son lit. Ce n’était pas la première fois qu’elle dormirait avec son jeans, mais cette nuit serait tout de même mémorable. La migraine semblait accompagnée d’une fièvre qui lui infligea des cauchemars atroces. Ce n’était pas comme les cauchemars qu’elle avait habituellement. Elle ne rêva ni de l’accident, ni d’être nue devant une foule pour faire un discours comme elle le faisait autrefois. C’était beaucoup plus violent, beaucoup plus macabre. Elle rêvait du corps de sa mère couverte de sang qui criait à plein poumon. Elle la suppliait, l’implorait d’arrêter. Elle rêvait de chiens qui l’attaquait et la mordait sur tout le corps. Elle se réveilla à peine quelque heure plus tard, sa peau perlant de sueur et le cœur toujours au bord des lèvres. Flocon était toujours là à la fixer, posé sur le rebord de la fenêtre entre-ouverte. Elle le dévisagea d’un air exaspéré et soupira bruyamment avant de sauter sur ses pieds. Elle ne se sentait pas au top de sa forme, mais ne pouvait pas non plus gaspiller une journée à Londres alors qu’elle avait tant de chose à découvrir et à apprendre.

La vision dans le miroir fut un choc. Elle avait toujours les lèvres et le bord de la bouche couverte de sang, un sang qui était maintenant foncé et asséché. Elle avait également du sang sous le col de sa chemise blanche. Lorsqu’elle la retira, elle découvrit une blessure étrange, mais la forme de celle-ci n’était pas le plus étonnant. Malgré la grande quantité de sang qui se trouvait sur sa chemise et séché contre sa peau, la blessure elle-même semblait déjà coagulé et légèrement guérit. Elle aurait probablement dû se poser plus de questions, mais la sensation de l’eau chaude sur sa peau lorsqu’elle entra dans la douche lui fit perdre le fil de ses pensées. Elle avait l’impression de ressentir chaque perle d’eau qui glissait sur son corps et nettoyé le sang collant était comme retirer une seconde peau. Ses inspirations semblaient plus profondes, plus satisfaisante. Elle s’extirpa de la salle de bain avec une toute nouvelle attitude. Elle se sentait bien, Très bien! Elle avait même faim. Peut-être… Des sushis…

(Part 1/Prélude à l’histoire de la présentation. Une perte de contrôle est imminente. Introduction officiel au monde des sorciers. )

Codage par Emi Burton

C'est vu, on te fait un retour rapidement

Hello hello, ici la référence vampirisme pour vous servir !

Alors déjà merci beaucoup pour ce beau texte !! Très agréable à lire et hâte de voir la suite ! Et hâte de voir les liens et les situations qu'on va pouvoir jouer en rp je sens que ça va être top !

Ensuite .... tu viens de nous poser une grande interrogation quant au temps de transformation d'une personne en vampire .

Je ne sais pas si tu as consulté ce lien =) : https://impero.superforum.fr/t4158-04-liste-des-dons-guide-vampirisme-lycanthropie#200046

Citation :

Il doit y avoir échange de sang entre le Vampire et sa "Victime". Une simple morsure ne suffit pas pour être transformé. A noter que la transformation est une étape très lente et douloureuse, non une partie de plaisir - Maux de tête atroces, sueurs froides, courbatures, vomissements, etc ... Et puis, la Soif. Merci d'en tenir compte.

C'est vrai que nous parlons d'une étape très lente et douloureuse (donc une nuit ça semble un peu court ) mais sans préciser de timing. Il faut garder en tête que dans le processus... bah elle doit mourir tout de même cette jeune fille . D'où le mal-être, la fièvre, les vomissements, bref pas une partie de plaisir xD.

Qu'en penses-tu, est-ce qu'il est possible de modifier un peu ton texte pour rajouter cette notion du temps de diffusion du sang de vampire dans son organisme - façon poison -, l'amenant plus ou moins au décès (sans forcément qu'elle n'en ai conscience) avant d'avoir en partie achevé sa transformation qui se terminera par le fait de boire du sang humain (quelque chose me dit que la colloc ne va pas faire long feu, j'ai bon ? hâte de lire ce dérapage !).
Avec en effet la notion de perte de contrôle très forte dans les premières années de vampirisme.

Merci beaucoup !

Rebonjour et merci pour vos réponses rapides!

Pour ce qui est du temps, il faut notez que son ‘’évanouissement’’ à durée plusieurs heures. Également, le sang autour de sa bouche faisait plutôt allusion au fait qu’elle aurait ingérer du sang, en plus de la morsure qui a été infligée à son épaule. Dans l’intention de garder une confusion sur son état, plutôt que d’avoir à impossiblement expliquer ‘’pourquoi elle ne comprendrait pas qu’elle est un vampire après avoir été mordue au cou’’, j’avais jugé cette explication plus plausible. Elle n’a aucune idée de ce qui s’est passé cette nuit-là et n’as pour l’instant qu’une migraine passagère accompagné d’une fièvre qui lui donne des cauchemars.

Elle n’est en aucun cas un vampire, son corps commence simplement à ‘’mourir’’ lentement, les effets secondaires se feront ressentir de plus en plus au fils du temps. Elle n’a pas encore envie de sang, un clin d’œil au sushi cru, et compte profité d’une journée dans les rue de Londres. J’avais évalué la transformation à deux semaines, plus ou moins.

Je peux changer le texte au besoin, j’avais simplement envie de garder du contenu pour les rp ainsi qu’un peu de mystère! Le rp était écrit selon la perspective d’une nouvellement mordue (première journée), le poison n’avait pas vraiment eut le temps d’affecter son corps. C’était plutôt son mental qui était criant durant ses cauchemars. Un souvenir lointain d’une nuit horrible que son cerveau avait décider d'oublié. C'est un traumatisme qui pourra être exploité plus tard.

Bref, je m’éternise Je peux fastfoward une semaine plus tard en réponse à ma demande si nécessaire! Ou dans ma présentation, y’à pas de soucis  

Spoiler:

Hailey Moira Harding a écrit:

Rebonjour et merci pour vos réponses rapides!

Pour ce qui est du temps, il faut notez que son ‘’évanouissement’’ à durée plusieurs heures. Également, le sang autour de sa bouche faisait plutôt allusion au fait qu’elle aurait ingérer du sang, en plus de la morsure qui a été infligée à son épaule. Dans l’intention de garder une confusion sur son état, plutôt que d’avoir à impossiblement expliquer ‘’pourquoi elle ne comprendrait pas qu’elle est un vampire après avoir été mordue au cou’’, j’avais jugé cette explication plus plausible. Elle n’a aucune idée de ce qui s’est passé cette nuit-là et n’as pour l’instant qu’une migraine passagère accompagné d’une fièvre qui lui donne des cauchemars.

Aucun souci pour le sang sur les lèvres, j'avais bien compris ça comme ça !

Citation :

Elle n’est en aucun cas un vampire, son corps commence simplement à ‘’mourir’’ lentement, les effets secondaires se feront ressentir de plus en plus au fils du temps. Elle n’a pas encore envie de sang, un clin d’œil au sushi cru, et compte profité d’une journée dans les rue de Londres. J’avais évalué la transformation à deux semaines, plus ou moins.

Je peux changer le texte au besoin, j’avais simplement envie de garder du contenu pour les rp ainsi qu’un peu de mystère! Le rp était écrit selon la perspective d’une nouvellement mordue (première journée), le poison n’avait pas vraiment eut le temps d’affecter son corps. C’était plutôt son mental qui était criant durant ses cauchemars. Un souvenir lointain d’une nuit horrible que son cerveau avait décider d'oublié. C'est un traumatisme qui pourra être exploité plus tard.

Bref, je m’éternise Je peux fastfoward une semaine plus tard en réponse à ma demande si nécessaire! Ou dans ma présentation, y’à pas de soucis  

Ah ça marche ! J'avais en effet pas pris ça dans cet angle-là mais ça roule.
Je pense que tu l'as en tête mais je le précise : ça va pas être simple d'avoir une toute jeunette transformée qui n'a pas de contrôle face aux humains si elle n'est pas nourrie, il faut en avoir conscience . Après on pourra se trouver des techniques je pense, pour qu'elle ait accès à des poches de sang ou quoi. Bref à voir en rp, mais juste que tu ais en tête ce truc-là ! Cela dit c'est hyper intéressant à exploiter et j'ai hâte de voir ce que ça va donner !!

Je vois avec les girls si c'est bon et je reviens !

Spoiler:

[/quote]
Rip,  pauvre colloc', on te regrettera !

C’est pour ça que le vampire m’inspirait tellement! Que deviens la morale et le paradis lorsqu’on devient un damné? Est-elle morte ou en vie? Et si elle rencontrait l’amour? On ne peut pas avoir d’enfants quand on est un vampire! Et les autres sorciers? La magie c’est une chose, mais être une vampire ?! Combien de vampires ont accomplit de grandes choses et font partis des livres d’histoires de Poudlard?! Aucun, sinon une vague mention en première année pour effrayer les enfants! Et son pauvre père, il va perdre la tête! Déjà qu’il refusait d’accepter qu’elle était une sorcière!

C'est bon, j'ai fini

Ouuuh j'adore !! Je sens que ça va être hyper intéressant sur la réflexion de fond qu'il y a derrière et les problèmes moraux qui sont associés, j'ai hâte de lire tout ça !!

C'est bon pour nous !

Hâte de lire la suite !!

Groupe : Supérieurs (général des raffleurs)
Don demandé : Legilimens
Exemple de Rp : TW; violence (très gratuite)

Il y avait quelque chose de très satisfaisant dans le fait que son don n'était pas inné comme cet ancien directeur de Poudlard. Il ressentait une fierté à l'idée que le sien avait été acquis au fil du temps. Des années qu'il avait mis à construire cette arme qui n'était pas donnée à tout le monde. Il vantait son intellect, c'était pourtant caché beaucoup plus profondément en lui que cette surface. Une prédisposition naturelle qu'il avait eut d'entrer dans leurs crânes, une chance qu'il n'avait pas laissée passer. Quelque chose qui aujourd'hui représentait une grande part du pouvoir qu'il avait sur autrui. Oui, Augustus adorait violer l'esprit des gens, leurs arrachés ce qui n'appartient qu'à eux pour leur relancer en pleine face. Un avantage certain lorsqu'on est Général à la tête des raffleurs dans un monde ou la trahison et la quête de vérité se trouve à chaque tournant.

Amasser des informations pour ses supérieurs, dénicher les cibles qu'il fallait abattre et déterrer les secrets les plus glauques dans l'espoir de faire chanter les opposants. Tout ça était bien joli, justifier. Il n'avait pourtant aucun besoin de raison ou de limite. Il se complaisait simplement à leur faire du mal, le reste était un bonus qu'il jalousait en vue de sa prochaine promotion. C'est donc le cœur légèrement joyeux et le sourire aux lèvres que l'homme au chapeau haut parcourait le petit couloir du sous-sol, tournant à gauche puis à droite sur un chemin qu'il avait déjà parcouru cent fois. Aujourd'hui était bien différent, celui qui l'attendait de l'autre côté de la porte n'en sortirait pas. On lui avait passé les ordres, faire disparaitre les preuves après avoir extrait tout le lait de cette amande. Il salua simplement le garde, posant ses doigts contre le rebord de son couvre-chef d'un signe gracieux. « Monsieur Blackblood. » « Bonjour Henry! Magnifique soirée, vous n'trouvez pas? » Le molosse eut un rictus étouffé qui fît sourire le maitre. Ils s'échangèrent un regard complice avant qu'il lui ouvre la porte comme à un roi, August retira son chapeau en entrant, comme si les manières étaient toujours de mise dans un pareil endroit.

« Ma chère, pardonnez mon retard. J'étais occupé ailleurs… Mais ne vous en faites pas, vous avez maintenant toute mon attention » Le bruit des chaînes qui retenaient la femme au plafond cliquaient sous le soubresaut de son corps tremblant. La rousse, vêtu d'une robe moche et sale, était dissimulé sous ses grandes mèches, son souffle était faible, tout autant que ses jambes qui la retenaient difficilement debout sous la fatigue. Il déposa son chapeau et sa cane contre le pupitre de la pièce, laissant son regard et ses doigts parcourir les dessins que quelqu'un y avait posé. Il ne savait pas à qui il appartenait, mais son œil critique aurait bien aimé lui dire que ses courbes tremblaient et que sa luminosité n'avait aucun sens. Il se détourna enfin vers elle, un sourire grotesque toujours accrocher sous sa moustache vaniteuse. Il extirpa sa baguette de sa poche intérieur. « Comment allons-nous aujourd'hui? » Il laissa le bout de ses doigts libres glisser contre le haut de sa poitrine, glissant entre ses courbes pour atteindre le haut de son ventre. La prisonnière releva brusquement la tête, lui crachant sa bave pâteuse au visage. La main d'Augustus l'abandonna, essuyant l'affront d'un œil vif avant de détailler la souillure sur ses doigts. « Vous n'êtes qu'un lâche, Blackblood. » La voix de la femme serpenta contre son échine, sa main se levant violemment pour aller claquer contre la joue creuse de sa victime. Claquement qui raisonna à travers toute la pièce, le parcourant de frisson agréable tandis que le visage de la femme se détournait sous sa force. Il l'attrapa ensuite par la gorge, resserrant pour s'assurer qu'elle n'avait plus envie de cracher. « Et vous une sale putain »

« Legilimen » Il n'attendit pas un instant de plus pour se glisser à travers son esprit, avide d'un peu de pouvoir sur cette femme qui n'avait maintenant plus peur de lui, elle devait sentir la fin approché. Ils devenaient tous téméraire, parfois même audacieux lorsqu'ils réalisaient qu'ils ne quitteraient jamais ce donjon. Ses yeux se givrèrent sur elle, déversant toute la concentration dont il était flanqué pour traverser son crâne jusqu'à sa matière grise. Blackblood était bourru et son attention tanguante, il avait du mal à ne pas poursuivre les cris de douleur qui raisonnait dans le vrai monde, devant redoubler d'effort pour rester concentrer et ne pas se perdre dans le chaos d'un esprit. Il parcourait les pensées qu'on lui offrait sans vraiment y prendre gare, cherchant uniquement quelque chose qui semblerait utile à sa personne, ignorant bien souvent que les maux les plus douloureux ne sont pas toujours ceux qui flottent à la surface.

Pour lui, c'était le cas. Si quelqu'un entrait dans l'esprit d'Augustus, ce à quoi il tenait restait à la surface, écrasant toute envie ou désir qu'il pourrait ressentir au cours de sa vie. Tuer. On trouvait même dans son esprit des songes qui n'étaient pas encore passés. Un bordel, pas étonnant que c'était comment il voyait les esprits d'autrui.

Il n'y avait pas grand-chose qui restait dans l'esprit brisé de cette femme, il se croisa même à répétition, salivant de pouvoir se regarder en train de la martyriser, comme une pellicule de ses accomplissements qui détournait son attention du reste. Il sourit, sa main se tordant contre sa nuque pendant que sa voix mielleuse s'élevait dans les airs. « On essaie de faire la maligne avec moi? Mignon. » Il savait qu'il était égocentrique, imbu de sa personne. Elle n'était pas la première à essayer de le dérouter en lui montrant un miroir. Comment pouvait-on lui en vouloir? Il aimait croire que tout le monde aurait fait pareil avec un tel pouvoir, que ceux qui disaient le contraire n'était qu'aveuglé par la jalousie.

À travers les méandres de son esprit, il avait l'impression de s'enliser, comme si quelque chose dans la normalité de leurs songes l'attirait. Tout était si étrange, si… Émotionnel. C'était le plus rebutant pour lui, devoir endurer les émotions des faibles, lui donnant la fâcheuse impression qu'il offrait de la valeur à celle-ci en les ressentant. Non, Augustus Blackblood ne ressentait rien. Depuis le jour où il avait été mis sur terre, son cœur était un désert aride ou ne régnait qu'une soif sans nom. C'est un écho d'émotion qui le conduit donc là où il avait envie d'aller. Là où il sentait que son âme s'affaiblissait, là où elle serait beaucoup plus facile à déchiffrer, à blesser. « On y est »

Les pleurs d'une enfant dans les bras de la rousse, les panneaux de rues qui défilaient à toute allure tandis qu'elles dévalaient le trottoir à grandes enjambées. Il pouvait sentir l'humidité de la nuit comme s'il y était, la peur dans son cœur lorsqu'elle avait compris qu'il ne les lâcherait jamais. Que lui, Blackblood, finirait bien par l'enfermer dans un cachots et lui voler ses secrets. Aucune divination, simplement quelque chose d'inévitable qui le ravissait tant. La peur qu'il insinuât dans le cœur des gens. Il poursuivit la mémoire encore un temps, la femme beaucoup trop épuisée pour tenter de le détourner, de le distraire. Dans sa douleur et ses tressauts, elle s'était mise à pleurer, sachant pertinemment ce que le général était en train de dérober à ses souvenirs. Lorsqu'il la relâcha enfin, sa tête tomba mollement vers le bas, toujours tremblante de cette douleur flamboyante qu'il s'était amusé à répandre. Il fit volte face, rejoignant le pupitre pour y prendre un chiffon avec lequel il s'essuya la main après avoir rangé sa baguette, comme si la toucher l'avait infecté. Il se pencha ensuite, prenant une plume avant d'inscrire une adresse contre le coin d'un croquis avant d'en déchirer une partie.

« Henry, envoyez quelqu'un à cette adresse, ce soir. Faites en une priorité et rapporter moi la gamine. » « Bien monsieur. » À nouveau le métal des chaines qui l'assourdissaient tandis que le corps de la femme trouvait une énergie divine pour s'agiter, lui étirant à nouveau ce sourire si carnassier qui le caractérisait tant. « Ne t'approche pas d'elle, Blackblood! Elle n'a rien à voir dans tout ça! » Il aimait quand elles criaient contre lui, ça lui rappelait la première fois qu'il avait couché… Que de bons souvenirs. Il se mit ensuite à détacher son veston après que Henry ais refermer la porte derrière lui, retroussant ses manches pour exposer ses avant-bras qui n'avait rien de musculeux. « C'est là que vous faites erreur, très chère. Nous faisons tous partis de cette guerre. Les sang-purs, et toutes les autres médiocrités dans votre genre qui vienne ensuite. » Les larmes fusaient sur le visage de la prisonnière, sa bouche tremblante et la tête lourde. Elle eut du mal à lever les yeux vers lui, le voyant à peine à travers ses pleurs. « Ce n'est qu'une enfant, je vous en pris. Je ferais tout ce que vous voulez, mais laisser la tranquille » Il eut un rictus amusé, hochant négativement la tête avant de se rapprocher d'elle, empoignant son menton entre ses doigts, ses ongles s'enfonçant dans sa chaire laiteuse. « Trop aimable… Mais je ne demandais pas votre permission »

Un nouveau coup sourd qui retentissait contre les murs, différent cette fois. Le bruit d'un poing qui s'abattait sur ce qui était autrefois une activiste pro-moldu. Augustus ne savait pas pourquoi il frappait aussi fort à cet instant, peut -être parce qu'elle s'était crue assez bien pour s'offrir à lui, peut-être parce qu'elle lui avait fait perdre un temps précieux à découvrir la localisation de l'enfant. Son bras se soulevait puis se rabattait sur elle comme si elle n'était rien, comme si elle n'existait déjà plus. Jusqu'à ce qu'il ressente enfin quelque chose, jusqu'à ce que son poing soit trop lourd pour le soulever. Jusqu'à ce que la femme ne soit plus. Bien piètre démonstration de courage pour un homme aussi grand.

On a bien vu, on te fait un retour rapidement

Hey Pour le don c'est bon pour moi nous !

(On a causé en privé, juste modifier l'absence du sortilège qui est nécessaire pour un légilimen non inné, et le truc sur Logan qui ne lui correspond pas - il n'est pas précis dans son approche de la légilimencie)

Voilivoilou

Groupe : Citoyens
Don demandé : Lycanthropie
Exemple de Rp : (sorry si c’est un peu long je compte le mettre dans ma fiche pour rééclaircir les points de Maxime 1.0, n'hésitez pas à me dire si c'est pas suffisant, d'autres infos etc. Je suis un peu rouillée )

Assise par terre, sur le tapis bariolé de Macy, Maxime se rend compte qu’elle n’avait jamais vraiment pris le temps d’expliquer son histoire à ses amis. William, par la force des choses, avait pris connaissance de sa condition et l’avait vue se transformer, une fois, la tête plongée dans une pensine, cherchant des réponses dans ses larmes. Elle l’avait pardonné depuis longtemps, mais depuis, ils n’avaient jamais vraiment abordé le sujet. Elle était lycanthrope, et c’était tout. Et ce n’est pas comme s’ils étaient ignorants sur le sujet : premièrement les grumeaux étaient des grosses-têtes dans tous les domaines, deuxièmement, William s’était entiché d’un autre loup et devait, par conséquent, comprendre la mécanique lycanthrope.
Mais ça n’était pas pareil, ça n’était pas son histoire, celle que lui demandait Macy, un peu hésitante, allongée de travers sur le canapé, squattant à la fois les genoux de Dean et ceux de William. Et si son rythme cardiaque n’était pas déjà élevé et irrégulier, Maxime l’aurait certainement senti louper un battement.

« J’sais pas, Macy.
— Je sais que c’est pas ton truc… Mais on sait pas. Et moi… ben j’veux savoir, et puis t’sais, avec les temps qui courent, on aurait peut-être une meilleure prise, un regard plus affuté. Et faudrait pas qu’on perde la face. Et ça m’intéresse, de savoir, de comprendre, enfin… Comme tu veux, mais je me dis que ça pourrait te faire du bien aussi et… » blablabla bla, blabla. Les deux mecs avaient déjà décroché, mais Maxime s’efforce de suivre les balbutiements épileptiques de la tige aux cheveux roses, consciente de l’effort qu’elle faisait pourtant de s’exprimer sur le sujet. En réalité, Maxime savait qu’il s’agissait d’une demande groupée, portée par celle qui avait le moins de chance de se faire renvoyer chier.

« Ok. »

L’inspiration prise, Maxime se redresse, percevant le silence curieux soudainement devenu la mesure de la pièce. Elle ne savait pas par où commencer, en réalité ne voulait pas, mais il le fallait. Son récit prit donc naissance le jour où elle et ses abrutis de potes avaient décidé de faire le mur, hors de Salem. À l’époque, tout était plus simple, les écoles n’étaient pas fermées et ils pouvaient encore faire les conneries qu’on fait quand on est adolescent. Doucement, les mots prennent forme et Maxime se replonge dans des souvenirs qu’elle mettait toujours de côté. Leurs sorties en forêt, leurs feux de camp, la douce odeur des joints qui tournaient. Dean et Maxime partagent ce souvenir avec le défunt Spencer, et s’il ne se permet pas d’ajouter son grain de sel, il sourit et hoche la tête alors que la lycan essaie de planter le décor. C’était en début d’année scolaire, en 2013. Elle se souvient des pas de course qu’elle avait entendu, de la sensation d’urgence qui soulevait sa poitrine alors qu’elle s’était mise à courir avec ses amis, consciente d’un danger grondant au cœur de la forêt qu’ils squattaient. Elle se dit, avec le recul, que les quatre délinquants avaient étés d’excellentes proies, facilement repérables pour le loup-garou qu’elle avait pris pour n’importe quelle autre créature possible d’une forêt moldue : ils n’avaient pas masqué leur odeur, leur présence signalée par le feu et par leurs rires trop forts. Maxime se dit qu’à la place du loup, et quand elle n’était pas capable de se contrôler, elle n’en aurait surement fait qu’une bouchée. Elle se souvient qu’elle avait dû aider Aaron, corps mort, trop défoncé pour comprendre l’urgence de la situation. Elle se souvient parfaitement des bruits de pattes derrière elle, la peur fusant dans ses veines, incapable de retrouver ni Spencer, ni Dean, elle se souvient la panique et l’horreur quand elle aperçut une masse noire, gigantesque, sortir de l’ombre, éclairée par le feu de camp. De grands yeux jaunes, perçants. Elle se souvient avoir tourné le dos à la bête, sans se douter un seul instant de sa nature. Elle se souvient la douleur qui avait électrisé son corps, brûlante, comme si elle avait plongé dans un bac d’acide. Son flanc avait gentiment accueilli la morsure.
Maxime, revenant au présent dans le salon de Macy, soulève son t-shirt et montre le tatouage de soleil qui marque l’évènement comme pour alimenter son propos. Après ça, elle ne se souvenait de rien, et encore moins du pourquoi et comment elle avait réussi à s’en sortir.

Désormais debout, une clope en main et fumant à la fenêtre (règle de la maitresse de maison), Maxime reprend son récit un mois après cette morsure. Les vacances d’octobre. L’évènement faisant coïncider sa première transformation et la disparition de Dean, qu’elle pensait jusque-là être la résultante de son inconscience et de sa méconnaissance de son état. La lycan a du mal à mettre des mots sur la première fois que ses os et sa peau ont craqué, à faire comprendre l’étendue de la douleur qui lui avait traversé le corps. Elle se souvient de son état erratique, la pleine lune approchante, elle ne comprenait pas pourquoi son être entier lui faisait un mal de chien. La fièvre, les tremblements, la confusion, le mal de tête. Elle n’avait pas compris cette colère, cette bestialité qui lui coursait dans les veines et s’était adressée à la personne en qui elle avait le plus confiance, avait appelé Dean pour l’aider alors qu’elle vomissait tout ce qu’elle pouvait.
L’américaine s’était donné rendez-vous avec son amant, en dehors de chez elle et de chez lui, incapable de penser correctement. Elle se souvient s’être écroulée en marchant alors que, la lune montante, ses os semblaient se briser un par un. Elle se souvient avoir hurlé, oublié la présence de son ami, sa peau s’étirant, comme mouvante, lacérée par des griffes invisibles. Cette douleur n’est pas si lointaine, et Maxime s’en souvient comme si la transformation s’était faite la veille. Elle se souvient avoir senti chacun de ses muscles, un par un, se contracter, se tordre, elle avait eu l’impression de percevoir chacun des changements dans son corps avec une acuité nouvelle. Elle se souvient s’être évanouie de multiples fois sous la douleur, pleurant sur les moments de lucidité claire où elle avait l’impression de mourir. Jamais encore elle n’avait fait l’expérience d’une telle clarté, d’une telle conscience de ce qui constituait son être maigre. Elle avait eu l’impression de percevoir très distinctement chaque organe, chaque os, chaque muscle, chaque nerf et de les sentir tour à tour s’étirer, claquer, se repositionner dans un ordre qui ne paraissait pas humain. Ça lui avait paru si long, des heures, et d’ailleurs elle n’a aucune idée du temps qu’a duré sa première transformation.

Et enfin, le doux soulagement de l’inconscience, quand elle avait senti son esprit se fracturer, proche de l’hystérie, quand elle avait cru ne plus pouvoir tenir, elle s’était évanouie. La louve avait pris le dessus.

Hey girl ! Contre toute attente (non), c'est validé . Ca fait tellement plaisir de te lire, t'imagines pas .

Yey ! Merci beaucoup C'est gentil, contente d'être de retour !

Bonjour

Groupe : Groupe de Myrddin
Don demandé : Lycanthropie please
Exemple de Rp : Je me permet d'écrire sur la nuit de sa morsure, puis faire sa première transformation  ^^

En pleine vacances avec un groupe d'amis, tu profites de quelques jours de camping, dormant pour la plupart à la belle étoile. Le ciel en cette douce nuit d'aout 2016 à Malaga, tu t'étais amusé à montrer les exploits de ton patronus à ton groupe d'amis. En vacances avant la nouvelle rentrée à Beauxbâtons, vous avez  envie de vous relaxez avant la reprise, profiter de la douceur de l'air espagnol.
Sous les rayons de lune, tu as du mal à trouver le sommeil, décidant d'aller te balader au clair de lune, tu te surprends à t'arrêter faisant face à la lune, observant le lac. Le reflet de l'eau semble te montrer le reflet d'Ádrian, que tu as perdu si tôt.

Perdu dans cette réflection, tu ne remarques pas une forme se mouvoir et te sauter dessus, venant te mordre en plein flanc, la douleur te fait vaciller et chuter, lâchant un énorme cri de douleur, sentant ton corps trembler. Alors que la pression de la mâchoire lâche ton corps, le laissant atterrir au sol, tu sens le liquide chaud qu'est ton sang coulé de la plaie.
La nuit étant douce, tu étais parti torse nu pour te balader, la bave de la créature coule sur ton torse alors que tu te sens terrifié, incapable de bouger, te sentant tétanisé suite à la vivacité de l'attaque.

Tes hurlements ont alertés l'un de tes amis qui arrive à la rescousse, dégainant sa baguette, un éclair de lumière vient frapper l'animal alors que tu te sens t'évanouir.
Tu te réveilles plusieurs heures plus tard, dans un lit d'hôpital, un établissement qui résiste encore aux Suprêmes, ton père à ton chevet.

Papà…Papà ¿Ay dios? je suis désolé…
Les larmes coulent le long de tes joues alors que tu sens la douleur te cisailler de l'intérieur, sentant ton corps céder à la morsure. Tu te rends compte de ce que cela va donner, ton père vient te serrer dans ses bras pour te rassurer en te disant qu'ils ne diront rien, que ta mère ne doit pas savoir.

Première Pleine Lune

La rentrée avait eu lieu, mais cette année, sans toi, ta nouvelle condition te fait douter de ta place à l'école, surtout avec les tournures que le monde magique prend, ce qui t'effraies tout de même.
Le 16 Septembre, tu redoutes cette journée, te sentant mal depuis déjà plusieurs jours, bien que tu prennes assidument la potion tue-loup que ton père à réussi à se fournir pour toi. La journée tu l'as passé dans ton lit, sous des plaids, le casque au niveau des oreilles, cherchant par tous les moyens à penser à autre chose.

Tu sens au fur et à mesure du déclin du soleil l'influence sombre des premiers rayons de lune, en entendant la porte de l'entrée s'ouvrir, tu te précipites dans le salon, le regard fiévreux.
Papà j'ai peur…aides moi…

Tu commences doucement à paniquer alors que tu sens ton rythme cardiaque s'accélérer, il vient te serrer contre lui, te demandant si tu as bien pris ta potion. Répondant par l'affirmative, tu te laisses aller contre lui.
Depuis la veille tu n'avais pas réussi à avaler un seul morceau, ton TOA prenant bien sa place, encore plus dans les moments où tu es le plus fébrile.

Quand la lune pointe son nez, ton père t'a pris avec lui dans la cave de la maison de sa famille, ayant utilisé différents charmes de protection sur le lieu, alors que tu entames ta transformation, il se métamorphose dans sa forme d'animagus, un furet pour t'observer et te montrer du soutien en sécurité.

Tu sens tes os se briser un par un, t'arrachant des hurlements de douleurs, tes chaires se déchirent en ton sein, ta peau s'étirant, tes muscles qui se déchirent à leurs tours te font arracher des hurlements déchirants. Ton père se retient de venir te soutenir, te voir dans cet état de souffrance le met très mal.
La nausée de douleur comprime ton estomac alors que tu sens ton corps changer, la respiration haletante, tu finis après un très long moment de souffrances, sur 4 pattes, tenant difficilement sur tes membres.

Tout se mélange dans ta tête alors que tu as du mal à comprendre l'ampleur des choses, la douleur s'imprègne dans ton corps et dans ton esprit, tombant au sol de nombreuses fois alors que tu as du mal à te stabiliser, sentant encore les changements se faire dans ton corps. Les murs semblent être une prison que tu aimerais démolir alors que tu te mets à renifler partout et à hurler à la lune.


(j'espère que ça vous ira)

Et me voilà pour ta demande !

Il faudrait que tu modifies un peu ta demande : la première transformation est beaucoup plus longue que ça, et il n'aura pas le même contrôle (même avec un tue-loup).

Ensuite, il faudra bien développer dans la fiche tout ce que être lycan implique (notamment ajouter les bases comme les changements de tempérament etc)....

Si tu veux plus de détails tu as le guide du lycan juste ici : https://impero.superforum.fr/t4158-04-liste-des-dons-guide-vampirisme-lycanthropie

je comptais développer dans ma fiche en fait
et oui c'est plus long mais je vais pas écrire 15 fois le mot douleur et souffrance

j'ai modifié

Ce que tu as mis :

Alejandro Feíjão a écrit:

La nausée de douleur comprime ton estomac alors que tu sens ton corps changer, la respiration haletante, tu finis après une bonne vingtaine de minutes de souffrances, sur 4 pattes, tenant difficilement sur tes membres.

Ce qui est indiqué dans le guide :

Citation :

La Transformation est loin d'être une partie de plaisir et est d'autant plus douloureuse que le sujet est un jeune Lycanthrope. Les premières transformations sont extrêmement longues et douloureuses pour l'individu

On parle d'heures ici

https://impero.superforum.fr/t4158-04-liste-des-dons-guide-vampirisme-lycanthropie#200046

Comme je te l'ai dit il vaut mieux le lire pour coller au mieux avec notre vision de la Lycanthropie.

j'ai modifié et j'ai lu

C'est bon pour nous !
Tu peux continuer ta fiche

super merci ^^