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Jeu 3 Sep 2009 - 16:08
Identity Card.

Nom & Prénom: Marek Logan Rivers
Maison : (Ancienne maison pour les Professeurs) Serpentard.
Année d'étude / Matière enseignée : Professeur de défense contre les forces du mal
Sang : Sang-mêlé
Age :


Ce qu'il faut absolument savoir sur moi avant de m'approcher ! : ( 10 lignes minimum )
Un jeune homme brillant, cela ne faisait aucun doute, et qui avait beaucoup changer avec ses années à Poudlard. Tout d’abord plus porté vers la réussite, il s’était finalement calmé, apprenant plus de choses sur le côté humain des choses, étrangement d’ailleurs, car plus ça allait, plus il se sentait étranger face à bien des élèves de sa maison, comme ça l’avait été chez lui lors de son enfance et de toutes les vacances d’été qu’il avait dû passer chez lui. Pouvant aborder un calme presque effrayant, il était surtout très joueur, et provocateur. S’énervant rarement, il avait pourtant tendance a ne pas s’angoisser pour quoi que ce soit, et détenait un certain côté « jm’en fout-isme » qui s’avérait très forte à certains moments. Pourtant il pouvait se révéler bien plus responsable qu’on l’aurait cru, sachant choisir son camp, il se révélait plus attaché qu’il ne le semblait souvent. Affichant régulièrement une sorte de masque, il fallait souvent le connaître bien pour comprendre ses réactions et ses actes. Surtout étant donné sa manière récurrente de mettre en avant ses défauts plutôt que ses qualités. Un certain refus de s’attacher sûrement.

Impétueux, attachant, lunatique, violent, amoral, provocateur, incorrigible, joueur, menteur, sarcastique, irrécupérable


    ↣ Personne n'est parfait :Impétueux, attachant, lunatique, violent, amoral, provocateur, incorrigible, joueur, menteur, sarcastique, irrécupérable ↣ J'avoue ce truc me fiche une peur bleue :La forme de votre épouvantard.↣ C'est lui qui me protège en cas de besoin :Feneck↣ Suis-je exceptionnel(le) pour autant :Occlumens & legimens      ↣ Que serai un véritable sorcier sans elle :      Composition de votre Baguette (quelques lignes suffisent)      ↣ Ça agace les autres, mais j'aime le faire* :      Si vous avez un Tic, à vous de le préciser.


Voilà à quoi je ressemble : ( 5 lignes minimum )

Storyboard.
"
Une vingtaine de lignes vous sont demandées. Racontez l'histoire de votre personnage. Du berceau à aujourd'hui.
Parler de votre famille, la découverte de la Magie...

"


Né d’une aventure entre une moldue japonaise et un sorcier anglais, le jeune homme n’avais jamais été vraiment voulu. Pourtant, il due intégrer la famille de son père quand sa mère font déclarée décédée d’un accident de voiture à celui ci. Nouveauté, des frères et une famille complète de sorcier. Une nouvelle mère qui se forçait à l’apprécier, bien sûr, il n’avait jamais été complètement à l’aise, mais c’était tout ce qu’il avait, alors il fallait faire avec. Solitaire, il avait pourtant fait des efforts, comme son père le lui disais sans arrêt. Ça devais venir de ses origines. Comment le louer dans la famille, bien sûr, c’était impossible. Mais ça n’était pas de ces gènes là dont il parlait comme le petit l’avait tout d’abord cru. C’était bien de sa mère, moldue, contrairement à la femme avec qui il vivait et qui avait donné naissance à ses trois frères. Alors il avait fini par le penser aussi, sans trop se poser de questions, il avait vu ses frères quitter la maison chaque année tendis qu’un seul revenait encore durant les fêtes. La première année, c’était comme ça ici, mais le jeune Marek avait toujours pensé que si ses parents voulaient toujours qu’au moins un de leur fils rentre durant le plus souvent possible, un de leurs véritables fils, c’était pour retrouver un peut plus de leur véritable famille, le voir moins présent chez eux en quelque sorte. Voilà ce qu’était sa famille, des frères avec qui il avait été plus ou moins proches et des parents qui lui avaient toujours semblé plus être là en tant que décors qu’autre chose, comme il l’était à leurs yeux. Pour ce qu’il était de ses frères, il avait été proche de l’aîné ainsi que du plus jeune mais le troisième l’avait toujours hais. Pourquoi, ça il ne l’avait jamais comprit, c’était le plus proche de leurs parents, celui qui se rapprochait le plus de leur manière de penser. Étroite d’esprit et absolument borné d’après la petite idée qu’il s’en était fait. Ses autres frères avaient des idées un peut plus nuancée.


Le petit avait changé de famille sans trop comprendre ce qu’il se passait. Trop jeune pour comprendre tout ce qu’il venait de perdre, il avait fait que verser quelques larmes silencieuses dont il ne connaissait les origines. En attendant de repartir dans son pays, sa mère était restée ici, dans une maison d‘hôte qui s‘était pris d‘amitié pour elle. Et puis, elle avait garder un peut d‘argent que le père du garçon lui avait donné et qu‘elle avait tout d‘abord refuser. Ne pas parler de ce qu‘il s‘était passé malgré la naissance du petit 9 mois plus tard. S’occupant de lui, elle lui avait porté tout l’amour qu’une mère peut offrir. Pourtant, le jour ou la jeune femme voulu repartir chez elle, il y eut un accident. Le petit, resté avec ce qui aurait pu rester une famille d’accueil, ne comprit pas ce qu’il se déroula ensuite. Passant de mains en mains, il fini avec un homme qu’il n’avait jamais vu de sa vie, entouré de deux jeunes enfants et d’un bébé, il grandis dans cette famille, jamais réellement à l’aise, il fit tout pour s’adapter. Bien sûr, pour lui, ce fut comme s’il avait toujours été là, mais l’impression d’être un étranger avait demeuré. « Ton » fils. Mais il n’avait jamais été celui de quiconque dans cet endroit. Le frère, oui, déjà plus. Pour le plus jeune, il s’en était tellement occupé qu’il aurait été impossible qu’il ne soit pas reconnu comme tel, mais en ce qui concernait ses frères plus âgés, il passait sa vie à se battre avec, pour l’un, s’était amical, pour l’autre, les choses étaient bien différentes, il le haïssait, car il n’était pas de sang pur, ça, il l’avait bien comprit et on le lui avait assez répéter. Seul ces sorciers là comptaient, c’était ce qu’il avait fini par retenir, avec un certain agacement. À présent, il voulait surtout prouver qu’il était capable de quelque chose. Et ce, par n’importe quel moyen. Réussir. Pas prouver qu’il était le meilleur, juste prouver qu’il valait quelque chose, et non se retrouver résigner à la plonge. Pas un sorcier, il l’avait penser, il l’avait même cru, comment aurait-il pu l’être de toute manière ? Il n’avait jamais été capable de quoi que ce soit et rien ne s’était déclencher. Alors il s’était révélé doué pour de nombreuses choses, mais rien qui se rapprochait de ce monde auquel il aurait voulu appartenir complètement. Ne pas être un parjure comme disais son père et le fils de celui ci. Faisant preuve d’une certaine malice, il s’avérait réussir à avoir ce qu’il voulait plus que régulièrement. Sauf quand cela concernait sa famille. Rien n’était assez bien pour eux et ça, il l’avait comprit très rapidement. Peut être trop même, ne mettant aucun espoirs en leurs réactions, il n’attendit jamais rien d’eux, pas un marque d’affection, rien. Si cela pouvait être triste en pensant qu’ils étaient en réalité ses parents, ça lui paraissait juste complètement naturel étant donné leurs réactions en sa présence. Oh, ils n’avaient jamais étés réellement exécrables, juste quelques fois violents et la plupart du temps plus qu’irritants par leur comportement envers lui.

Et puis, il y avait eut cette histoire de lustre durant une réunion de famille. Le jeune homme, énervé avait vu le lustre en question se décrocher pour aller s’écrouler sur son cousin. Son frère tout comme son père l’avait fixé avec un regard qui se rapprochait plus du dédain que d’autre chose. Le plus jeune lui avait adressé un grand sourire qui fut le plus réconfortant de sa courte vie tendis que le dernier de ses frères l’avait frapper à l’arrière du crane lui disant qu’il avait intérêt de continuer la lignée de la famille, être chez les Serpentards. Bien sûr, le jeune homme avait entendu parlé de tout ça, mais à vrai dire, il n’y avait jamais fait tant attention que ça, pensant de tout son être qu’il ne serait jamais un sorcier, il avait préférer ne pas trop écouter pour ne pas se torturer. Alors il n’y avait pas tout de suite cru. À cette supposition avait suivit l’éternelle rengaine de leurs père, enjoint tout de suite par celle qu’il considérait tout de même comme sa mère. Ils ne devraient pas aller dans cette école ci. Pas assez stricte, elle n’apprenait pas ce qu’il aurait fallu. L’allusions qu’ils faisaient à ce moment, le petit ne l’avait pas bien comprit avant de comprendre exactement tout ce qui concernait la magie noir, celle qu’ils appréciaient apparemment beaucoup dans sa famille. Celle qui l’amusait tout autant, tout en sachant qu’elle pouvait s’avérer très dangereuse. Mais ici, elle était tellement prise en jeu, comme beaucoup de chose à vrai dire. Un peut trop, certaines qu’il ne trouvait d’ailleurs réellement pas divertissantes, surtout lorsqu’il s’agissait de moldus. Ou de n’importes quelles créatures jugées par sa famille comme moins importantes, sous races. Combien de fois avait-il entendu cette rengaine ? Mais il y avait eu moins quelque chose de bon a ne pas avoir été autant aimé qu’avaient pu l’être ses frères aînés, il avait apprit a nuancer un peut, et, surtout, avec le comportement de ses parents, il avait comprit qu’il ne fallait pas toujours prendre les choses pour véritables, quelque soit la personne qui l’énonçait.

Alors le garçon avait fini par recevoir une lettre. C’était confirmé, il était bien un sorcier malgré tout ce qu’il avait pu penser. Pourtant, on lui avait tellement répété… et cela recommença à cet instant, les deux Rivers lui répétant qu’il n’était pas à la hauteur, qu’il n’aurait pas dut être un sorcier, qu’il n’en avait pas le droit, pas avec ces gènes là dans son être. Mais c’était bien le cas et la rage qu’il avait nourri toutes ces années faisait qu’il voulait s’avérer bien plus doué que tout autres de cette famille. Et s’il n’avait jusque là pas eut le droit de toucher aux ouvrages pouvant l’aider, il comptait bien tenter de prouver sa valeur. Après tout, il n’était qu’un sang mêlé, et ça, il ne pouvait l’oublier. Cela prouvait qu’il n‘était rien, et ça ne pourrait changer. Mais il ferait de son mieux. Juste pour nourrir cette rage et cette envie de réussir. Parce que c’était tout ce qu’il pouvait faire dans sa situation et, au fur et à mesure que le temps d’entrée à Poudlard approchait, ces envies devinrent réellement une obsession pure.

# In the magic life #

À son arrivée à Poudlard, le jeune homme s’était tout de suite détaché de ce qui était sa famille, restant tout de même, plus par timidité qu’autre chose auprès du frère dont il était le plus proche. Andy’ comme il se faisait sans arrêt. L’autre étant déjà préfet, il ne cessait de le faire remarqué, ne pouvant s’empêcher de prévenir le jeune homme sur tout ce qu’il ne pourrait pas faire, car il comptait bien ne rien lui laisser passer, ce qui signifiait bien évidemment qu’il comptait lui pourrir chacune de ses futurs années. Et, il savait parfaitement qu’il ne risquait pas d’y échapper. L’exaspération passant au dessus de sa timidité brutale, le jeune homme s’éloigna de ses frères pour préférer avancer seul. Bientôt, une jeune fille vint lui parler et, malgré son comportement asocial, il lui avait semblé libérer de parler avec quelqu’un qui ne faisait pas parti de sa famille. Grande, efflanquée, brune et plus gentille qu’elle n’y paraissait, elle venait d’une famille qui aurait pu copiner avec sa sienne sans trop de problèmes. Le même genre d’éducation, ce qui n’était pas le cas de l’amie qui la suivait tout le temps. Une famille dans laquelle il aurait bien aimer grandir plutôt qu’ici, et il n’était pas le seul, bien évidemment. Mais ça n’avait pas été le cas, c’était tout, il n’y pouvait rien et il ne fallait pas revenir sans arrêt sur ce genre de choses, on ne choisi pas sa famille et encore moins son enfance, il le savait bien sûr, pourtant une certaine amertume s’était installée en lui. Bien sûr, personne n’y pouvait rien, elle surtout pas. Et son enfance n’avait pas été la pire que l’on pouvait trouvé, et pourtant…

Et pourtant…

Quelques minutes plus tard, les maisons avaient étés assignées. Griffondor pour elle. La maison qu’elle désirait tant, parce que toute sa famille était passée par là et qu’elle signifiait tous ceux qui avaient les bonnes qualités et qui savaient les mettre en avant. Mais il ne savait pas lui. Il ne savait pas les mettre en avant, et c’était plutôt ses défauts qu’il préférait apposer. Pas l’inverse. Surtout pas l’inverse. Après tout, ça n’était pas faux non ? Il n’était qu’un bon à rien, pas foutu de faire quoi que ce soit et avec aucune qualité qui puisse exister. Mais il savait avoir ce qu’il voulait, avec des moyens pas toujours les plus moraux, et il était tombé à Serpentard. Ça tombait bien en vérité, c’était ce qu’il souhaitait de tout son cœur malgré tout ce que l’on pouvait dire sur la maison. Parce que s’il n’avait pas été dans cette maison là, toute la famille lui serait retombé sur le dos et les journées auraient prévues d’être les pires possibles. Avec ses frères dans les parages, les fins liens qu’il avait fini par tisser n’auraient pas suffis, loin de là. Ils se seraient étiolés à la minute même ou le nom d’une autre maison aurait été prononcé. Mais, bien heureusement, ça n’avait pas été le cas. Bien sûr, ils ne l’avaient pas lâché pour autant, mes les choses furent moins pires qu’il avait pu le penser, mais ce fut surtout grâce à sa prise de confiance, un caractère bien plus fort qui s’était développé durant toute sa première année. Déjà proche de la jeune femme qu’il avait connu à son arrivée, elle fut rapidement une véritable amie, ainsi que deux garçon de la même maison.|||Sortant assez régulièrement la nuit, ils auraient bien dus s’apporter des problèmes, mais ça n’avait jamais été le cas, le jeune homme, faisant preuve de cette malice qui s’était développée en lui depuis longtemps, il avait toujours fait en sorte qu’ils ne se fassent jamais prendre. Au contraire, deux jeunes de Griffondor firent les frais de leur conneries. Les deux Rowe qui étaient arrivés en même temps que lui l’école. Bien sûr, ils le comprirent rapidement mais leurs sorties nocturnes continuèrent et ce fut rapidement une… grande histoire d’amour entre eux… bon, d’accord : de haine. Se faisant retombé chaque bavures les uns sur les autres, enchaînant les insultes au ton sarcastiques et les rires moqueurs quand les autres se retrouvaient dans une situation quelque peu compliquée. Éternelle rancœur, celle ci ne diminue pas malgré les années, bien au contraire.

Et puis, une nouvelle Rowe fit son apparition. Aileen. Et les choses continuèrent sur leur lancée. Une véritable haine s’enclencha tout de suite chez la jeune femme, et n’importe qui aurait pu le voir. Lui s’amusait surtout de toute cette rancœur dans la famille et se surprit régulièrement a jouer avec ça. Les crasses s’enchaînant, personne ne sembla prendre a cœur de calmer les choses. Et, à vrai dire, cette situation l’amusait au plus haut point.

Pour ce qui était du petit groupe, il ne changea pas bien que son amie passa au stade petite amie après l’avoir été de Ross, qui d’ailleurs ne le vit pas d’un très bon œil puisqu’il sembla bien les quitter durant toute leur huitième année mais il finit par se calmer grâce à l’action totalement involontaire d’Aileen une nuit de septembre qui fini bien mieux qu’elle avait commencer.

Doué en cours, il enchaîna les notes positives tout au long des années et ce pour avoir la note maximale à l’examen de défense contre les forces du mal, et pas que. Ce dut être pour ça que deux ans plus tard, il était revenu à l’école, mais pour y travaillé. Tout le monde pouvait être d’accord, lorsqu’il avait décidé d’avoir quelque chose, il l’avait sans problèmes tant que ses parents ne s’en mêlaient pas. Et, étant donné qu’une fois la majorité atteinte, il n’était plus rentré chez lui, ça ne risquait plus d’arriver.
Une fois sorti de Pourdlard, le jeune homme avait continué ses études, enchaînant dans les meilleurs disciplines, il mit une année à se consacrer à tout ça, et, étrangement à Livy, la jeune femme avec qui il avait pourtant rompu à la fin de la huitième année. Vu le désordre que ça avait causé cette année là et la suivante pour eux comme pour leur entourage, ils en avaient déduis qu’il valait mieux arrêter les frais et continuer à se voir comme des amis, même s’il y avait eut plus simple comme situation. Mais ils n’avaient pas fini leurs conneries insensées apparemment, ce qui eut pour conséquence la perte simple et concrète de leur ami commun qui apparemment n’avait toujours pas digéré le coup qu’ils lui avaient fait à dix-huit ans et qu’il aurait voulu plus, besoin qui ne s’était pas assouvi. Depuis, ils n’entendirent plus parlé de lui. Mais la jeune femme partie en Albanie une année et demi après, en profitant cependant pour le pistonner, chose qu’il ne sut jamais cela dit. Mais lorsqu’une lettre lui fut transmise, il se surprit a se douter qu’elle n’y était pas pour rien, étant issue d’une illustre famille, ce qui lui faisait penser que les choses avaient dues être pire pour elle que pour lui, chose assez envisageable pour lui, il fallait l’avouer.

Professeur remplaçant. Les études qu’il faisait sans trop savoir pourquoi le lui permettaient largement. Et peut de personnes se poussaient à ce post, ce qui le plaçait en première place pour ce post. Son retour à Poudlard se dit en souriant. Un sourire froid quand il vit la réaction d’une vieille connaissance qu’il avait étrangement plaisir à retrouvé. Aileen. Que la stupeur et l’horreur qu’avait provoqué son retour déclenchèrent de nouveau la rage qu’elle avait déjà tellement ressenti alors que les choses reprirent leur cour. Manifestement, leurs rapports ne risquaient pas de changer. basés sur les moqueries a répétition, les crasses, les coups bas, et, à présent, les points en moins pour sa maison.

À la fin de l’année, il s’avéra que le professeur qu’il avait remplacé, avait prit sa démission à cause d’une histoire … vampirique dirons nous. Histoire dont il ne savait pas grand chose mise à part qu’il restait pour le poste, et ça lui allait parfaitement, en particulier à cause du fait qu’il n’avait plus grand chose pour se nourrir et se loger, chose qui s’arrangeaient largement en étant à l’école.

Il y en aurait une qui allait avoir une mauvaise surprise.

Ce qui fut parfaitement le cas !


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Prénom: Elise
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M. Logan Rivers
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M. Logan Rivers
Jeu 3 Sep 2009 - 16:13
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The Story
Of My Life...
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Né d’une aventure entre une moldue japonaise et un sorcier anglais, le jeune homme n’avais jamais été vraiment voulu. Pourtant, il due intégrer la famille de son père quand sa mère font déclarée décédée d’un accident de voiture à celui ci. Nouveauté, des frères et une famille complète de sorcier. Une nouvelle mère qui se forçait à l’apprécier, bien sûr, il n’avait jamais été complètement à l’aise, mais c’était tout ce qu’il avait, alors il fallait faire avec. Solitaire, il avait pourtant fait des efforts, comme son père le lui disais sans arrêt. Ça devais venir de ses origines. Comment le louer dans la famille, bien sûr, c’était impossible. Mais ça n’était pas de ces gènes là dont il parlait comme le petit l’avait tout d’abord cru. C’était bien de sa mère, moldue, contrairement à la femme avec qui il vivait et qui avait donné naissance à ses trois frères. Alors il avait fini par le penser aussi, sans trop se poser de questions, il avait vu ses frères quitter la maison chaque année tendis qu’un seul revenait encore durant les fêtes. La première année, c’était comme ça ici, mais le jeune Marek avait toujours pensé que si ses parents voulaient toujours qu’au moins un de leur fils rentre durant le plus souvent possible, un de leurs véritables fils, c’était pour retrouver un peut plus de leur véritable famille, le voir moins présent chez eux en quelque sorte. Voilà ce qu’était sa famille, des frères avec qui il avait été plus ou moins proches et des parents qui lui avaient toujours semblé plus être là en tant que décors qu’autre chose, comme il l’était à leurs yeux. Pour ce qu’il était de ses frères, il avait été proche de l’aîné ainsi que du plus jeune mais le troisième l’avait toujours hais. Pourquoi, ça il ne l’avait jamais comprit, c’était le plus proche de leurs parents, celui qui se rapprochait le plus de leur manière de penser. Étroite d’esprit et absolument borné d’après la petite idée qu’il s’en était fait. Ses autres frères avaient des idées un peut plus nuancée.


Le petit avait changé de famille sans trop comprendre ce qu’il se passait. Trop jeune pour comprendre tout ce qu’il venait de perdre, il avait fait que verser quelques larmes silencieuses dont il ne connaissait les origines. En attendant de repartir dans son pays, sa mère était restée ici, dans une maison d‘hôte qui s‘était pris d‘amitié pour elle. Et puis, elle avait garder un peut d‘argent que le père du garçon lui avait donné et qu‘elle avait tout d‘abord refuser. Ne pas parler de ce qu‘il s‘était passé malgré la naissance du petit 9 mois plus tard. S’occupant de lui, elle lui avait porté tout l’amour qu’une mère peut offrir. Pourtant, le jour ou la jeune femme voulu repartir chez elle, il y eut un accident. Le petit, resté avec ce qui aurait pu rester une famille d’accueil, ne comprit pas ce qu’il se déroula ensuite. Passant de mains en mains, il fini avec un homme qu’il n’avait jamais vu de sa vie, entouré de deux jeunes enfants et d’un bébé, il grandis dans cette famille, jamais réellement à l’aise, il fit tout pour s’adapter. Bien sûr, pour lui, ce fut comme s’il avait toujours été là, mais l’impression d’être un étranger avait demeuré. « Ton » fils. Mais il n’avait jamais été celui de quiconque dans cet endroit. Le frère, oui, déjà plus. Pour le plus jeune, il s’en était tellement occupé qu’il aurait été impossible qu’il ne soit pas reconnu comme tel, mais en ce qui concernait ses frères plus âgés, il passait sa vie à se battre avec, pour l’un, s’était amical, pour l’autre, les choses étaient bien différentes, il le haïssait, car il n’était pas de sang pur, ça, il l’avait bien comprit et on le lui avait assez répéter. Seul ces sorciers là comptaient, c’était ce qu’il avait fini par retenir, avec un certain agacement. À présent, il voulait surtout prouver qu’il était capable de quelque chose. Et ce, par n’importe quel moyen. Réussir. Pas prouver qu’il était le meilleur, juste prouver qu’il valait quelque chose, et non se retrouver résigner à la plonge. Pas un sorcier, il l’avait penser, il l’avait même cru, comment aurait-il pu l’être de toute manière ? Il n’avait jamais été capable de quoi que ce soit et rien ne s’était déclencher. Alors il s’était révélé doué pour de nombreuses choses, mais rien qui se rapprochait de ce monde auquel il aurait voulu appartenir complètement. Ne pas être un parjure comme disais son père et le fils de celui ci. Faisant preuve d’une certaine malice, il s’avérait réussir à avoir ce qu’il voulait plus que régulièrement. Sauf quand cela concernait sa famille. Rien n’était assez bien pour eux et ça, il l’avait comprit très rapidement. Peut être trop même, ne mettant aucun espoirs en leurs réactions, il n’attendit jamais rien d’eux, pas un marque d’affection, rien. Si cela pouvait être triste en pensant qu’ils étaient en réalité ses parents, ça lui paraissait juste complètement naturel étant donné leurs réactions en sa présence. Oh, ils n’avaient jamais étés réellement exécrables, juste quelques fois violents et la plupart du temps plus qu’irritants par leur comportement envers lui.

Et puis, il y avait eut cette histoire de lustre durant une réunion de famille. Le jeune homme, énervé avait vu le lustre en question se décrocher pour aller s’écrouler sur son cousin. Son frère tout comme son père l’avait fixé avec un regard qui se rapprochait plus du dédain que d’autre chose. Le plus jeune lui avait adressé un grand sourire qui fut le plus réconfortant de sa courte vie tendis que le dernier de ses frères l’avait frapper à l’arrière du crane lui disant qu’il avait intérêt de continuer la lignée de la famille, être chez les Serpentards. Bien sûr, le jeune homme avait entendu parlé de tout ça, mais à vrai dire, il n’y avait jamais fait tant attention que ça, pensant de tout son être qu’il ne serait jamais un sorcier, il avait préférer ne pas trop écouter pour ne pas se torturer. Alors il n’y avait pas tout de suite cru. À cette supposition avait suivit l’éternelle rengaine de leurs père, enjoint tout de suite par celle qu’il considérait tout de même comme sa mère. Ils ne devraient pas aller dans cette école ci. Pas assez stricte, elle n’apprenait pas ce qu’il aurait fallu. L’allusions qu’ils faisaient à ce moment, le petit ne l’avait pas bien comprit avant de comprendre exactement tout ce qui concernait la magie noir, celle qu’ils appréciaient apparemment beaucoup dans sa famille. Celle qui l’amusait tout autant, tout en sachant qu’elle pouvait s’avérer très dangereuse. Mais ici, elle était tellement prise en jeu, comme beaucoup de chose à vrai dire. Un peut trop, certaines qu’il ne trouvait d’ailleurs réellement pas divertissantes, surtout lorsqu’il s’agissait de moldus. Ou de n’importes quelles créatures jugées par sa famille comme moins importantes, sous races. Combien de fois avait-il entendu cette rengaine ? Mais il y avait eu moins quelque chose de bon a ne pas avoir été autant aimé qu’avaient pu l’être ses frères aînés, il avait apprit a nuancer un peut, et, surtout, avec le comportement de ses parents, il avait comprit qu’il ne fallait pas toujours prendre les choses pour véritables, quelque soit la personne qui l’énonçait.

Alors le garçon avait fini par recevoir une lettre. C’était confirmé, il était bien un sorcier malgré tout ce qu’il avait pu penser. Pourtant, on lui avait tellement répété… et cela recommença à cet instant, les deux Rivers lui répétant qu’il n’était pas à la hauteur, qu’il n’aurait pas dut être un sorcier, qu’il n’en avait pas le droit, pas avec ces gènes là dans son être. Mais c’était bien le cas et la rage qu’il avait nourri toutes ces années faisait qu’il voulait s’avérer bien plus doué que tout autres de cette famille. Et s’il n’avait jusque là pas eut le droit de toucher aux ouvrages pouvant l’aider, il comptait bien tenter de prouver sa valeur. Après tout, il n’était qu’un sang mêlé, et ça, il ne pouvait l’oublier. Cela prouvait qu’il n‘était rien, et ça ne pourrait changer. Mais il ferait de son mieux. Juste pour nourrir cette rage et cette envie de réussir. Parce que c’était tout ce qu’il pouvait faire dans sa situation et, au fur et à mesure que le temps d’entrée à Poudlard approchait, ces envies devinrent réellement une obsession pure.
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M. Logan Rivers
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M. Logan Rivers
Jeu 3 Sep 2009 - 16:14
# In the magic life #

À son arrivée à Poudlard, le jeune homme s’était tout de suite détaché de ce qui était sa famille, restant tout de même, plus par timidité qu’autre chose auprès du frère dont il était le plus proche. Andy’ comme il se faisait sans arrêt. L’autre étant déjà préfet, il ne cessait de le faire remarqué, ne pouvant s’empêcher de prévenir le jeune homme sur tout ce qu’il ne pourrait pas faire, car il comptait bien ne rien lui laisser passer, ce qui signifiait bien évidemment qu’il comptait lui pourrir chacune de ses futurs années. Et, il savait parfaitement qu’il ne risquait pas d’y échapper. L’exaspération passant au dessus de sa timidité brutale, le jeune homme s’éloigna de ses frères pour préférer avancer seul. Bientôt, une jeune fille vint lui parler et, malgré son comportement asocial, il lui avait semblé libérer de parler avec quelqu’un qui ne faisait pas parti de sa famille. Grande, efflanquée, brune et plus gentille qu’elle n’y paraissait, elle venait d’une famille qui aurait pu copiner avec sa sienne sans trop de problèmes. Le même genre d’éducation, ce qui n’était pas le cas de l’amie qui la suivait tout le temps. Une famille dans laquelle il aurait bien aimer grandir plutôt qu’ici, et il n’était pas le seul, bien évidemment. Mais ça n’avait pas été le cas, c’était tout, il n’y pouvait rien et il ne fallait pas revenir sans arrêt sur ce genre de choses, on ne choisi pas sa famille et encore moins son enfance, il le savait bien sûr, pourtant une certaine amertume s’était installée en lui. Bien sûr, personne n’y pouvait rien, elle surtout pas. Et son enfance n’avait pas été la pire que l’on pouvait trouvé, et pourtant…

Et pourtant…

Quelques minutes plus tard, les maisons avaient étés assignées. Griffondor pour elle. La maison qu’elle désirait tant, parce que toute sa famille était passée par là et qu’elle signifiait tous ceux qui avaient les bonnes qualités et qui savaient les mettre en avant. Mais il ne savait pas lui. Il ne savait pas les mettre en avant, et c’était plutôt ses défauts qu’il préférait apposer. Pas l’inverse. Surtout pas l’inverse. Après tout, ça n’était pas faux non ? Il n’était qu’un bon à rien, pas foutu de faire quoi que ce soit et avec aucune qualité qui puisse exister. Mais il savait avoir ce qu’il voulait, avec des moyens pas toujours les plus moraux, et il était tombé à Serpentard. Ça tombait bien en vérité, c’était ce qu’il souhaitait de tout son cœur malgré tout ce que l’on pouvait dire sur la maison. Parce que s’il n’avait pas été dans cette maison là, toute la famille lui serait retombé sur le dos et les journées auraient prévues d’être les pires possibles. Avec ses frères dans les parages, les fins liens qu’il avait fini par tisser n’auraient pas suffis, loin de là. Ils se seraient étiolés à la minute même ou le nom d’une autre maison aurait été prononcé. Mais, bien heureusement, ça n’avait pas été le cas. Bien sûr, ils ne l’avaient pas lâché pour autant, mes les choses furent moins pires qu’il avait pu le penser, mais ce fut surtout grâce à sa prise de confiance, un caractère bien plus fort qui s’était développé durant toute sa première année. Déjà proche de la jeune femme qu’il avait connu à son arrivée, elle fut rapidement une véritable amie, ainsi que deux garçon de la même maison.|||Sortant assez régulièrement la nuit, ils auraient bien dus s’apporter des problèmes, mais ça n’avait jamais été le cas, le jeune homme, faisant preuve de cette malice qui s’était développée en lui depuis longtemps, il avait toujours fait en sorte qu’ils ne se fassent jamais prendre. Au contraire, deux jeunes de Griffondor firent les frais de leur conneries. Les deux Rowe qui étaient arrivés en même temps que lui l’école. Bien sûr, ils le comprirent rapidement mais leurs sorties nocturnes continuèrent et ce fut rapidement une… grande histoire d’amour entre eux… bon, d’accord : de haine. Se faisant retombé chaque bavures les uns sur les autres, enchaînant les insultes au ton sarcastiques et les rires moqueurs quand les autres se retrouvaient dans une situation quelque peu compliquée. Éternelle rancœur, celle ci ne diminue pas malgré les années, bien au contraire.

Et puis, une nouvelle Rowe fit son apparition. Aileen. Et les choses continuèrent sur leur lancée. Une véritable haine s’enclencha tout de suite chez la jeune femme, et n’importe qui aurait pu le voir. Lui s’amusait surtout de toute cette rancœur dans la famille et se surprit régulièrement a jouer avec ça. Les crasses s’enchaînant, personne ne sembla prendre a cœur de calmer les choses. Et, à vrai dire, cette situation l’amusait au plus haut point.

Pour ce qui était du petit groupe, il ne changea pas bien que son amie passa au stade petite amie après l’avoir été de Ross, qui d’ailleurs ne le vit pas d’un très bon œil puisqu’il sembla bien les quitter durant toute leur huitième année mais il finit par se calmer grâce à l’action totalement involontaire d’Aileen une nuit de septembre qui fini bien mieux qu’elle avait commencer.

Doué en cours, il enchaîna les notes positives tout au long des années et ce pour avoir la note maximale à l’examen de défense contre les forces du mal, et pas que. Ce dut être pour ça que deux ans plus tard, il était revenu à l’école, mais pour y travaillé. Tout le monde pouvait être d’accord, lorsqu’il avait décidé d’avoir quelque chose, il l’avait sans problèmes tant que ses parents ne s’en mêlaient pas. Et, étant donné qu’une fois la majorité atteinte, il n’était plus rentré chez lui, ça ne risquait plus d’arriver.
Une fois sorti de Pourdlard, le jeune homme avait continué ses études, enchaînant dans les meilleurs disciplines, il mit une année à se consacrer à tout ça, et, étrangement à Livy, la jeune femme avec qui il avait pourtant rompu à la fin de la huitième année. Vu le désordre que ça avait causé cette année là et la suivante pour eux comme pour leur entourage, ils en avaient déduis qu’il valait mieux arrêter les frais et continuer à se voir comme des amis, même s’il y avait eut plus simple comme situation. Mais ils n’avaient pas fini leurs conneries insensées apparemment, ce qui eut pour conséquence la perte simple et concrète de leur ami commun qui apparemment n’avait toujours pas digéré le coup qu’ils lui avaient fait à dix-huit ans et qu’il aurait voulu plus, besoin qui ne s’était pas assouvi. Depuis, ils n’entendirent plus parlé de lui. Mais la jeune femme partie en Albanie une année et demi après, en profitant cependant pour le pistonner, chose qu’il ne sut jamais cela dit. Mais lorsqu’une lettre lui fut transmise, il se surprit a se douter qu’elle n’y était pas pour rien, étant issue d’une illustre famille, ce qui lui faisait penser que les choses avaient dues être pire pour elle que pour lui, chose assez envisageable pour lui, il fallait l’avouer.

Professeur remplaçant. Les études qu’il faisait sans trop savoir pourquoi le lui permettaient largement. Et peut de personnes se poussaient à ce post, ce qui le plaçait en première place pour ce post. Son retour à Poudlard se dit en souriant. Un sourire froid quand il vit la réaction d’une vieille connaissance qu’il avait étrangement plaisir à retrouvé. Aileen. Que la stupeur et l’horreur qu’avait provoqué son retour déclenchèrent de nouveau la rage qu’elle avait déjà tellement ressenti alors que les choses reprirent leur cour. Manifestement, leurs rapports ne risquaient pas de changer. basés sur les moqueries a répétition, les crasses, les coups bas, et, à présent, les points en moins pour sa maison.

À la fin de l’année, il s’avéra que le professeur qu’il avait remplacé, avait prit sa démission à cause d’une histoire … vampirique dirons nous. Histoire dont il ne savait pas grand chose mise à part qu’il restait pour le poste, et ça lui allait parfaitement, en particulier à cause du fait qu’il n’avait plus grand chose pour se nourrir et se loger, chose qui s’arrangeaient largement en étant à l’école.

Il y en aurait une qui allait avoir une mauvaise surprise.

Ce qui fut parfaitement le cas !
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