[SUJET COMMUN] St Patrick's Day - 17.03.16

Qui c’est qui va aller boire un coup et faire la fête ? C’est bibi ! Haut les cœurs tout le monde, le monde est terne, triste et angoissant en ce moment, alors profiter de la vie lui semblait bien. Il avait surtout de la chance de ne bosser que le matin, il avait donc le temps de rentrer chez Margo pour se changer et se préparer. Une fête dans le monde moldue, avec un peu de chance, tout allait à peu près bien se passer, n’est-ce pas ? Pas de supérieur, pas de Garde, pas d’attentat, en tout cas il fallait l’espérer ! Il n’avait plus envie de se prendre la tête avec tout ça juste prendre un peu de bon temps et oublier beaucoup trop de choses qui le rongeaient ! Et il fallait avouer qu’il était particulièrement de bonne humeur aujourd’hui.

Gary essaya donc de prendre des habits en adéquation avec le thème de la fête et se débrouilla pour être à l’heure pour le début des festivités ! C’était toujours mieux de commencer par le début, et surtout d’être là avant qu’il y ait trop de gens bourrés, qui commencent à se taper sur la tronche ou pire ! Et maintenant qu’il prenait un bain de foule, essayant quand même de rester là où il y avait une concentration de population un peu moins forte – faut pas abuser tout de même-, il essayait de trouver de vue quelqu’un qu’il connaissait. Esteban avait dit qu’il viendrait peut-être… Il savait également qu’il y aurait certain de ses collègues à un moment donné, et probablement d’autres personnes. Une pinte de bière à la main, il la sirotait, adossé à un mur, profitant pour l’instant de l’ambiance et surtout de savoir quelles activités il pourrait bien faire seul, ou s’il trouvait un/une compagnon de beuverie.

Est-ce qu’il était surpris de la rencontrer de nouveau cette jeune femme ? Oui, mais c’était surprenant alors qu’il y avait autant de monde qu’ils arrivent de nouveau à se croiser ! Londres était grand pourtant ! Néanmoins, il n’allait pas se plaindre, loin de là même, cela l’arrangeait peut-être même un peu ! Une connaissance, avec qui il s’était bien entendu la première fois et qui semblait encline à s’amuser, à rire, à miser sur les blagues, l’auto-dérision c’était plutôt une bonne soirée qui s’annonçait il fallait bien l’avouer ! Il se passa une main dans les cheveux avant de lui dédier son plus beau sourire !

« Effectivement, mais encore faut-il que tu sois une aussi bonne tireuse que moi… ou alors une mauvaise, tout doit dépendre de quel point de vue on se place.» plaisanta-t-il.

Gary avait ensuite laissé quelques instants de silence avant de reprendre la parole

«Tu as vraiment une magnifique chevelure verte ! Qu’est-ce que tu leur as mis dessus ? Tu vas pouvoir arriver à l’enlever facilement ? C’est genre le truc qui s’enlève après un shampoing.»

Il avait envie de toucher un peu, par ce que la teinture rendait bien mieux que tout ce que l’on pouvait voir – sauf les vrais teintures, mais dans la vie de tous les jours le vert fluo ce n’était pas quelque chose facile à porter !

« Bon alors… Quoi de neuf depuis la dernière fois ? Visiblement tu n’as pas eu de trauma crânien, bonne nouvelle ! Tu vas rejoindre des amis ?»

Une jeune femme sympathique devait forcément en avoir pas mal ! Alors il ne voulait pas non plus trop monopoliser son temps. Peut-être que si elle n’avait rien de prévu, il irait lui proposer de boire un verre – ou deux ; même s’il n’était pas certain d’arriver à pouvoir lui faire une conversation convenable, même si aujourd’hui il bossait, il avait donc beaucoup plus à dire qu’avant, surtout qu’il avait beaucoup plus la pêche, même si ce n’était pas encore toujours ça…

Est-ce qu’il était un peu émerveillé de cette couleur verte ? Oui. Il fallait bien l’avouer ! Ca faisait quand même un moment qu’il n’était pas sorti avec ce genre de fête, alors ce genre d’extravagance pour une journée avait le don de le fasciner, du moins à cet instant T. Il était à peu près certain que Neolina pourrait se faire une couleur aussi chouette et que ça lui irait à ravir, même si elle risquait de lui beugler qu’elle préférait les faire couleur de sa maison et pas à celles de Gatiss.

« Merci ! Pour un peu je pourrais croire que t’es un fétichiste des cheveux, entre l’autre fois et aujourd’hui… »
« C’est un peu vrai, mais ne t’inquiètes, j’ai une préférence pour ceux bien bouclés, je ne risque pas de te couper une mèche pour en faire je ne sais quoi.» dit-il en plaisantant tout en lui faisant un petit clin d’œil amusé. Bon ceci dit, il était vrai qu’il avait une nette et grosse addiction pour les cheveux d’Esteban.

Elle ne tarda pas à répondre à sa question et cela l’amusa beaucoup, elle avait pris un truc au pif et ça rendait ce résultat ! Et bah, c’est qu’elle avait de la chance, enfin de la chance, façon de parler… on ne pouvait pas dire ce truc c’était une réelle chance.

« J’en sais rien, j’ai pris un truc au magasin, c’était en promo. Normalement ça partira oui, enfin j’espère ! »
« J’espère pour toi… et si c’est pas le cas que tu auras des patrons sympas !»

Bon bah voilà, lui était déjà passé à autre chose et il prenait à présent des nouvelles sur la jeune femme tout en continuant de plaisanter sur un peu tout le sujet.

« Boh trop rien. Quoique en fait si, pardon : j’ai trouvé un travail, même deux en fait. Du coup j’ai de quoi me payer un petit loyer. Et non, je suis venue toute seule comme une grande ! J'ai pas tellement d'amis sur Londres à vrai dire. » Ben comme ça ils étaient deux… ou plutôt si, il avait quand même pas mal d’amis, ou plutôt quelques vrais amis, quelques connaissances et il ne savait plus trop où caser ses deux ex à part dans la catégorie obsession.. « Et toi ? »
« J’ai trouvé un boulot, et en gros je crois que c’est tout, mais c’est déjà pas mal ! Et je suis venu seul, j’espère que des amis me rejoindront ou certains de mes collègues de boulot, mais j’ai un énorme doute pour les uns comme pour les autres.» Temps de silence, passage de main dans les cheveux. « Et félicitations pour tout le reste sinon ; tu bosses où du coup exactement ? Et j’te propose du coup, historie qu’on ne soit pas deux cons qui attendent je ne sais quoi, qu’on reste un petit moment ensemble, le temps … et bien le temps que quelque chose ou quelqu’un arrive ? Ouais, c’est vague et ça ne veut pas dire grand-chose, j’espère que tu as au moins compris un minimum l’idée ?» C’est pas gagné Gatiss.

Il était curieux alors il posait pas mal de questions qui étaient franchement anodines. S’il avait pensé une seule seconde à une sorcière, il aurait probablement dit un mot « magique » histoire de voir sa réaction, mais là non, il était loin de tout ça. Il se passa une main dans les cheveux tout en racontant qu’il préférait les cheveux bouclés. Tout le monde s’en fout de cette info Gatiss, il va falloir arriver à l’intégrer mec par ce que là ce n’est plus possible ! Bientôt, avec les questions de la jeune femme, il lui racontait qu’il avait trouvé un nouveau boulot que pour l’instant il était venu seul ici. Bref en gros il sous entendait très fortement qu’ils pouvaient passer un bon moment ensemble !

- Ça me va. Et ouais, merci, félicitations à toi aussi du coup. Je bosse dans une boutique de fleurs, et le soir je fais le ménage dans les bureaux d’une entreprise.
- Ok, ça dit te faire de sacrées heures de travail quand même à partir si tu es à mi-temps avec les deux … ou à temps partiel.

Ceci dit cela ne le regardait absolument pas ! On se tait Gatiss, pas besoin d’en rajouter une couche. Il avait réussi à ne pas dire « oh c’est cool », par ce qu’autant être fleuriste pouvait être sympa, autant tout ce qui concernait le ménage à part dans de rares cas c’était plus un boulot purement alimentaire qui n’était pas forcément plaisant, mais peut-être qu’il se plantait… Lui tout ce qu’il voyait c’était des personnes qui se crevaient à la tâche pour un salaire de misère. Apriori ? Peut-être, possible, mais pas de certitude.

« Et toi du coup tu bosses dans quoi ?
- Dans les appels d’urgences au 112, tu sais ce que c’est ? enfin en quoi ça consiste ? La réalité c’est qu’il n’attendit pas vraiment qu’elle puisse répondre qu’il ajouta rapidement En fait les personnes peuvent appeler les secours comme ça, ça réunit tous les appels d’urgences  que l’on redirige ensuite, ce n’est pas simple tous les jours, mais j’aime bien quand même ce que je fais.

Explications merdiques, bonjour ! Mais ce n’était pas nouveau qu’il n’était pas forcément doué là-dedans !

« Au fait, désolée pour l’autre fois, je sais pas ce qui m’a pris. Faut croire que j’ai pas l’habitude de prendre un café avec des gens que je croise dans un parc. »

Hein ? Quoi ? On se concentre Gary, on se concentre ! Boh, il haussa les épaules pour montrer que c’était totalement oublié ! Lui aussi était bizarre parfois, souvent même, alors bon ! Il n’allait pas lui jeter la pierre pour si peu ? Lui dédiant son plus radieux sourire, il ne tarda pas à ajouter

« T’inquiètes c’pas grave ! Je suis passé depuis longtemps à autre chose, hein ! Ce n’était pas bien grave. J’vais pas ressasser pendant des années, ou faire la gueule, ou être revanchard. La preuve, on se boit un coup ou ça ne te tente pas du tout ?»

- Ouais j’suis un peu crevée j’avoue. Mais j’ai dû emprunter à un pote, faut que je lui rembourse, donc j’espère avoir rapidement assez, et ensuite je pourrai peut-être lâcher le truc du ménage… ou alors le garder au contraire, et lâcher l’autre pour commencer des études.

Il acquiesça doucement, il  comprenait ce qu’elle voulait dire par là. Elle avait de quoi être crevée vu les horaires qu’elle devait faire ! Mais lui était plutôt content d’arriver à faire un semblant de conversation face à une inconnue. Il était arrivé à faire un sacré chemin en quelques mois, même s’il était clair qu’il avait dû perdre pas mal de choses pendant ces années à Azkaban.

- Est-ce que ton pote est dans le besoin, pour que tu doives le rembourser aussi rapidement ? Ce qui compte avant tout c’est ta santé, par ce que si tu tombes malade…. Et bien voilà quoi. Ca n’arrangera en rien ta situation. Je comprends que ce n’est pas agréable, je le sais pertinemment, mais s’il n’en a pas besoin ça peut attendre quelques semaines, ou plusieurs petits remboursements étalés dans le temps, non ?

Non, parce que tomber malade, c’était risqué de perdre son travail, sans compter les frais médicaux énormes que cela pouvait engendrer, il y avait donc des choses à prioriser selon lui. Donc sauf si son pote en avait réellement besoin, ou s’il lui mettait la pression pour lui, il fallait lâcher la bride là-dessus. Lui qui dépendait encore quand même de ses potes, il savait bien ce que c’était, même si les gars étaient probablement quand même assez différent. Dès qu’il pourrait travailler à temps plein, il n’aurait plus besoin de squatter chez ses amis et les libèreraient de ce poids qui le mettait quand même assez mal à l’aise. En même temps, sortant de prison, sans famille chez qui aller, détruit et déphasé à l’époque, il n’avait pas eu le choix, et le chemin était probablement encore un peu long pour arriver à retrouver une vie qui ressemble à quelque chose : sans angoisse, sans parano, sans penser à toutes ces années là-bas, aux  Détraqueurs, à la tristesse. Et à tout le reste. Il était en équilibre fragile, précaire et un rien pouvait casser ce qu’il avait réussi à déjà entreprendre, il en avait conscience.
Ils avaient ensuite enchainé sur son boulot à lui et il essayait d’expliquer un peu en quoi ça consistait,  car il n’était pas certain que cela parle à tout le monde, pour beaucoup ça restait quand même assez vague et flou ce genre de métier !

- Oui oui je vois, et tu m’étonnes que ça soit pas facile, si vous devez gérer les urgences vitales et tout !
- Il y a vraiment de tout, et c’est probablement le plus compliqué, de savoir ce qui est réellement une urgence ou pas, savoir aussi quand les gens mentent ou exagèrent la vérité, c’est très prenant mais toujours très instructif.

La jeune femme s’était ensuite excusée de ce qui s’était passé la dernière fois qu’ils s’étaient rencontrés. Il était un peu passé à autre chose et ne comprenait pas bien que l’on puisse tenir rigueur  à une inconnue de ce genre de comportements, avec ses amis c’était quand même assez différent… Il lui avait finalement proposé de boire un petit coup avec lui, plutôt qu’ils restent comme deux blaireaux (coucou amies Pouffy) chacun dans leur coin. Elle eut un petit « allez » et elle ouvrir la marche vers le bar le plus proche. Ils avaient bientôt récupérer leur verres et étaient ressortis dehors vers un endroit un peu moins peuplé ce qui lui allait parfaitement, il avait encore du mal avec de tels bains de foule ! Elle leva sa bière dans sa direction avant de de stopper et de lui poser une nouvelle question qui le fit rire.

- En fait j’suis désolée mais je crois que j’ai oublié ton prénom.
- Gary. Moi c’est  Gary et toi c’est… heu Sarah ? Ou j’me goure totalement ?

Ouais trop de prénoms à retenir c’est dur ! Et puis il n’avait pas forcément tout le temps bonne mémoire. Il préférait retenir ceux de ses collègues et des gens qu’il rencontrait très régulièrement ! Sorry Cait !

-  Bon du coup, santé. Trinquer.
- Ouais, bonne santé ! A nous !

Il but à son tour quelques gorgées de bière, c’est fou ce que ça pouvait faire du bien

-  Au fait ya une école spéciale pour pouvoir bosser au 112 ?
- Non, tu te fais former sur le lot généralement, après si tu as des connaissances en secourismes c’est pas mal, j’en avais, ainsi qu’en médecine, du coup ça aide pas mal. Après c’était surtout  avoir une bonne élocution et savoir garder son sang-froid quand la situation l’exige. Etre ferme parfois aussi, tu vois empathe, mais pas trop non plus. Savoir prioriser, ce qui est réel,  inventé. Enfin en tout cas c’est ma vision des choses, pourquoi ça t’intéresse ? Je te préviens c’pas toujours des horaires fixes tu peux aussi travailler de nuit… par qu’il n’y a pas qu’aux horaires de bureaux qu’il y a des merdes !

Il haussa les épaules  avant de boire une ou deux gorgées de sa boisson. Il n’avait pas idée à quel point cela pouvait être difficile jusqu’à ce qu’il voit la complexité réelle du travail, mais c’est ce qui était intéressant aussi.

- Non, non, il est pas dans le besoin… enfin sauf si ça a changé et que je suis pas au courant mais normalement non. Mais c’est pour moi, j’aime pas ça, devoir de l’argent à quelqu’un, donc si j’peux lui rembourser vite, ça m’arrange…

Il pouvait comprendre, lui aussi n'aimait pas trop ça, mais parfois c'était nécessaire aussi de prendre son temps. Il se passa une main dans les cheveux en essayant de réfléchir à la meilleure façon de répondre.

 - Je comprends, mais te mettre dans la merde, c'est ptet faire une nouvelle dette auprès de quelqu'un d'autres... Ce qui ne t'arrangera pas. S'il en a pas besoin, tu peux commencer à lui rembourser petit à petit, comme ça ça diminue de ton côté sans que tu sois en manque de quoi que ce soit et compagnie. Tu ne penses pas que ça serait mieux ?

Après c'était un conseil comme ça ; il n'était pas non plus quelqu'un de très ...disons à cheval sur ce genre de choses pour l'instant. Il essayait de tout gérer au mieux avec les moyens du bord qui n'étaient pas très importants. Il savait qu'il était grandement redevable à ses amis, mais pour l'instant à part le penser, le dire, il ne pouvait pas faire grand chose de plus.
Les deux comparses avaient fini par parler du métier du garçon et il essayait d'expliquer ce qui était le plus compliqué : les urgences, détecter ceux qui abusaient, ceux qui mentaient. Il avait encore un peu de mal parfois à bien tout discerner. Il fallait l'avouer, se tromper, envoyer des ambulances ou policiers à un point A plutôt qu'à un B sur un simple jugement pouvait avoir de lourdes conséquences ; Et tous ces fonctionnaires ne pouvaient pas non plus se dédoubler.

- Ouais je vois…
- T'en es sûre ? dit-il en plaisantant Mes explications sont pourtant assez foireuses, je trouve.

Il n'était pas franchement pro là-dedans, il essayait de bien s'exprimer mais ce n'était pas quelque chose de toujours simple pour lui, bien au contraire. Allons bon, comment est-ce qu'elle s'appelait déjà ? Sarah ?  Caytlin ? Kate ? Carrie ? Il ne savait plus trop, il fallait bien l'avouer.
Et voilà qu'elle riait tandis qu'il avait essayé avec un des prénoms.

- Presque : Caitlyn !
- Oh, c'est sûr, Sarah... Caitlyn, il y a le « a » de commun c'est si énorme.

Elle était mignonne avec son presque mais non, il était loin, très loin même !
Et d'ailleurs, étrangement, elle le faisait parler, beaucoup parler, bon pas de lui, mais de son travail et il monologuait – un peu trop-, essayant de répondre le plus justement à ses questions.

- Ah non non, ça ne m’intéresse pas particulièrement ! Enfin si, c’est intéressant, bien sûr, mais pas dans ce sens-là je veux dire.
- C'est intéressant, mais pas pour toi, en somme, si je résume bien ?

Histoire d'être quand même bien certain qu'ils soient sur la même longueur d'onde. Il avait l'impression, parfois, de ne pas tout comprendre comme il le fallait, que les mots n'avaient pas forcément la même définition pour lui que pour ses interlocuteurs, alors forcément c'était parfois un peu gênant.

« Mais du coup tu survis avec ces horaires et tout ? » 

C'était plutôt mignon qu'elle s'inquiète pour lui, il fallait bien l'avouer ! Il y avait quelque chose d'assez plaisant là-dedans. A vrai qu'une inconnue se soucie de ce genre avait une bonne consonance dans son esprit.

 «Ouais, pour l'instant je ne suis qu'à mi-temps mais ça va. Les changements d'heures, les plages horaires et tout ce n'est pas simple tous les jours, mais dans quelques mois,  avec un peu de chance j'aurais un temps complet, on pourra en reparler à ce moment-là, je pense ! » Il se passa de nouveau une main dans les cheveux  « Et tu n'auras qu'à me poser de nouveau cette question à ce moment-là ! Comme ça, ça nous permettra de nous revoir aussi … Bon, d'accord, on vient juste de commencer cette discussion,  mais comme ça tu vois, c'est une façon comme une autre de fixer une prochaine rencontre»

L'air de rien, il avait finalement bu un peu de sa boisson.

HRP: