AccueilAccueil  FAQFAQ  RechercherRechercher  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-45%
Le deal à ne pas rater :
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre 14 couverts – ...
339 € 622 €
Voir le deal

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Ven 27 Aoû 2010 - 17:04


Sovahnn Dawn Lockwood
© Crédit - Courir plus vite que le temps, plus vite que l'éternité arrachée.
─ Nationalité: Anglaise
─ Age: 18
─ Maison ou Groupe: HUFFLEPUFF
─ Année d'étude / Matière enseignée: 1ère
─ Sang: Mêlé
─ Mon avis sur tout ce qui se passe:  (Quelques lignes)
─ J'avoue ce truc me fiche une peur bleue :: De l'ombre, partout autour d'elle, un néant qu'elle a déjà connu et qui signifie bien trop à son gout.
─ C'est lui qui me protège en cas de besoin :: /


   
 
─ Suis-je exceptionnel(le) pour autant: TEXTE ICI (Si vous avez un don particulier (rare)

Pour avoir un don. Merci de lire ceci - Ici - Avant de faire votre fiche =). )
─ Que serai un véritable sorcier sans elle: 24 cm c'est assez court, ça permet donc une rapidité de frappe importante et une plus grande maniabilité, vu que Sovahnn ne tient pas en place, ça lui correspond parfaitement =) Un truc trop long aurait trop tendance à l'énerver et ne lui correspondrait pas. Une baguette plus longue correspond plus à ceux qui recherchent la puissance de la frappe =)
Le bois d'un arbre fruitier rappelle l'enfance, la joie, des bêtises, Sovahnn est hyper joueuse, franchement déjantée ^^
Cela dit, le bois de cerisier casse facilement même s'il semble imposant comme ça, c'est le cas de ma miss aussi, elle ne baisse jamais les yeux, rit et déconne sans arrêt, mais dans le fond, la blesser est simple..
Et pour ce qui est du poil, le lutin de Cornouaille fait que des conneries et aime le jeu, c'est son cas aussi, elle est tout autant une boulette et une pas douée qui casse tout Rolling Eyes
─ Ça agace les autres, mais j'aime le faire* : Se mordre la lèvre, passer sa main dans ses cheveux, se passer la langue sur ses lèvres, tripoter ses ongles, bref, elle en a beaucoup.
Ce qu'il faut absolument savoir sur moi !
(Environ 250 mots)
Décrivez-nous votre caractère. Votre Véritable caractère et non pas celui que votre perso laisse transparaitre... On peut pas lire tout le temps entre les lignes.
Mon caractère… et bien mon caractère il va du bien trempé à la naïveté complète. J’ai pas vécu grand-chose, c’est clair, mais je sais réagir quand il le faut, enfin je crois. J’suis impatiente aussi, curieuse, et les deux associés, ça donne souvent des boulettes tient. Ce qui me fait penser au fait que je suis très… Maladroite ! Provocatrice, parfois, mais on ne peut pas me qualifier de ces gamines rebelles un peu habituelles. On pourrait croire, parfois, mais, non, ça n’est pas vraiment mon genre. Je suis directe aussi, souvent en tout cas, c’est vrai que j’ai un peu du mal à me tempérer, à me calmer, mais ça m’arrive de savoir quand il ne faut pas trop se la ramener, mine de rien, j’suis pas stupide non plus quoi. Pas bagarreuse non plus, pourtant, parfois, il faut bien avouer que j’suis prise d’une certaine folie autodestructrice. Et, franchement, là, je veux m’éclater, alors je risque d’en profiter. Légère, j’aime bien vivre, tout simplement, je suis assez restée passive face à ma vie. J’suis un peu dingue de nature aussi, alors il ne faut pas s’étonner de certaines réactions, parfois un peu particulières. Emportée, ça arrive, mais sensible surtout, c’est vrai, je suis touchée par beaucoup de choses, je hais mes larmes, mais la plupart du temps, elles n’ont pas tendance à m’écouter beaucoup. Peureuse, un peu. Mais j’me soigne hein ! Et là, je crois que pour ce qui est de mon niveau vis-à-vis de mon école, ça ne risque pas de voler très haut. Virée en première année, génial ! Heureusement, j’apprend vite, mais quand même. Gentille, et généreuse, un peu trop je pense. J’suis juste comme je suis, un bon concentré d’humanité, avec ses défauts et ses qualités.

Un peu fofolle, pas mal boulette, pas douée, trop sensible, calme et intelligente, elle apprend vite et comprend rapidement tout ce qui met pourtant longtemps à être intégré par n’importe quel jeune. Mature, c’est réellement sa grande qualité, c’est ce qui fait qu’elle n’est pas si différente de tous ses ’camarades’, elle avait déjà un langage et une pensée adulte à treize ans, heureusement vu sa position. Un peu trop avancée au vu de son physique qui ne l’a pas aidé, elle est comme si elle avait murit pendant ses années de coma. Et puis, elle a comme vécu en partie pendant ce temps. Mais elle reste gamine et bourrée de défauts, comme tout humain.





C'est là toute mon Histoire.
© Crédit
(500 mots)
Ma vie ? Ma vie, et bien c’est une bonne question ça. Une belle brochette de merde si vous voulez mon avis. Pas qu’elle ai été si désastreuse, au contraire, je dirais qu’elle a été … monotone. Sérieusement très monotone. En fait, désespérément monotone. C’est déprimant. Non, réellement, je ne vois pas grand-chose à dire, surtout que j’en ai loupé une bonne partie ces derniers temps. Là j’me souviens de rien, à part que je n’étais pas heureuse. Mais, franchement, quelle pré ado est heureuse à cet âge là ? C’était juste avant l’accident, les feux, la lumière, le choc, la souffrance. Vous n’y comprenez rien n’est-ce pas ? Ouais, ça ne m’étonne pas. Alors je vais reprendre tout du début.

Tout depuis ce hurlement dans la nuit, tout depuis la joie de mes parents et de leur fils. Une petit fille était née, moi, un bébé aux joues bien épaisses et au sourire adorable. Une petite fille qui avait bientôt observé les flocons de neige à la fenêtre, bien callée dans les bras de sa mère tendis que la neige de son premier noël s’abattait dans un doux manteau blanc sur la propriété. Une grande maison un peu éloignée, là où les voitures ne passaient pas souvent, là où le chien et le chat pouvaient se vautrer dehors et faire hurler ma mère en revenant, salissant la grande maison bien décorée. Elle ne me plaira pas, plus tard, mais à l’époque, franchement, ça n’est pas vraiment ça qui retient notre attention. Les petites lumières sur le sapin avaient ma préférence ! Et puis les gros cadeaux. Non, je ne m’en rappelle pas, j’ai vu une vidéo, et puis, on m’a raconté beaucoup de ces souvenirs qui me donnent l’impression de ne venir que de moi. Mais ce ne sont que des idées. Et puis, ils ont finis par être réels. Les souvenirs je parle. Je me rappelle d’une chute au parc, sur l’une de ces grandes structures de jeu. Génial hein ? Je peux même dire que je m’étais fait mal cette fois là et que ma mère avait hurler sur le gamin derrière moi, persuadée qu’il m’avait poussé. Il n’en était rien, mais je n’ai rien dit, elle m’avait dit de ne pas mettre ces chaussures là, qu’il fallait attendre, qu’elles n’étaient pas à ma taille et qu’elles me feraient trébucher. Elle avait raison, bien sûr, mais j’avait préféré que ça soit le gamin qui se prenne les remontrances plutôt que moi. De toute manière, j’étais occupée à pleurer dans mon coin, affolée par le sang sur mon bras.

Ah ! Je vous l’ai dit qu’elle était passionnante ma vie ! Trop tard, vous avez commencer, il faut finir. De toute manière, j’avais cinq ans, et mon existence s’est éteinte avec mes treize ans. Sept ans à tenir, c’est pas si long. Mais pour moi ça l’a été. Mais je ne m’en apercevait pas en fait, comme tous les gosses je n’ai rien vu passer. Absolument rien. Comme si j’étais passée de ma balançoire à la salle de bain en hurlant à mon frère de me laisser tranquille… ben ouais, j’avais pas fini de m’épiler, j’vais pas sortir avec une jambe façon mammouth en chaleur et l’autre moitié mammouth, moitié chat sphinx. Ils m’ont toujours fait peur ceux là tient. Utile à dire non ? Mais si, c’est important j’vous le dit ! Tient, d’ailleurs, ma famille ! Il y a mon père, toujours en costar-cravate, rentré bien avant l’heure qu’on lui avait fixé au début. C’est toujours lui qui venait me chercher lorsque ça n’allait pas bien à l’école, à cause d’une maladie, quelque chose comme ça. Il laissait sa veste sur sa chaise je crois. J’ai mit bien longtemps avant de comprendre de quoi il s’agissait. J’ai essayé en cour… mais c’est pas franchement le même univers, alors, forcément, c’est très loin de marcher. La rouste que je me suis pris ce jour là ! Quand je me suis expliqué, j’crois qu’ils ont hésité entre le fou rire et l’engueulade familial. Au final, j’suis partie avant de savoir. J’ai toujours eu peur d’en déclencher, des engueulades. C’est vrai que mes parents ont eu un bon moment sans vraiment s’apprécier. Ils ont divorcé, sont revenus ensemble, bref, une vraie série américaine chez moi.

Dans le genre série Américaine, il y a ma mère aussi, question stéréotype, elle est pas mal. Grande et fine, toujours bien habillée, une clope au bec et toujours stressée. Elle est dans les castings de mode, et, forcement, elle ne fait que penser que je pourrait en faire partie. Elle est de celles qui se sont enfermées dans des magasines où on parle de star à toutes les pages, alors elle a fini dans le métier. J’crois qu’elle aime ça. Moi, non. J’étais une belle enfant, ça devait être pour ça qu’elle cherchait toujours à faire de moi une star belle et malade de maigreur. Je faisais ce qu’elle me disait. J’étais souvent malade, mais personne n’avait fait le rapprochement, à part mon frère. Ah ! Mon frère ! Un vrai garnement celui là. De mauvaises notes et des parents sans arrêt en colère. Plus jeune, il avait peur que tout déconne par sa faute. Mais, finalement, puisqu’ils se sont remis ensemble alors qu’il faisait plus de conneries encore que d’ordinaire, il a changé d’avis. Finalement, il s’est retrouvé dans un groupe de rock. Mes parents pensent que ça va mieux, il fait moins de crise à la maison. Moi j’crois surtout qu’il est un peu trop souvent à la masse et que ça l’empêche de gueuler. Mais c’est quelqu’un de bien. Il s’amuse, c’est normal non ? Il y en a un qui le fait au moins.

Oui, parce que je voudrais. Oh que oui, j’aimerais bien moi, mais voilà, ma mère m’a fait rentrer ce genre de trucs en tête, être belle et faire attention. Mais, finalement, j’suis entrée dans l’âge ingrat. Et là, c’est la fin des haricots. Fini ma carrière, ça, c’est clair. J’ai poussé d’un coup, moi qui était toujours la plus petite. Et puis, il y a eu mon cul, wow, il a doublé de volume ce crétin, ah par contre, niveau poitrine, là, le vide sidéral, nada, que dal, des clous ! Et la peau ! L’horreur ! Tout le temps grasse, même chose pour les cheveux, du coup ben l’acné n’a fait que bourgeonner de partout, et puis ma vue a baissé, du coup j’ai eu le droit à de magnifiques lunettes que j’exécrais. Au magasin, je n’ai tout simplement rien trouvé, alors vu que ma mère s’impatientais, j’ai fait un pari avec mon frère, celui de prendre la première paire sur laquelle je poserais le doigt… et bien c’était un pari stupide ! Nan mais du genre VRAIMENT stupide ! Imaginez le truc, les grosses cuisses, un genou qui disait merde à l’autre, les yeux cloitrés derrière de grosses lunettes rondes, les mèches grasses autour de mon visage qui lui était plein de trucs moches noirs ou rouge (au choix), le tout avec une planche à pain pour poitrine que mon grand père appelait ses œufs au plat et des complexes de dingues, du coup je marchais toujours la tête baissée et je bégayais dès qu’on me parlait… je n’ai jamais autant compris l’expression d’âge ingrat !

Mais avec celui là était arrivé autre chose. Des trucs étrange autour de moi. Vous savez le genre de choses qu’on a déjà vu un bon millier de fois à la télé, dans les films horreur fantastiques. Je les aimais bien ceux là depuis que ma mère m’avais un peu lâcher la grappe et que j’avais dévaliser la chambre de mon frère (chose qu’il n’avait pas apprécié d’ailleurs). Mais, franchement, je ne m’attendais pas à ce que ça m’arrive à moi. Des choses inexplicables à commencer par la télé qui s’envole au moment ou un bruit pour me faire sursauter se fait à l’intérieur du téléviseur. La peur de ma vie ! Et puis mon chien qui a trouvé un nombre de copains assez important à l’extérieur et la cage de ma perruche qui fond alors que l’oiseau se barre en hurlant dans toute la maison… et le chat qui en profite bien sûr pour lui courir après. Il m’a retrouvé dans un bel état mon frère tient. Déjà qu’il était à moitié bourré, alors avec la maison dans un état minable, l’électricité qui avait sauté, les chiens autour de la maison, le chat sautant d’une étagère à l’autre et des plumes d’oiseau un peu partout… ah ! Et je n’avais plus d’acné. Me demandez pas comment c’est possible, je n’en sais rien, c’était revenu le lendemain. Onze ans, mal dans ma peau et morte de trouille dans mon salon. Beau tableau !

Je n’étais qu’une gosse et je voulais faire des trucs de grand. La rentrée est arrivée et ma mère a voulu me parler, mais je ne l’ai pas laisser faire. C’était que la crise d’ado, ça n’aide pas à la communication mère/fille. Et puis, j’avais faim. J’ai toujours été d’une humeur exécrable en ayant faim, surtout qu’elle avait tout virer des placards. Je ne mangeais pas bien, trop. Trop tout. Ne mangez pas trop gras, trop sucré trop salé ! Ben oui mais j’aimais ça. Bien plus que la nourriture de lapin de ma mère en tout cas. Mais elle en faisait bien assez pour me faire complexer. Alors j’arrêtais de manger… et puis je me jetais sur tout ce que je trouvais, et puis je m’en voulais, ect. Je n’étais qu’une gosse, mais ça aurait pu aller loin, très loin, elle aurait dû en avoir conscience, elle, mais c’était normal à ses yeux et que je sois sa fille, ça n’avais rien changer. Et puis des paquets de gâteaux se sont mis à apparaitre sous mon lit. Ne me demandez pas comment c’est possible, je n’en sais absolument rien. J’ai cru à une bonne volonté de mon frère, mais quand il est parti à la fac dans une autre région, il a bien fallu que je me rende à l’évidence, il ne me mentait pas, il n’est pas assez attentionné pour ça.. !

Franchement, là, je n’y comprenais rien. Et puis, une nouvelle rentré approcha, encore une, et ma mère devenait étrange, de plus en plus depuis deux ans. Elle voulait toujours me parler de quelque chose, mais je l’évitais toujours. Et puis, c’est sortis, comme ça, brutalement, au diner. Ça faisait deux ans déjà que j’aurais dû aller dans une autre école, une école pour moi. Mais quoi « moi » ? Je n’ais rien compris. Enfin, pas avant que ma mère ne continue à déblatérer des paroles qu’on eu du mal à encaisser mon père et moi. Elle l’avait trompé, de nouveau, une fois, je n’étais pas de lui, et l’homme était un sorcier, j’en étais une aussi et j’aurais dû aller dans une école depuis deux ans pour me permettre d’apprendre ce que je devais. Elle avait dit qu’elle m’enverrait à mon père pour qu’il m’apprenne, mais elle ne l’avait jamais fait, et, là, ça sortait.

Ce qu’il s’est passé ensuite, j’ai eu un peu de mal à tout comprendre, mon père a hurlé, ma mère aussi, les deux m’ont dit d’aller faire mes bagages, c’est ce que j’ai fait sans poser de questions, un peu trop perdue. Les cris on fusé, moi, je crois que j’ai pleurer. Et puis mon père est entré, a fermé mon sac qui n’était pas terminé et m’a embarqué dans la voiture en disant que ma mère était folle. Là, franchement, je voulais bien le croire. Mais on est pas allés bien loin, une heure de voyage dans le plus lourd silence que j’ais jamais connu et puis un camion était arrivé par la gauche, les phares éclairant mon père en contre jour.

Puis le choc. Deux dans la même soirée, ça fait beaucoup.

Mais je ne me suis pas réveillée. On m’a amener ici et on attend qu’il y ai un mieux. En fait, jusque là, j’étais dans un hôpital pour sorcier. Bien sûr, je n’en sais rien. Et puis, on m’a amené à l’école, pour que tous les élèves y soient, pour qu’on ai besoin qu’il n’y ai aucun contact avec l’extérieur.

Et là ? Et bien je me réveille, dans un monde auquel j’appartiens mais que je ne connais pas. Le monde de la magie. Vous y croyez vous ? Franchement ? Et en prime, et bien j’ai pris cinq ans dans la tronche ! Et j’ai changé. Mais ça, je ne le sais pas encore. Par contre, même là, alors que je reviens doucement à moi, que je rêve un peu de tout et de rien, je me créé une vie, un passé irréel de quatre ans. Il va falloir que je démêle le tout tient. Le beau brun avec lequel j’ai vécus une histoire merveilleuse et une première fois sublime… il est pas réel hein ? Tu m’étonnes… dommage. Il va falloir que je me rattrape ! J’ai une dose de conneries et une libido qui sont restés un peu trop dans le coma. Comme moi quoi ! Enfin, déjà, il va falloir que j’ouvre les yeux.

Oui, voilà, c’est pas mal, on soulèèèève, mais nan, j’ai pas dit on abaisse ! Rah c’est pas possible ça, on m’écoute jamais ! Encore … mouais, presque… et là ? Oui ! Voilà, on ouvre ! Oh ! Un plafond !

Derrière l'écran

─ Prénom: Elise
─ Fille ou Garçon: Girl powa
─ Âge:
─ Ancienneté Rp: 20
─ Comment avez-vous connu le forum: J'en ai créé le contexte
─ Votre présence sur le forum: All the time
─ Poste Vacant: Oui [ _ ] // Non [ X ]
─ Double Compte: Oui [ X ] // Non [ _ ] accord de la reine.
─ Avatar: Avril Lavigne
─ Code règlement:





Identity Card.

Nom & Prénom: Sovahnn Dawn Lockwood
Nationalité : Anglaise
Maison ou Groupe :   HUFFLEPUFF  
Année d'étude / Matière enseignée : 8 ème
Sang : mêlé
Age : 18


Ce qu'il faut absolument savoir sur moi avant de m'approcher ! : ( 10 lignes minimum )
Mon caractère… et bien mon caractère il va du bien trempé à la naïveté complète. J’ai pas vécu grand-chose, c’est clair, mais je sais réagir quand il le faut, enfin je crois. J’suis impatiente aussi, curieuse, et les deux associés, ça donne souvent des boulettes tient. Ce qui me fait penser au fait que je suis très… Maladroite ! Provocatrice, parfois, mais on ne peut pas me qualifier de ces gamines rebelles un peu habituelles. On pourrait croire, parfois, mais, non, ça n’est pas vraiment mon genre. Je suis directe aussi, souvent en tout cas, c’est vrai que j’ai un peu du mal à me tempérer, à me calmer, mais ça m’arrive de savoir quand il ne faut pas trop se la ramener, mine de rien, j’suis pas stupide non plus quoi. Pas bagarreuse non plus, pourtant, parfois, il faut bien avouer que j’suis prise d’une certaine folie autodestructrice. Et, franchement, là, je veux m’éclater, alors je risque d’en profiter. Légère, j’aime bien vivre, tout simplement, je suis assez restée passive face à ma vie. J’suis un peu dingue de nature aussi, alors il ne faut pas s’étonner de certaines réactions, parfois un peu particulières. Emportée, ça arrive, mais sensible surtout, c’est vrai, je suis touchée par beaucoup de choses, je hais mes larmes, mais la plupart du temps, elles n’ont pas tendance à m’écouter beaucoup. Peureuse, un peu. Mais j’me soigne hein ! Et là, je crois que pour ce qui est de mon niveau vis-à-vis de mon école, ça ne risque pas de voler très haut. Virée en première année, génial ! Heureusement, j’apprend vite, mais quand même. Gentille, et généreuse, un peu trop je pense. J’suis juste comme je suis, un bon concentré d’humanité, avec ses défauts et ses qualités.


    ↣ Personne n'est parfait :Un peu fofolle, pas mal boulette, pas douée, trop sensible, calme et intelligente, elle apprend vite et comprend rapidement tout ce qui met pourtant longtemps à être intégré par n’importe quel jeune. Mature, c’est réellement sa grande qualité, c’est ce qui fait qu’elle n’est pas si différente de tous ses ’camarades’, elle avait déjà un langage et une pensée adulte à treize ans, heureusement vu sa position. Un peu trop avancée au vu de son physique qui ne l’a pas aidé, elle est comme si elle avait murit pendant ses années de coma. Et puis, elle a comme vécu en partie pendant ce temps. Mais elle reste gamine et bourrée de défauts, comme tout humain.      ↣ J'avoue ce truc me fiche une peur bleue :De l'ombre, partout autour d'elle, un néant qu'elle a déjà connu et qui signifie bien trop à son gout.      ↣ C'est lui qui me protège en cas de besoin :La forme de votre Patronus (Pas avant la cinquième Année)/      ↣ Suis-je exceptionnel(le) pour autant :Si vous avez un don particulier (rare)/Pour avoir un don. Merci de lire ceci - Ici -Avant de faire votre fiche =).      ↣ Que serai un véritable sorcier sans elle :      Il faut déjà qu'elle en trouve une... ça va pas tarder xD
    Spoiler:
         ↣ Ça agace les autres, mais j'aime le faire* :      Se mordre la lèvre, passer sa main dans ses cheveux, se passer la langue sur ses lèvres, tripoter ses ongles, bref, elle en a beaucoup.


Voilà à quoi je ressemble : ( 5 lignes minimum )
Ce à quoi je ressemble ! Oulah. Et bien c’est pas gagner là, franchement. Surtout que j’ai beaucoup changé depuis mon dernier petit somme. C’est vrai qu’en cinq ans, en même temps, surtout entre treize et dix-huit ans en fait. Finalement, je suis petite, il faut croire que ma poussée de croissance n’aura pas duré très longtemps, et puis j’ai des hanches toutes fines, moi qui aime bien au contraire les formes, je ne suis pas gâtée pour le coup. Et ces seins ! Mais ils m’ont donné quoi à manger pendant mon coma franchement ? Il va falloir que je rattrape tout ça et vite… pour ce qui est de mon visage, et bien, même s’il a prit de la maturité et qu’il ne ressemble plus à une œuvre de picasso, ça n’est pas encore ça à mon gout. De un, il est beaucoup trop long, on dirait un cheval ! Ok, un poney. Ensuite, les lèvres sont trop fine et mon sourire c’est… ben j’en sais rien ce que c’est, mais c’est pas beau, mes yeux sont trop rapprochés et le bout de mes cheveux, c’est de la paille, ils ne veulent rien entendre, il me faudrait trois coiffeurs la journée je crois en fait. Nan, et franchement, mon visage, on dirait un renard. Pourquoi il me fait penser à ça ? Mais qu’est-ce que j’en sais moi ! C’est comme ça, c’est tout. Non, je ne m’aime pas, mais, mine de rien, avec un petit coup de maquillage et des vêtements comme je les aime (à savoir, un peu de tout en fait), et ben ça va mieux. Il parait que je suis jolie. J’en sais rien, mais en passant vite dans le miroir et en regardant du coin de l’œil, oui, je trouve aussi. Il faut juste pas y regarder de près, c’est tout !




Storyboard.
" This is the day that I die !  "


Ma vie ? Ma vie, et bien c’est une bonne question ça. Une belle brochette de merde si vous voulez mon avis. Pas qu’elle ai été si désastreuse, au contraire, je dirais qu’elle a été … monotone. Sérieusement très monotone. En fait, désespérément monotone. C’est déprimant. Non, réellement, je ne vois pas grand-chose à dire, surtout que j’en ai loupé une bonne partie ces derniers temps. Là j’me souviens de rien, à part que je n’étais pas heureuse. Mais, franchement, quelle pré ado est heureuse à cet âge là ? C’était juste avant l’accident, les feux, la lumière, le choc, la souffrance. Vous n’y comprenez rien n’est-ce pas ? Ouais, ça ne m’étonne pas. Alors je vais reprendre tout du début.

Tout depuis ce hurlement dans la nuit, tout depuis la joie de mes parents et de leur fils. Une petit fille était née, moi, un bébé aux joues bien épaisses et au sourire adorable. Une petite fille qui avait bientôt observé les flocons de neige à la fenêtre, bien callée dans les bras de sa mère tendis que la neige de son premier noël s’abattait dans un doux manteau blanc sur la propriété. Une grande maison un peu éloignée, là où les voitures ne passaient pas souvent, là où le chien et le chat pouvaient se vautrer dehors et faire hurler ma mère en revenant, salissant la grande maison bien décorée. Elle ne me plaira pas, plus tard, mais à l’époque, franchement, ça n’est pas vraiment ça qui retient notre attention. Les petites lumières sur le sapin avaient ma préférence ! Et puis les gros cadeaux. Non, je ne m’en rappelle pas, j’ai vu une vidéo, et puis, on m’a raconté beaucoup de ces souvenirs qui me donnent l’impression de ne venir que de moi. Mais ce ne sont que des idées. Et puis, ils ont finis par être réels. Les souvenirs je parle. Je me rappelle d’une chute au parc, sur l’une de ces grandes structures de jeu. Génial hein ? Je peux même dire que je m’étais fait mal cette fois là et que ma mère avait hurler sur le gamin derrière moi, persuadée qu’il m’avait poussé. Il n’en était rien, mais je n’ai rien dit, elle m’avait dit de ne pas mettre ces chaussures là, qu’il fallait attendre, qu’elles n’étaient pas à ma taille et qu’elles me feraient trébucher. Elle avait raison, bien sûr, mais j’avait préféré que ça soit le gamin qui se prenne les remontrances plutôt que moi. De toute manière, j’étais occupée à pleurer dans mon coin, affolée par le sang sur mon bras.

Ah ! Je vous l’ai dit qu’elle était passionnante ma vie ! Trop tard, vous avez commencer, il faut finir. De toute manière, j’avais cinq ans, et mon existence s’est éteinte avec mes treize ans. Sept ans à tenir, c’est pas si long. Mais pour moi ça l’a été. Mais je ne m’en apercevait pas en fait, comme tous les gosses je n’ai rien vu passer. Absolument rien. Comme si j’étais passée de ma balançoire à la salle de bain en hurlant à mon frère de me laisser tranquille… ben ouais, j’avais pas fini de m’épiler, j’vais pas sortir avec une jambe façon mammouth en chaleur et l’autre moitié mammouth, moitié chat sphinx. Ils m’ont toujours fait peur ceux là tient. Utile à dire non ? Mais si, c’est important j’vous le dit ! Tient, d’ailleurs, ma famille ! Il y a mon père, toujours en costar-cravate, rentré bien avant l’heure qu’on lui avait fixé au début. C’est toujours lui qui venait me chercher lorsque ça n’allait pas bien à l’école, à cause d’une maladie, quelque chose comme ça. Il laissait sa veste sur sa chaise je crois. J’ai mit bien longtemps avant de comprendre de quoi il s’agissait. J’ai essayé en cour… mais c’est pas franchement le même univers, alors, forcément, c’est très loin de marcher. La rouste que je me suis pris ce jour là ! Quand je me suis expliqué, j’crois qu’ils ont hésité entre le fou rire et l’engueulade familial. Au final, j’suis partie avant de savoir. J’ai toujours eu peur d’en déclencher, des engueulades. C’est vrai que mes parents ont eu un bon moment sans vraiment s’apprécier. Ils ont divorcé, sont revenus ensemble, bref, une vraie série américaine chez moi.

Dans le genre série Américaine, il y a ma mère aussi, question stéréotype, elle est pas mal. Grande et fine, toujours bien habillée, une clope au bec et toujours stressée. Elle est dans les castings de mode, et, forcement, elle ne fait que penser que je pourrait en faire partie. Elle est de celles qui se sont enfermées dans des magasines où on parle de star à toutes les pages, alors elle a fini dans le métier. J’crois qu’elle aime ça. Moi, non. J’étais une belle enfant, ça devait être pour ça qu’elle cherchait toujours à faire de moi une star belle et malade de maigreur. Je faisais ce qu’elle me disait. J’étais souvent malade, mais personne n’avait fait le rapprochement, à part mon frère. Ah ! Mon frère ! Un vrai garnement celui là. De mauvaises notes et des parents sans arrêt en colère. Plus jeune, il avait peur que tout déconne par sa faute. Mais, finalement, puisqu’ils se sont remis ensemble alors qu’il faisait plus de conneries encore que d’ordinaire, il a changé d’avis. Finalement, il s’est retrouvé dans un groupe de rock. Mes parents pensent que ça va mieux, il fait moins de crise à la maison. Moi j’crois surtout qu’il est un peu trop souvent à la masse et que ça l’empêche de gueuler. Mais c’est quelqu’un de bien. Il s’amuse, c’est normal non ? Il y en a un qui le fait au moins.

Oui, parce que je voudrais. Oh que oui, j’aimerais bien moi, mais voilà, ma mère m’a fait rentrer ce genre de trucs en tête, être belle et faire attention. Mais, finalement, j’suis entrée dans l’âge ingrat. Et là, c’est la fin des haricots. Fini ma carrière, ça, c’est clair. J’ai poussé d’un coup, moi qui était toujours la plus petite. Et puis, il y a eu mon cul, wow, il a doublé de volume ce crétin, ah par contre, niveau poitrine, là, le vide sidéral, nada, que dal, des clous ! Et la peau ! L’horreur ! Tout le temps grasse, même chose pour les cheveux, du coup ben l’acné n’a fait que bourgeonner de partout, et puis ma vue a baissé, du coup j’ai eu le droit à de magnifiques lunettes que j’exécrais. Au magasin, je n’ai tout simplement rien trouvé, alors vu que ma mère s’impatientais, j’ai fait un pari avec mon frère, celui de prendre la première paire sur laquelle je poserais le doigt… et bien c’était un pari stupide ! Nan mais du genre VRAIMENT stupide ! Imaginez le truc, les grosses cuisses, un genou qui disait merde à l’autre, les yeux cloitrés derrière de grosses lunettes rondes, les mèches grasses autour de mon visage qui lui était plein de trucs moches noirs ou rouge (au choix), le tout avec une planche à pain pour poitrine que mon grand père appelait ses œufs au plat et des complexes de dingues, du coup je marchais toujours la tête baissée et je bégayais dès qu’on me parlait… je n’ai jamais autant compris l’expression d’âge ingrat !

Mais avec celui là était arrivé autre chose. Des trucs étrange autour de moi. Vous savez le genre de choses qu’on a déjà vu un bon millier de fois à la télé, dans les films horreur fantastiques. Je les aimais bien ceux là depuis que ma mère m’avais un peu lâcher la grappe et que j’avais dévaliser la chambre de mon frère (chose qu’il n’avait pas apprécié d’ailleurs). Mais, franchement, je ne m’attendais pas à ce que ça m’arrive à moi. Des choses inexplicables à commencer par la télé qui s’envole au moment ou un bruit pour me faire sursauter se fait à l’intérieur du téléviseur. La peur de ma vie ! Et puis mon chien qui a trouvé un nombre de copains assez important à l’extérieur et la cage de ma perruche qui fond alors que l’oiseau se barre en hurlant dans toute la maison… et le chat qui en profite bien sûr pour lui courir après. Il m’a retrouvé dans un bel état mon frère tient. Déjà qu’il était à moitié bourré, alors avec la maison dans un état minable, l’électricité qui avait sauté, les chiens autour de la maison, le chat sautant d’une étagère à l’autre et des plumes d’oiseau un peu partout… ah ! Et je n’avais plus d’acné. Me demandez pas comment c’est possible, je n’en sais rien, c’était revenu le lendemain. Onze ans, mal dans ma peau et morte de trouille dans mon salon. Beau tableau !

Je n’étais qu’une gosse et je voulais faire des trucs de grand. La rentrée est arrivée et ma mère a voulu me parler, mais je ne l’ai pas laisser faire. C’était que la crise d’ado, ça n’aide pas à la communication mère/fille. Et puis, j’avais faim. J’ai toujours été d’une humeur exécrable en ayant faim, surtout qu’elle avait tout virer des placards. Je ne mangeais pas bien, trop. Trop tout. Ne mangez pas trop gras, trop sucré trop salé ! Ben oui mais j’aimais ça. Bien plus que la nourriture de lapin de ma mère en tout cas. Mais elle en faisait bien assez pour me faire complexer. Alors j’arrêtais de manger… et puis je me jetais sur tout ce que je trouvais, et puis je m’en voulais, ect. Je n’étais qu’une gosse, mais ça aurait pu aller loin, très loin, elle aurait dû en avoir conscience, elle, mais c’était normal à ses yeux et que je sois sa fille, ça n’avais rien changer. Et puis des paquets de gâteaux se sont mis à apparaitre sous mon lit. Ne me demandez pas comment c’est possible, je n’en sais absolument rien. J’ai cru à une bonne volonté de mon frère, mais quand il est parti à la fac dans une autre région, il a bien fallu que je me rende à l’évidence, il ne me mentait pas, il n’est pas assez attentionné pour ça.. !

Franchement, là, je n’y comprenais rien. Et puis, une nouvelle rentré approcha, encore une, et ma mère devenait étrange, de plus en plus depuis deux ans. Elle voulait toujours me parler de quelque chose, mais je l’évitais toujours. Et puis, c’est sortis, comme ça, brutalement, au diner. Ça faisait deux ans déjà que j’aurais dû aller dans une autre école, une école pour moi. Mais quoi « moi » ? Je n’ais rien compris. Enfin, pas avant que ma mère ne continue à déblatérer des paroles qu’on eu du mal à encaisser mon père et moi. Elle l’avait trompé, de nouveau, une fois, je n’étais pas de lui, et l’homme était un sorcier, j’en étais une aussi et j’aurais dû aller dans une école depuis deux ans pour me permettre d’apprendre ce que je devais. Elle avait dit qu’elle m’enverrait à mon père pour qu’il m’apprenne, mais elle ne l’avait jamais fait, et, là, ça sortait.

Ce qu’il s’est passé ensuite, j’ai eu un peu de mal à tout comprendre, mon père a hurlé, ma mère aussi, les deux m’ont dit d’aller faire mes bagages, c’est ce que j’ai fait sans poser de questions, un peu trop perdue. Les cris on fusé, moi, je crois que j’ai pleurer. Et puis mon père est entré, a fermé mon sac qui n’était pas terminé et m’a embarqué dans la voiture en disant que ma mère était folle. Là, franchement, je voulais bien le croire. Mais on est pas allés bien loin, une heure de voyage dans le plus lourd silence que j’ais jamais connu et puis un camion était arrivé par la gauche, les phares éclairant mon père en contre jour.

Puis le choc. Deux dans la même soirée, ça fait beaucoup.

Mais je ne me suis pas réveillée. On m’a amener ici et on attend qu’il y ai un mieux. En fait, jusque là, j’étais dans un hôpital pour sorcier. Bien sûr, je n’en sais rien. Et puis, on m’a amené à l’école, pour que tous les élèves y soient, pour qu’on ai besoin qu’il n’y ai aucun contact avec l’extérieur.

Et là ? Et bien je me réveille, dans un monde auquel j’appartiens mais que je ne connais pas. Le monde de la magie. Vous y croyez vous ? Franchement ? Et en prime, et bien j’ai pris cinq ans dans la tronche ! Et j’ai changé. Mais ça, je ne le sais pas encore. Par contre, même là, alors que je reviens doucement à moi, que je rêve un peu de tout et de rien, je me créé une vie, un passé irréel de quatre ans. Il va falloir que je démêle le tout tient. Le beau brun avec lequel j’ai vécus une histoire merveilleuse et une première fois sublime… il est pas réel hein ? Tu m’étonnes… dommage. Il va falloir que je me rattrape ! J’ai une dose de conneries et une libido qui sont restés un peu trop dans le coma. Comme moi quoi ! Enfin, déjà, il va falloir que j’ouvre les yeux.

Oui, voilà, c’est pas mal, on soulèèèève, mais nan, j’ai pas dit on abaisse ! Rah c’est pas possible ça, on m’écoute jamais ! Encore … mouais, presque… et là ? Oui ! Voilà, on ouvre ! Oh ! Un plafond !



Think About Me.

Prénom: Elise
Fille ou Garçon : girl powa
Age : 19
Ancienneté Rp : 4ans
Comment avez-vous connu le forum : I'm fondatrice
Votre présence sur le forum : 7/7j
Poste Vacant : Oui [ _ ] // Non [ X ]
Double Compte : Oui [ X ] // Non [ _ ] accord de moi même
Avatar : Avril Lavigne
Code règlement :

Et ben vala, j'ai changé de perso xDD


Sovahnn Dawn Lockwood 201202100536376653
Revenir en haut Aller en bas
Sovahnn Dawn Lockwood
Sovahnn Dawn Lockwood
Sovahnn Dawn Lockwood
https://impero.superforum.fr/t6880-sovahnn-dawn-lockwood-cover-m
Âge personnage : 22
Hiboux postés. : 4347
Date d'inscription : 13/12/2009
Crédits : joemaw's
Double Compte : Logan, Takuma, Maxence, Alec, Jordane, Oliver
Sovahnn Dawn Lockwood
Ven 27 Aoû 2010 - 19:36
Bienvenuuuue ma chiwie délurée Rolling Eyes
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous
Invité
Invité
Ven 27 Aoû 2010 - 19:43
Bienvenue Mlle la Belle au Bois qui Dort xD
Revenir en haut Aller en bas
Enzo S. Ryans
Chaton. Le seul et l'unique
Enzo S. Ryans
Enzo S. Ryans
https://impero.superforum.fr/t6883-enzo-tant-que-je-ne-suis-pas-
Âge personnage : 20 ans - 18.01.1997
Hiboux postés. : 22459
Date d'inscription : 13/09/2009
Crédits : JunkieMouse ▬ Gif Tumblr
Double Compte : Jane & Alcyone
Enzo S. Ryans
Ven 27 Aoû 2010 - 19:59
Na tout finiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii xD

(na validé Rolling Eyes )

Merchi mes coupaiiiins :cal: *tombe endormie +out+*

*sautille dans tous les sens finalement xD*
Revenir en haut Aller en bas
Sovahnn Dawn Lockwood
Sovahnn Dawn Lockwood
Sovahnn Dawn Lockwood
https://impero.superforum.fr/t6880-sovahnn-dawn-lockwood-cover-m
Âge personnage : 22
Hiboux postés. : 4347
Date d'inscription : 13/12/2009
Crédits : joemaw's
Double Compte : Logan, Takuma, Maxence, Alec, Jordane, Oliver
Sovahnn Dawn Lockwood
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 1
Sauter vers: