─ Nom & Prénom: Takuma Ishida Hayato ─ Maison : Ravenclaw // Serdaigle. ─ Année d'étude / Matière enseignée : 9ème Année ─ Sang : Sang-mêlé ─ Age : 19ans
─ Ce qu'il faut absolument savoir sur moi avant de m'approcher ! : ( 10 lignes minimum ) " Ce gosse est barge.. complètement fou.. "
Takuma est tout simplement un gosse. Il s’amuse avec tout ce qu’il peu trouver, mais rarement au détriment ders autres. Il peu paraitre très décalé, extrêmement à côté de la plaque en fait. Il semble juste se foutre de tout ce qui l’entoure, veut juste jouer et s’amuser malgré le danger dont il ne semble même pas avoir conscience. Il ne semble pas comprendre l’intérêt des cours, n’apprend jamais rien et ne fait jamais ce qu’on lui demande. Il vrai gosse qui n’en fait qu’à sa tête et qui semble ne jamais avoir souffert puisqu’il garde constamment le sourire au lèvre. Et s’il le perd, ça ne durera pas bien longtemps. Mais en réalité, si c’est bien un véritable gamin, il est extrêmement doué en ce qui concerne l’école, mais question relations sociales, c’est pas vraiment ça. De plus, il déteste montrer qu’il peu être doué en quelque chose tout comme il n’avouera jamais qu’il est issu d’un milieu aisé. Mais il ne se plaindra surtout pas non plus. Il n’avouera jamais de son plain gré qu’il a souffert et qu’il continu à être torturé par nombres de choses. Le vrai gamin qui semble ne s’apercevoir de rien en réalité en connais pas mal sur tout ce qui peu se passer. Il sait qu’il peu être insupportable et en joue parfaitement, en particulier auprès de ceux qui cherchent à le changer ou l’enfermer. Dommage, il connait beaucoup de choses, rien qu’en magie, quand il s’agit de faire chier son monde. Navrée de l’expression, mais c’était celle qui convenait… comme par exemple changer de coiffures en non stop pour qu’elle soit le plus barge possible selon ses envies. Même chose pour son style vestimentaire. Pourquoi ? Parce que ça avait toujours exaspéré ses parents et que même s’il ne pense plus réellement à les énerver eux, il comprit rapidement que ça marchait de la même manière avec les autres. Ses éducateurs qui n’étaient pas allés très loin dans leur taché et maintenant les Supérieurs. En gros, ce mec est une véritable plaie quand il le veut, et il faut bien dire qu’il le veut très, très souvent. Mais d’un autre côté, il se révèle extrêmement généreux, attentionné et avenant. Il faut juste lui laisser sa chance, et bien peu le font, ça il le sait parfaitement, ça n’est pas pour rien qu’il a connu parfaitement un bon nombre de commissariat des deux pays qu’il a fréquenté. Pas pour rien également qu’il a rapidement comprit comment ouvrir ce qui est pourtant bien clos. Doué en magie, quand il le veut diront nous. Doué tout court. Même réponse. C’est surtout un garçon très débrouillard, contrasté et extrêmement joueur. Mais s’il est rare qu’il passe inaperçu, il reste pourtant extrêmement discret sur lui-même. Tout simplement parce que tous ont toujours tendance aux idées préconçues à son sujet.
Un petit barge plein d’enthousiasme et de joie de vivre, même si le connaissant, si celle-ci est réelle, elle n’en demeure pas moins extrêmement étonnante. Mais il a juste envie de s’amuser un peu, sachant parfaitement combien le prix d’un sourire peut être cher lorsque l’on sombre dans une spirale sans fin dont il est pourtant sorti. Grace à quelques personnes, il ne perd pas le gout de l’humanité qu’il sait parfois brillante de bonté malgré toutes les horreurs dont elle est capable en parallèle. Il veut juste y croire et se foutre de la douleur et du reste pour s’amuser, encore et encore, au détriment de ceux qui ont toujours voulu en faire ce qu’il aurait dû être. Mais le côté pingouin bien rangé, il l’a essayé, ne lui va pas du tout. Il souffre peut être, surement en fait d’un syndrome de Peter-Pan bien marqué, mais s’en fout, puisqu’il est bien comme ça. Et si tout ne va pas toujours dans sa tête, il sait qu’il faut forcer un peu les choses pour que ce qu’on veut se réalise, et il ne pense pas avoir le temps d’attendre qu’on le rende heureux. De toute manière, sans se forcer, on n’évolue pas, et il le sait. Après tout, c’est un juste gosse qui a extrêmement souffert et qui ne veut surtout pas que la déprime le rattrape de nouveau. Mais contrairement aux apparences, on ne peut réellement pas dire qu’il est vide et ne comprend pas la nature humaine. Il a juste décidé de forcer le destin et d’être heureux malgré tout le reste. Malgré les autres et leurs chaines, et leurs coups qui ont laissé des marques bien visibles sur son corps. Sauf qu’il a déjà fait parti des autres. Et il ne serait plus jamais comme eux. Comme eux tous.
Emancipation accordé Gamin.
↣ Personne n'est parfait : Sa plus grande qualité doit être de ne pas se laisser démontrer et de rester paradoxalement lui-même. Extrêmement calme, il refuse à présent en règle générale de se battre et d’être de nouveau violent comme il l’a été durant son adolescence pure. Comme défaut, sûrement celui de se foutre royalement du regard des autres mais d’en avoir paradoxalement extrêmement peur vis-à-vis de tout son passé lourd de sens et de regrets. De plus, parti dans ses délires, il sait apporter des problèmes autour de lui et ne voit pas toujours l’instant où il dépasse les bornes et ne fait pas que se mettre lui en danger mais aussi les autres. Il doit y avoir sa bonne humeur constante qui entre dans les deux catégories et sa manière constante d’exaspéré bien du monde par son côté gamin parfaitement affirmé.
↣ J'avoue ce truc me fiche une peur bleue : Une brume sombre où l’on peut distinguer bien des visages mais que lui seul connait. Et puis des voix s’élèvent, lui reprochant nombre de choses tendis que l’on peu distinguer sa mère, une lame à la main, le cadavre d’un enfant derrière, ligoté. Une certaine période de sa vie qui l’a torturé constamment et qui ne semble pas vouloir s’estomper. La peur de penser que ceux qu’il a aimé le haïssent au point de vouloir l’emprisonner et le tuer sûrement.
↣ C'est lui qui me protège en cas de besoin : Il ne le connait pas encore
↣ Suis-je exceptionnel(le) pour autant : Celui d'emmerder son monde.. et celui de cacher extrêmement bien, un peu trop peut être qu'il est un surdoué ... mais sinon non.
↣ Que serai un véritable sorcier sans elle : Faite de Cassine Orientalis associé à du menselinier pour la souplesse avec un poil de Lutin de Cornouialle.
↣ Ça agace les autres, mais j'aime le faire* : Si vous avez un Tic, à vous de le préciser.
─ Voilà à quoi je ressemble : ( 5 lignes minimum ) Takuma est un nippon assez petit, androgyne il faut bien l’admettre et assez maigre malgré ce qu’il peut avaler quand il le veut xD. La chance >< musclé, quand même, il avait quelque part intérêt pour survivre à tout ce qu’il a dû affronté, mais étrangement, s’il sait parfaitement se battre, il n’en a plus aucune envie et sait parfaitement contrer les coups et les encaisser. S’il garde ses yeux naturels, ses cheveux eux, magnifiquement rebelles au réveil, changent bien souvent de forme, taille couleur pour une coiffure généralement hors norme passant par toutes les couleurs possibles et imaginables. Il a rapidement en effet comprit comment faire grâce à la magie, le côté tête rasé, il n’aimait pas vraiment ça, alors tout le monde pensait qu’il soudoyait le coiffeur… résultat le centre de rééducation a fini par ne plus en avoir du tout. Question style, il manifestement évidement une certaine envie de se démarquée, bien caractéristique d’une partie du Japon. Résultat, des styles vestimentaires et juste physiques très variables selon ses humeurs et qui ne traduisent absolument pas une obsession de l’apparence physique mais encore et toujours juste une envie de s’amuser avec ce qu’il trouver à sa porté. Pour ce qui est de sa beauté, il ne s’en aperçoit pas, mais elle existe manifestement. Il ne s’est justre jamais posé la question, trop absorbé à répondre au reste.
Storyboard.
" Une vingtaine de lignes vous sont demandées. Racontez l'histoire de votre personnage. Du berceau à aujourd'hui. Parler de votre famille, la découverte de la Magie...
"
Mon histoire ? Son histoire ? Elle est pas franchement intéressante si ? C’est-ce que je suis maintenant qui vaut quelque chose. À quoi ça sert, jsuis pas quelqu’un qui sais ce plaindre. Qu’importe ? Qu’importe. Il n’existait que dans ses conneries, que dans sa manière immorale de chercher a attirer l’attention de ses parents.
Lorsqu’il était né pourtant, ils étaient tous très proches, et puis il y avait eu la maladie de son grand père qui avait participé en grande partie à l’élaboration de leur fortune. Celle dont-ils n’avaient rien touché et qui arriva à la mort du vieux monsieur. Les parents plus éloignés de lui, après tout, ils avaient beaucoup de choses à gérer, la nouvelle maison, le nouveau quartier, la bonne impression, le nouveau travail de son père et bien sûr tout ce qui concernait les obsèques qui étaient venues un peu tard par rapport à la tradition. En bref, l’unique enfant de la famille était seul, à peine assez grand pour aller à l’école, il avait enchainer bêtises sur bêtises pour attirer ne serais-ce qu’un peu l’attention, alors tombaient sur lui les punitions, sans cesses, sans une interruption. Une situation pire encore une fois qu’il entra à l’école primaire. Plus de possibilités encore peut être, il ne quitterait plus jamais cet esprit joueur du gamin qui avait fini sur le toit de l’école en marchant en équilibre, jouant au funambule, s’imaginant qu’il allait pas tardé à voler, voler de plus en plus loin, loin de ce qu’il savait mal, loin de sa culpabilité, parce qu’il savait parfaitement que tout ce qu’il faisait était mal et faisait souffrir ses parents. Mais s’ils souffraient, ils faisaient également brutalement plus attention à lui. Petit garçon qu’on avait toujours considéré comme celui qui n’avait pas de problèmes, celui qui n’avait d’intérêt que de faire rire la classe, mais il n’aimait pas ça, n’était pas quelqu’un d’insolent, d’ailleurs, fatigué, il lui arrivait bien souvent de ne rien faire, las de ne pas arriver réellement à ses fin, épuisé de voir toutes ses tentatives infructueuses, exténué de sentir sans arrêt sur lui des regards méfiants, se demandant quand on enfermerait ce gosse, quand ses parents se réveilleraient un peu et lui donneraient une éducation bien plus stricte pour en faire un de ces pions qui fondaient la société. Quand ? Il fallu attendre que le petit ne rentre pas chez lui et passe par le muret derrière l’école pour ne pas se faire surprendre dans sa fuite par celui qui était chargé de venir chaque jour le chercher après sa journée et le faire faire ses devoirs. Soit, lui répéter que les cours sont importants pour se former et pour son avenir, qu’il faut absolument être comme il est écrit dans les livres, sinon le bonheur ne s’ouvrira jamais à nous. Mais il n’avait juste pas envie d’écouter tout ça, il lui semblait tout connaitre de tout ce qu’ils disaient tous, comme s’ils se foutaient juste de lui tendis qu’il lisait encore et encore pour tromper sa solitude, tendis qu’il inventait milles et unes histoires toutes passionnantes mais dont le héro était bien loin de ce qu’il était lui. Un minable, juste un gosse de la Haute ne sachant pas ce qu’est la vie, qui veut juste se faire repérer parmi les autres, qui veut juste ne pas se laisser happer par tout le reste. Il était surdoué, tout simplement, mais on le voyait comme un cancre, alors c’était ce qu’il était resté aux yeux de tous. Mais tous, ça ne l’intéressait pas, lui il voulait le regard de ses parents, uniquement d’eux. Mais il ne l’eu pas. Et le jour où il franchi ce muret et gambada le long des rues, évitant par instinct bien plus que par connaissance de cause celles qui risquaient de lui apporter bien des soucis, il ne sut pas qu’il avait fait une grosse, très grosse bêtise. En effet, il n’était rentré qu’une fois la nuit couchée, soit vers neuf heure du soir. Et depuis l’heure de la sortie, en d’autres termes, depuis cinq heures, l’homme chargé de lui s’était fait viré et ses parents s’étaient disputés avec une violence rare. Bien sûr, c’était souvent arrivé auparavant, secouées par les bêtises de leur fils, ils avaient fini par rejeter la faute sur l’autre. Mais ce jour là, ils crurent qu’il s’était passé quelque chose de bien plus grave. Mais qu’est-ce que le petit en savait au juste lui ? Il avait lu des choses qui n’étaient bien évidement pas de son âge mais tout ce qu’il pouvait se passer aux infos à la télé, il s’en était toujours tenu éloigné pour la simple et bonne raison qu’il passait ses soirées enfermé et isolé pour les bêtises de la veille. Quoi qu’il s’était souvent dit qu’il y resterait même s’il n’avait rien fait. Tout ce qu’il ne comprenait pas, c’était pourquoi s’il avait une vie bien plus enviable que celle de tous, alors pourquoi eux avaient ils le droit à l’affection de leurs parents. Pourquoi les siens ne comprenaient pas ce qu’il voulait, pourquoi ne savaient ils seulement pas quel était le nom de ses amis de l’époque, depuis longtemps oubliés lorsqu’il entra à l’école de magie l’année de sa déchéance ?
Parce que tout se passe rarement comme prévu.
Ayant passé la seconde partie de son escapade chez un ami, le petit garçon ne se doutait pas vraiment qu’en revenant chez lui, ce seraient de véritables foudres qui l’attendraient. Sauf dans les yeux de sa mère. Car tendis qu’il en oubliait d’écouter son père et ses jérémiades, ce fut cette unique larme qui coula contre ces joues tant aimées. Pourquoi ? Pourquoi était-elle triste à son propos sans le prendre dans ses bras, sans lui montrer une quelconque trace d’affection ? Parce qu’elle cherchait juste à se préserver, car elle devrait faire le deuil de son fils.
Le lendemain même, une voiture attendait le petit garçon et avec elle, une valise dans le coffre. Son père le regardait sur le porche, ouvrant la porte un peu plus devant le garçon encore en pyjama, les cheveux en bataille pas possible ne laissant aucun doute sur son sommeil récent. Il ne comprit pas exactement ce qu’il se passait. Ils lui faisaient une surprise pour se faire pardonner ? Bien sûr que non, au regard qu’affichait son père, il se passait quelque chose de grave, de très grave. Car tout surdoué qu’il avait pu être, il n’empêchait pas qu’il était un enfant et qu’il mourrait de peur à voir son père le regarder ainsi, sans une once d’amour, juste de la froideur, c’était tout ce qu’il arrivait à distinguer. Sa mère elle, il le savait où elle était et la cherchait des yeux quelques bonnes minutes tendis que les regards sur lui se faisaient de plus en plus lourds d’en sens qu’il ne saisissait pas. Alors il fini par approcher, sa petite bouille réchauffée par le sommeil giflée par le froid extérieur et le vent qui s’y agitait, s’engouffrant sans sa tignasse rebelle pour finir sur le long de sa nuque, provoquant des frissons glacés dans le dos du petit. Sa mère apparu à l’instant même où il entra dans la voiture, cherchant à faire ce que son père lui indiquait sans poser de questions puisqu’il savait que ça ne lui amènerait que de nouvelles foudres. Mais à peine vit il sa mère qu’il se débarrassa de l’étreinte de cet homme qu’il ne connaissait pas et qui voulait le faire entrer pour pouvoir enfin fermer la portière pour alors courir vers elle. Son père voulu les empêcher de se retrouver, d’approcher plus. Mais quoi qu’il pu dire, sa femme alla trouver son petit pour le serrer dans ses bras alors que coulaient de lourdes larmes sur les épaules du petit qui ne sut retenir en cet instant un sanglot épouvanté de détresse. Voir sa mère pleurer, sentir sa souffrance contre soit n’est jamais chose aisée, mais à cet âge là, tout était bien pire. Elle resta là, à le serrer contre elle le plus fort qu’elle le pouvait comme si c’était la dernière fois qu’elle pourrait le faire. Alors le petit comprit que ces gestes qu’il avait toujours tant espérer seraient le symbole d’un grand malheur, celui qui torturait déjà sa mère. Celui qui ferait qu’elle ne le reverrait plus qu’en de très rares occasions.
Mais le temps de comprendre ça prit le pas sur le fait d’en profiter, ce qu’il ne fit pas et qu’il regretta de très nombreuses années. Car bientôt, il vit des ombres chercher à les séparer, alors seulement sa mère daigna prononcer quelques mots saccadés par les larmes. ‘Tu es un sorcier, comme moi‘. il ne comprit pas, ne comprit rien à ce qu’elle voulait dire, ça ne répondait absolument pas aux questions qu’il lui avait poser d’une petit voix tendis qu’elle était tout contre lui. Ça ne lui disait pas pourquoi elle pleurait, qu’est-ce qu’il se passait au juste, pourquoi tant d’agitation ? Où ils voulaient l’emmener ??
Loin. Se contenta de répondre le chauffeur quand le petit fut installé et que la voiture pris le tournant d’une autre vie perdue sous les sanglots d’un enfant et de sa mère. Ce fut à l’instant seul où il cru les voir disparaitre qu’il vi une trace brulante de souffrance infinie dans les yeux de son père. Alors ce fut la rage. La rage parce qu’il ne comprenait pas alors que justement, il avait toujours eu tendance à s’ennuyer durant sa vie à cause du contraire exact. La rage parce que si ses parents souffraient de le voir partir, alors qu’est-ce qu’il se passait, pourquoi le laisser s’en aller, et qu’est-ce qu’il y avait au bout du chemin. Et puis la rage parce qu’il n’était qu’un enfant et qu’il était impuissant à tout ce qui lui arrivait. Détresse.
Quand il arriva, ce fut dans une maison qui lui semblait bien plus grande encore que la sienne. Il quittait ce qui l’avait torturer ; vivre dans une maison où brillait la richesse pour arriver dans une bâtisse bien plus grande et imposante encore. Mais il aurait juste voulu passer inaperçu. Juste qu’on l’oubli, il voulait comprendre et arrêter de sentir ces larmes briller sur ses joues. On l’emmena alors dans un centre d’éducation pour enfants perturbateurs. Des personnes bien formées, heureusement, sûrement, vu le prix qu’avaient payer ses parents. Mais en quoi ça lui importait ? On l’avait une fois déjà arraché à ce qu’il avait connu, ça changeait une nouvelle fois, mais si la première fois ses parents avaient changer de comportement, là il ne les voyait que très rarement. Et en ces instants, ils semblaient une nouvelle fois très différents. Distants, comme s’ils avaient peur de s’apercevoir qu’il l’avaient mit là, le privant de son chez lui, de ses amis et surtout, au grand surtout, de ses parents. Alors qu’il n’avait fait que vouloir se rapprocher d’eux, attirer leur attention simplement. Simplement. Mais finalement, au fur et à mesure des semaines, il fini par s’attacher à quelques jeunes femmes toujours douces et gentilles, présentes pour tous les gosses en détresse qu’on avait placé là. Peut être était ce juste parce qu’il les avaient entendu parler un soir de son cas. « Un petit garçon très agité, avaient-elles dit, qui n’avait pas sa place ici et dont les parents n’étaient que des idiots. C’étaient les plus démunis qui amenaient leurs enfants ici à regret, pas les plus riches » . Une nouvelle fois, on faisait la différence entre lui et les autres gosses. Mais cette fois, il faisait apparemment parti de ceux qui avaient des problèmes et une raison de souffrir. Il avait une raison de ne pas se sentir comblé, il avait une raison de sentir ce vide immense dans le fond de ses entrailles. Et étrangement, ça lui donna du courage voir de la joie. Joie d’être malheureux. Il ne serait jamais un gosse comme les autres, c’était clair, ça l’avait peut être toujours été pour certains, pas pour lui en tout cas, il n’était qu’un gosse insignifiant, sans importance. Mis à part peut être qu’il faisait rire son monde. Même la jeune femme, une américaine avec un regard si triste qu’il avait sans arrêt envie d’aller la voir et de lui dire de sourire, elle était plus jolie en souriant, il n’en doutait pas une seconde. Alors à force de faire le pitre à ses côté, il fini par le voir ce beau, ce magnifique sourire. Ce jour là, il l’emmena dans une danse joyeuse qui la fit sourire de plus belle par son absurdité. C’était un gamin haut comme trois pomme qui la faisait rire comme ça et qui cherchait à mener dans ces pas royalement incontrôlés qui ne convenaient manifestement pas du tout au rang de classe qu’on lui avait donné à son entré.
« T’es un petit garçon bien singulier, tu le sais ? »
Grand sourire du ‘grand’ garçon, fier de connaitre le sens du mot ’singulier’, mais surtout, de l’avoir fait sortir de sa tristesse. Comme si ces choses là se réglaient aussi facilement. Oui, mais qu’importe, il avait fait quelque chose de sa vie, même minuscule, ridicule, c’était déjà un grand pas, une grande victoire, parce qu’il avait toujours douté être utile à une seule chose au moins autre que faire le mal autour de lui.
Alors le petit garçon avait cherché à grandir, jour après jour pour ne plus être considéré comme un enfant, mais comme un grand. Il voulait être grand et rappelait sans arrêt son âge. Mais finalement, cette envie de jouer ressortait toujours, que ce soit le long de la grande rambarde menant des étages au rez-de-chaussée, ou bien aux grimaces qu’il faisait alors qu’on cherchait à lui parler sérieusement. Mais, finalement, quand ses parents revinrent le chercher après six ans d’absence, il perdit tout sourire. De nouveau perdu, il devait retrouver un monde qu’il s’était mit à haïr de tout son être. Il avait fini par tout rejeter sur les fautes de ses parents pour chercher à se protéger lui-même et peut être aussi parce que c’était ce que faisaient tous ceux qui étaient dans ce centre, peut être que c’était une simple manière de se trouver pour une fois comme les autres. « Est-ce que vous compter jouer sans arrêt avec ma putain de vie ? »
« Ta mère a insister pour t’apprendre quelque chose, elle n’a rien voulu m’en dire »
Une dispute avait alors éclaté dans la voiture bien trop luxueuse pour le garçon qui s’était habitué à bien d’autres choses. Plus d’humanité même s’il y avait bien des instants où la sévérité que certains éducateurs pouvaient avoir était dure à gérer, il avait fini par se sentir réellement bien et véritablement à sa place. Il avait même apprit là bas à comprendre les paroles de sa mère en larmes quelques années plus tôt. La magie, il l’avait comprit l’avait même empêchée de se manifester quand il ne le voulait pas. Prémices de la crise d’adolescence, il avait cherché à comprendre les choses par lui-même. Il paraissait que des lettres étaient arrivées, mais ses parents avaient interdit à la direction de lui faire parvenir toutes les lettres à partir de sa 11ème année. or c’était à cet instant exactement qu’il avait cru devenir complètement fou. Mais au bout d’un moment, il avait comprit, ou du moins avait supposé ce qu’il se passait. Quelques enfants bien plus jeunes que lui avaient voulu dire ces choses à leurs surveillants mais, bien sûr, personne ne les cru. Sans savoir exactement pourquoi, le jeune homme en fut rassuré, les autres se taisaient de peur de se trouver de nouveau punis pour mensonges. Au moins, quand il le faisait, il ne se faisait que très rarement attrapé. De toute manière, à force de son passé de perturbateur, il connaissait les ficelles du métier mieux encore que la majorité de ceux qui étaient dans le Centre, et de l’autre moitié, il avait apprit bien des choses. Lors il avait passé des journées entières dans la forêt bordant le centre, sans même penser à aller bien plus loin, mais juste pour essayer de comprendre cette force nouvelle qui sévissait en lui. Car plus les mois passaient, plus elle se manifestait durant ses émotions fortes. Or, s’il savait que ses émotions transparaissaient rarement à travers son attitude et qu’il cherchait au mieux possible à ce que ça soit le cas, plus le temps passait, plus les choses explosaient, se transformaient, fusionnaient, disparaissaient. Bref, il en était la cause et avait mit de longs mois avant que tout semble se calmer. Mais s’il avait réussi à ce que tout ça se disperse, la tempête qui sévissait en lui, depuis ce qu’il avait été ‘son abandon‘, ne daignait s’atténuer. Résultat ? Le calme qu’il avait pourtant cru faire parti intégrante de ce qu’il était s’était écroulé à peine arrivé dans ce qui avait été anciennement chez lui. Le calme s’écroulant en même temps que son silence de tout le voyage.
L’adolescence en temps que période parfaitement troublée commença réellement là pour lui. Quand, une semaine à peine plus tard, il fut à l’extérieur, sous la pluie, ne supportant déjà plus l’ambiance pesante de la demeure. Et puis, ils avaient perdu le gosse qu’il pouvait être, il était celui qui avait été façonné par tout ce qui s’était passé loin, très loin de leur compréhension. Rageur, ne comprenant pas exactement le bordel qui se passait à l’intérieur de lui-même, le jeune homme devint de plus en plus perturbé, violent, impulsif. Gamin, il réagissait comme tout ado, de manière complètement démesurée.
Trois ans plus tard, les choses s’étaient empirées.
Accroupi dans une de ces rues qu’il avait évité instinctivement quand il était plus jeune. Une de ces rues qui éloignaient leur monde, là où les gosses de sa nature n’auraient jamais dû entrer. Mais il ne faisait pas réellement parti de son monde, il n’en avait jamais fait parti, et son séjour au centre avait bien changé sa vision des choses. Il était allé bien des fois voir ce que les autres devenaient. La jeune américaine était retournée dans son pays, quelques gosses avaient retrouvé leur famille, d’autres en avaient découvert une autre mais la plupart, il les avait retrouvé là bas comme ils l’étaient quand il avait quitté l’endroit. Lui en revanche avait bien changé. Lui qui physiquement était comme tous les autres, lui qui n’avait pas cherché à se démarqué avait maintenant un style royalement provocateur directement fait pour mettre en rage ceux qui se disaient encore ses parents mais en qui il avait perdu toute foi. Bien sûr, il aurait en réalité voulu qu’ils finissent par comprendre, mais au final, il les avaient juste énerver plus encore que lorsqu’il était enfant. ça avait toujours été sa manière de se défendre et de chercher des solutions à ses problèmes et ça ne changeait pas. Son envie d’être ‘adulte’ s’était encrée un peu plus. Sauf que le gamin qu’il était ne pouvait grandir si brutalement et se dresser contre toute autorité sans en être profondément troublé. Car au final, durant toute son enfance, il y avait toujours eu quelqu’un pour faire attention à lui, même s’il n’avait réellement apprécier ces derniers protecteurs, il se retrouvait à présent parfaitement seul. Parce qu’il poussait à bout ses parents mais que dans un sens, il en avait besoin pour se sentir exister d’une manière ou d’une autre. Parce qu’il ne voulait absolument pas ressembler à son père, prendre l’argent de la famille et se réfugier dedans, il avait même fini pare se demander, plus jeune, si ça n’avait pas été lui qui lui avait arraché la vie, avant de comprendre qu’il ne vivait pas non plus dans une famille aussi pourrie jusqu’à la moelle. Pourtant, en regardant autour de lui, il se posait bien souvent la question.
Mais au final, il voulait surtout se démarquer, exister d’une manière bien différente, ne pas être comme tous ceux qui se comptaient comme des modèles, ne pas s’attendre à vivre dans un pareil luxe qui le dégoutait au plus haut point, résultat, il avait fini par se débrouiller par lui-même pour s’émanciper de cette vie qui le répugnait et dont il ne voulait absolument pas. Sauf qu’il n’avait pas la carrure pour supporter tout ça. Parce qu’il ne savait pas comment faire, qu’il ne savait plus trop quoi prendre comme modèle, alors il trainait avec une bande d’amis, il faisait connerie sur connerie et se détruisait en partie. Musique trop fortes, fuite face aux forces de l’ordre, il suffit de ça pour comprendre qu’il n’avait pas toujours les idées très claires, besoin de s’évader, besoin de planer et de tout oublier, besoin de rire. Et pourtant. Et pourtant durant toute cette année là, il l’avait passé en dépression nerveuse. Jouant à se détruire comme d’autres l’avaient bien souvent fait avant lui. Déconnant au plus profond, il avait fini avec un esprit d’une noirceur à en faire peur, voyant le pire des choses, frisant la schizophrénie, ne sachant plus toujours différencier l’imaginaire du réel, ne sachant plus la différence entre la violence de son âme et celle de sa vie, il n’avait fait que chercher sans arrêt les emmerdes pures et dures. Juste pour se prouver qu’il existait, même si ça n’était qu’à travers la douleur. Prouver qu’il était capable de supporter, encore et encore, mais il n’avait pas à se plaindre, ancienne rancœur, blocage psychologique. Exister c’est prouver que l’on est capables de supporter les épreuves de la vie, sans souffrance, il n’y a pas d’intérêt a être. C’était ce qu’il avait toujours penser, c’était ce qui l’avait toujours fait souffrir car pour lui, il était celui qui n’avait jamais aucune raison d’être, il n’était que le con qui faisait d’un point ridicule toute une affaire. Si la première fois, il n’avait que des problèmes d’enfant pas trop étonnants, sa manière de voir les choses, beaucoup trop sombres et glauque, sanglant. Malsain. Réellement. Il avait tout simplement de très bonnes chances de mal tourner. Très mal tourner. La rage qui bouillait en lui, le besoin de violence, de destruction, de perdition. Un regard extrêmement sombre et glacial était venu prendre une place dans son comportement, celui qui avait fini par faire peur à ceux qu’il avait côtoyé l’année d’avant encore. Violent, il avait fini par frapper son père lorsqu’il voulu le forcer à rester une fois où il avait décidé le contraire. Oui, il avait en cet instant là dans les veines de quoi le détacher parfaitement de la réalité et le rendre plus impulsif encore que ce qu’il était déjà devenu.
Ce fut arrivé dans une soirée où il manqua de s’acharner sur une amie qui voulait juste l’obliger à ouvrir les yeux sur ce qu’il faisait depuis quelques temps.« Réveil toi bordel, tu te détruis, tu mérites pas ça, t’as déjà bien assez souffert, ça suffis maintenant bordel.. » Il avait assez souffert. Depuis combien d’années il avait attendu qu’on lui dise ça. Existence. Durant la nuit en question et la journée suivante, il disparu pour se remettre les idées au claire. Bon, d’accord, en réalité, il ne disparu pas complètement pour l’amie en question qui était restée une bonne partie de ce temps avec lui. Noémie. Dont il n’avait jamais comprit l’attachement. Étrange ce que l’on peu comprendre compter à l’instant où on pense ne plus jamais croire une seule seconde à la bonté humaine. Et pourtant, il avait réellement décidé de changer. une année de conneries à répétition où il s’était constitué un petit casier judiciaire, une bonne résistance aux substances interdites mais surtout un état extrême de perdition physique. La drogue aidant, il s’était constitué un corps squelettique et plus que mal en point. Mais aussi une relation sur les bords de l’implosion avec ses parents. Or il était encore loin de la majorité.
Changer, se redécouvrir, se relever. Après tout, il avait toujours penser qu’il devrait tout faire seul. Et pourtant c’était une personne à qui il n’avait jamais pensé qui lui avait foutu la gifle qui allait réellement le réveillé et le sortir de sa spirale vers la déchéance.
Rapidement il chercha manifestement à changer. Mais si la véritable famille qui le connaissait voyait les changement, chez lui, personne ne s’apercevait de rien. Mais peu lui importait. Quoi qu’il n’aurait pas dû. Mais il cherchait réellement à changer, il faisait de réels efforts, et une certaine jeune fille en particulier le voyait et son visage s’éclairait de jour en jour quand elle voyait les progrès qu’il faisait. Et puis, étant donné qu’ils se rapprochaient de plus en plus, ça devait sûrement aider pour les deux jeunes gens. Se relever, changer. sauf que ça n’était pas si facile que ça aurait été prévu. Parce qu’il devrait se sevrer, et se sevrer de l’autodestruction, ça n’était pas une mince affaire. Parce que malgré toute la bonne volonté du monde, il finissait bien régulièrement tremblant, épuisée, avec juste l’envie de s’allonger et de tout oublier, ses motivations, ses manques, ses craintes. Bref, faire une pause, que tout ce qui le torturait le lâche enfin.
Petit, il n’y avait pas de raisons de l’envoyer loin, là il avait besoin d’aide. Mais au final, ses parents ne voyaient pas ses efforts puisqu’il était le fils unique qui les avait déçus, qui n’était pas ce qu’ils avaient pourtant toujours voulu, qui ne respectait rien de ce qu’ils appréciaient et qui ne les respectait pas eux. Il foutait sa vie en l’air et leur famille, leur réputation en même temps, se foutait du monde parce qu’il n’était rien d’autre qu’un gosse pourri gâté qui profitait juste de sa famille et de la fortune qu’elle possédait à présent. Au final, ils lui reprochaient une partie de ce que lui leur voyait comme défauts les plus frappants. Ils ne se comprenaient juste pas et ça ne changerait pas. Il y avait vraiment dû y avoir un échange à l’hôpital, pas possible autrement. Il n’était pas fait pour cette vie là, voilà tout. Mais il fini quand même par trouver de quoi prendre son temps quand il ne le passait pas avec Noémy. Quelques amis qui n’étaient pas tombés aussi bas que lui avaient trouver une manière plus simple de se faire de l’argent. Un moyen qui leur évitait de sombrer comme lui l’avait fait. Or il avait toujours besoin de rentrées d’argent pour ne pas se sentir au crochet de ses parents même s’il l’était tout de même. Et puis, il sentait que les tensions finiraient par craquer, alors il avait peur de se trouver à la rue, dans ce cas, autant avoir de quoi retomber sur ses pieds, enfin du moins autant que c’était possible. Alors ils lui avaient proposer de se lancer dans la musique. Ils n’avaient plus ni guitariste, ni chanteur et il avait eu l’excellente idée de chanter sous la douche, nan mais franchement, quelle crétinerie, qu’est-ce qui lui avait prit ? OO et pour ce qui était de la gratte, il y avait passé un bon nombre de temps grâce à celle offerte par une certaine petite Américaine quand il était rentré chez lui. Résultat ? Et bien ça avait marché. Pas qu’il avait un don ou tout autre connerie que la sœur de celui qui avait énoncé l’idée la première fois qu’il les rejoigne, avait l’habitude de dire, juste que ça passait, il se débrouillait et finissait par surtout avoir une énergie insoupçonnée qui revenait de ces périodes où il jouait encore à l’enfant. Un gosse, un vrai gosse, de plus en plus. Et il aimait bien ça. Bien sûr, tout n’allait pas, il était juste épuisé de tout ce qu’il cherchait à gérer. S’il avait reprit quelques temps les cours, bien rapidement, il s’était fait de nouveau exclure de l’école et n’était pas revenu une fois le temps écoulé.
Mais il s’en sortait, doucement, avec une sensation de revivre peu à peu. Des amis qu’il savait présent fidèle et une… ben là, il était pas mal paumé, mais il savait qu’il ne voulait pour rien au monde que tout ça s’arrête. Même si d’extérieur, on pensait toujours à sa manière d’être habillé, coiffé et autres, qu’il n’était qu’un petit merdeu, il prouvait à tous ses proches qu’il changeait. Ou du moins à tous ceux qui voulaient bien le voir. La preuve, il reprit même du poids, fit quelques scènes locales parce que, mine de rien, il y avait un petit quelque chose dans ce qu’ils faisaient qui lui plaisait et qui plaisait apparemment aux autres aussi. Ça n’était vraiment pas ce qu’il voulait faire, mais en attendant il s’amusait. Vraiment. Vraiment trop. Alors il eu de plus en plus une envie de s’amuser, mais pas malsaine comme auparavant, juste une envie de faire le gamin. De sembler se foutre de tout, comme il le faisait avec leur petit groupe. Et ils le disaient tous, ils le préféraient vraiment comme ça, bout en train, gamin comme pas possible plutôt que dépressif et destructeur comme il l’avait été. Petit sourire. Alors autant continué non ? Autant apprendre à vivre puisqu’il y arrivait enfin. Puisqu’il avait réussi ce qu’il avait promis, se sevrer, vivre sans ces merdes dont il avait pourtant tellement eu besoin. Alors même si l’envie restait là, s’il pouvait craquer à tout moment, il n’en avait aucune envie. Le gosse voulait revivre, prendre le dessus sur l’adulte dépressif. Envie de s’amuser, de prendre la vie du bon côté pour une fois et de se foutre de tout ce qu’ils pensaient tous ces cons qui le regardaient toujours avec ce regard inquisiteur. Bonheur.
Déchu.
Rien ne se passe comme il le voulait. Dès son enfance, il aurait dû le comprendre, et pourtant, ce ne fut pas le cas. Car on lui fit la même chose, exactement la même. Il était allé trop loin et ne s’en était même pas aperçu. Avait dépassé les bornes, et n’avait pas même prit la peine de rétablir la situation. Il n’avait pas vu tout ce qui se tramait derrière son dos, pas vu à quel point il était allé loin et à quel point il avait pu blesser. Car il s’en était foutu, il avait cherché à se redresser lui et a être un peu égoïste, il allait payer de ses erreurs, et à peine avait il entendu la porte s’ouvrir derrière lui et les pas approcher que dans sa semi torpeur, il avait comprit que ce qu’il avait cherché à construire venait de se briser. Une aiguille dans son bras. Sauf que celle là, contrairement à celles qui s’y étaient enfoncées quelques temps plus tôt, celle-ci n’était pas là pour l’aider même si ça le détruisait par le même coup. Elle était juste là pour le détruire, rien de plus, rien de moins. Une seule pensée avant de sombrer : il était foutu.
En effet, à peine réveillé, il tremblait comme une feuille, ayant reçu une dose de ce à quoi il était extrêmement accro depuis un an. Un combat qu’il avait voulu gagner avec le plus de forces possibles. Un combat qu’il avait réussi grâce à quatre personnes et ils les lâchait du jour au lendemain, sans trop savoir où il était à présent. Durant son sommeil artificiel il était revenu quelques fois, mais à tous les coups, on le fit repartir, lui donnant soit une nouvelle dose par injection ou par gaz. Au final, quand il se redressa sur le lit un peu trop dur pour qu’il ya ai un martelât digne de ce nom, ce fut pour se trouver face à une grande salle remplie de jeunes mineurs, lui adressant à peine un regard. Rapidement, on vint l’informer de ce qu’il se passait. Lui était resté durant tout se temps stoïque face à tout ce qui se déroulait sous ses yeux. Cette nouvelle fatigue du changement d’environnement et de la trahison de ses proches. Et puis la drogue qui sévissait dans son corps lui avait donné un violent coup au moral comme au reste, lui hurlant sans arrêt ce qu’il avait laissé derrière lui-même involontairement. Un camp de redressement, c’était comme ça qu’on lui avait expliqué la situation. En effet, l’ambiance quasi militaire et les punitions violentes à répétitions ne lui allaient royalement pas. Résultat si les quelques premières semaines, le jeune homme resta inlassablement muet un invisible, très rapidement, il recommença à faire des siennes. Il n’avait jamais été capable de supporter ce genre de comportement envers qui que ce soit, et sa nouvelle situation le faisait rager. Brutalité répétitive, coups à longueur de temps. Sauf que très rapidement, il prit de nouveau gout à se foutre du monde, une activité qui lui plaisait manifestement depuis tout jeune. Pas qu’il voulait réellement attirer des problèmes aux autres ou à lui, il voulait juste partir d’ici, s’en aller et se débrouiller seul. Après tout, il avait un autre atout en main qu’il ne laissait pourtant pas sortir depuis qu’il avait comprit comment la faire taire. La magie. Et elle lui fut bien utile, une fois qu’il eu récupérer de la force pour comprendre ce qu’il lui arrivait. Car pour rajouter à la perdition du garçon, il n’était plus dans son pays de naissance, ce qu’il eut rapidement comprit au vu de la langue qu’il ne parlait presque pas et du type européen majoritaire dans cet établissement. Résultat ? Un moi pour parler la langue puisqu’il n’avait toujours pas changer. pas pour rien que l’école n’était pas pour lui tant qu’on ne lui apprenait rien de nouveau.
Résultat ? Un vent de liberté avait fini par souffler autour de lui. Quelques mois à tenir pour eux, après tout, il était bientôt majeur et pourrait sortir et faire ce qu’il voulait ensuite. Bien sûr, cette fois, il avait perdu tout ce qui lui permettait d’être confiant et il n’avait aucun moyen réel pour rentrer chez lui. Mais il fini par se dire qu’il était bien capable de tout recommencer. À force de patience et d’ingéniosité, il avait réussi à accéder à un téléphone pour prévenir Noémy de ce qu’il s’était passé. Elle, venait de perdre sa mère durant l’accouchement de sa petite sœur, malgré son exaspération sur la situation, elle ne pouvait donc rien faire, pas même l’aider ou le rejoindre, malgré l’envie qui la taraudait. Le reste du groupe avait explosé, et elle espérait et voulait réellement qu’il ne reparte pas et qu’il se débrouille pour recommencer les choses ici, loin de ses parents, mais de bien les recommencer. Ils n’eurent pas le temps de se quitter réellement puisqu’on le surprit là où il ne devait bien évidement pas être. Il les avait foutu en rage et ses doigts et son épaule se souviendraient sûrement très longtemps de sa punition, mais ça ne comptait pas vraiment.
La semaine qui suivit, il ne parla pas plus qu’à son arrivée. En revanche, ce qui suivit fut un magnifique ramassis de l’enfant qui vivait en lui et que la dernière année passée auprès de ce qui aurait pu être une famille soudée au moins pour quelques temps de plus, avait réveillé à la perfection. Nouvelle envie de faire ce qu’elle lui avait demander du mieux qu’il le pouvait. Parce qu’elle avait raison et qu’il en était parfaitement conscient. Il ne devait pas sombrer de nouveau et il savait parfaitement ce qu’il comptait faire. Une certaine lettre était arrivée en début d’année. cela faisait bien des années qu’il en recevait mais ne pouvait y avoir accès chaque fois. Mais ce fut le cas cette fois ci, sauf que l’école avait changé, elle n’était pas loin, il le savait, il pourrait toujours bien se débrouiller pour la trouver.
Plus que quatre mois a tenir. Le lendemain il était dehors. Tout une agitation derrière lui. Ils devaient avoir griller les quelques fusibles qui ne marchaient plus, la glue dans les bottes, le lit vide et pourtant toutes les portes parfaitement fermées.
Libre malgré son corps entièrement dévasté par les nombreuses punitions et batailles qu’il avait essuyé.
Un petit sourire au lèvre malgré tout ce qu’il avait pu vivre. Une envie d’aller bien plus loin que les cris, une envie de ne plus se laisser démonter, une envie de juste être cet enfant qui avait voulu grandir trop vite. Besoin de s’amuser un peu, de faire ce qu’il voulait puisqu’il avait passé sa vie à se faire balloté d’un point à un autre. Sauf que cette fois ci, son besoin de liberté ne se manifesterait pas par ce rejet de l’autorité qui l’avait finalement conduit à une addiction trop importante. Et il avait bien trop souffert deux fois de suite pour s’en sortir. Véritable torture psychologique et physique. Marre. Amusement d’enfant, bonheur puéril, mais c’était ce qu’il adopta comme technique pour se sentir enfin bien dans sa peau. Même s’il avait beaucoup perdu et que tout était à refaire, il mit tout d’abord un bon moment avant de trouver comment se renseigner sur cette école de sorcellerie. Il partait de rien, absolument rien, sans même avoir d’identité ici. Mais ce ne fut pas dans les rues qu’il se construisit de nouveau une identité. Petit gamin avec sa guitare en travers du dos, son style qui faisait qu’il ne pouvait passer inaperçu, son irrémédiable bonne humeur et son apparente insouciante. Il semblait juste se foutre de tout. Des tatouages un peu partout, certain masquant une bonne partie de ses nombreuses cicatrices, certaines ne pouvant échapper pourtant à la perception des autres. Mais qui doutait une seule seconde qu’il fut quelqu’un qui avait subit quoi que ce soit ? Au final il était le petit barge avec ses folies passagères qui amusait son monde sans arrêt. Ok, il en exaspérait un bon nombre aussi, mais au final, il était apprécié. Alors, durant toute une année, il joua avec tout ce qu’il pouvait, passant quelques fois à la télé de la ville, ayant peut être un chouya trafiqué les programmes avec ses conneries. Il faisait tout ce qu’il voulait, faisait le con sans arrêt, voilà tout. Et c’était exactement ce qu’il avait voulu. Et puis, finalement, vacances scolaires, les dernières étant donné qu’il avait abandonné les cours depuis bien longtemps maintenant. Il savait où aller et comment s’y rendre. Ayant rencontré d’anciens élèves avec qui il avait fraternisé, il fini par connaitre le minimum qu’il fallait qu’il sache et on lui permit de s’acheter de quoi pouvoir suivre les études qu’il avait écher depuis huit ans maintenant. Dix-neuf ans depuis peu et il apprit que, finalement sa mère avait un peu pensé à lui. Peut être avait elle comprit qu’il ne resterait pas enfermé dans le centre de redressement, peut être avait elle finalement voulu qu’il aille découvrir la magie comme tout autre gosse. Pas que ça l’attirait réellement en fait, mais il voulait partir de quelque part et ne pas passer sa vie à jouer sans but comme il l’avait fait durant toute une année. alors il eu de quoi s’acheter des instruments d’une qualité passable. En effet, il n’avait pas tout utilisé, ne comptant réellement pas passé comme un gosse de riche comme durant toute son enfance. Il n’avait plus aucun rapport avec ses parents, mais il dû tout de même se rendre à l’évidence, il ne savait pas comment gagner de l’argent de ce monde et n’irait pas loin sans. Alors il avait plié l’échine, une fois de plus, laissant un petit mot dans le coffre à son nom. « la der des der. Adieu. Takuma. » Et, oui, contrairement à ses apparences de gosse sans culture, il en avait beaucoup. En une année, il avait eu le temps d’apprendre bien des choses, même sur ce qui concernait la magie. Combien d’ouvrage il avait avalé ? Un bon nombre. Mais il doutait réellement changé en ce qui concernait les cours. Il n’aimait pas montrer ce qu’il savait. Mais il le savait, c’était déjà bien et il passerait ses examen même s’il savait à l’avance qu’il exaspèrerait bon nombre de ses professeurs. Surtout s’il commençait en première année.
Ce qui ne fut pas le cas. Arrivée là bas malgré bien des péripéties qu’il n’avait pas vraiment attendu, il se trouva sans robe de sorcier devant le choixpeau, costar cravate à sa façon, c’est-à-dire pas franchement conventionnel. De toute manière à l’arrivée du gosse, de sa guitare, de ses piercings, son sourire et ses tatouages, personne ne douta une seule seconde qu’il ne fut pas quelqu’un de très sérieux. De un parce que vu son âge, il n’avait pas à participer à la cérémonie, mais ce fut ce qu’il fit, les jambes tendus et une grimace en attendant la réponse du chapeau magique. Une réponse que personne n’avait douté alors qu’une sorcière cherchait à le faire descendre.. Bon, d’accord, il s’était peut être relevé pour aller hors de sa porté en courant comme un gosse.
" Ravenclaw ! En neuvième année !"
Posant un regard interrogateur sur la professeur qui n’en croyait manifestement ses oreilles, il attendit les explications qu’il connaissait pourtant très bien. Lui, dans une maison d’élèves sérieux ? Ben ils allaient être servis tient ! Mais en réalité, lui savait très bien pourquoi ce choix. Ou du moins, il s’en doutait. Au final, il savait bien des choses et aimait apprendre. Il n’aimait juste pas la manière scolaire et entouré d’autres élèves de le faire. Il était barge, ça, il le savait. Et s’ils n’avaient pas encore assez de troubles faits, et bien maintenant c’était fait. Cela dit, quelques élèves riaient déjà, ainsi qu’un professeur semblait -il … un prof de cet âge là ? Et de sa nationalité aussi tient.
Ça promettait.
Mais, manque de pot, d’une école, le lieu s’était bien vite transformé en prison macabre. sauf qu’il n’avait pas perdu son esprit de gosse hyperactif, ce qui ne manquait pas d’en exaspéré quelques uns. Surtout qu’il ne se faisait que très rarement attrapé le con. Et il y en avait un que ça faisait bien rire. Les autres.. moins.
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Think About Me.
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Takuma Ishida Hayato
Génie de supérette
Takuma Ishida Hayato
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Takuma Ishida Hayato
Dim 28 Fév 2010 - 11:52
Putain j'ai reconnu ton style tout de suite, j'étais certaine que c'était toi xD
Encore un
Enjoy ♫
Enzo S. Ryans
Chaton. Le seul et l'unique
Enzo S. Ryans
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Enzo S. Ryans
Dim 28 Fév 2010 - 12:07
eeeeeeeeeeeeeet ouais XD Jsuis une malade xDDD
gros manque d'écriture surtout je crois XD pu qu'un chapitre et l'histoire est faite XD
(en même temps qui d'autre écoute une chanson et pooooooooooooof le soir même a presque fini un perso avec pour vava le chanteur de la chanson ? XD aloooors qu'elle en chie déjà avec ses cours et les autres persos ? XD)
=)
Takuma Ishida Hayato
Génie de supérette
Takuma Ishida Hayato
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Takuma Ishida Hayato
Dim 28 Fév 2010 - 12:20
Je dirais toi ... et moi
*Tente de rattraper les deux qu'elle tient en laisse pour pas les laisser s'échapper*
Enzo S. Ryans
Chaton. Le seul et l'unique
Enzo S. Ryans
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Enzo S. Ryans
Dim 28 Fév 2010 - 12:33
ouais mais de toute évidence, ça peu pas être toi, tu serais au courant quand même j'pense XD
Histoire bientôt finie (jsuis au choix de la maison XDDDD)
pas bouger =O XD
Takuma Ishida Hayato
Génie de supérette
Takuma Ishida Hayato
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Takuma Ishida Hayato
Dim 28 Fév 2010 - 12:34
Oh tu sais des fois je suis tellement à l'ouest xD
Ah le choix de la maison, pas simple --'
Enzo S. Ryans
Chaton. Le seul et l'unique
Enzo S. Ryans
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Enzo S. Ryans
Dim 28 Fév 2010 - 12:41
Ah si, très simple et ça fait une partie totale de sa personnalité un chouya barge XD
Finiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Ouais 'fin peut être pas jusqu'à avoir une seconde personnalité qui fait des persos sans t'en parler XD Nouveau syndrome en psychologie Xd
Takuma Ishida Hayato
Génie de supérette
Takuma Ishida Hayato
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Un nouveau déjanté et qui plus est Jap' tu m'en diras tant
Hâte de faire mumuse =D (je lis après hein =D)
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Dim 28 Fév 2010 - 16:36
wouhouuuuuuuuuuu j'ai eu des bonjouuuuuuuurs
t'aimes bien tous mes asiats, Jude XD Pour une fois, pas un dangereux ou un qui perd les pédales, étrange XD Mais bien fun aussi
Viiiiiiive les déjantés made in Normandie Japonisée XD Jt'en pris ^^ au tel c'est pas top XD
Takuma Ishida Hayato
Génie de supérette
Takuma Ishida Hayato
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Takuma Ishida Hayato
Dim 28 Fév 2010 - 16:47
Ton avatar est fun en tout cas Oops Copyright Clem pour ce smil xD
Enzo S. Ryans
Chaton. Le seul et l'unique
Enzo S. Ryans
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Enzo S. Ryans
Dim 28 Fév 2010 - 17:27
Je trouve aussi merci XD bon, jme suis pas foulée et vu que jsuis pas top en graf', ya mieux, mais de toute manière, j'espère avoir des vavas funs XD Quand je me remettrais au graph', y'auras peut être de quoi
*fait en prime les yeux doux à Gaby style de rien*
nan mais de toute façon jl'aime bien celui là XD Mais ce qui est bien avec le perso et Miyavi, c'est que vu la dose de photo, ya de quoi faire XD des classes, des funs, des sombres, des colorés bref XD pis pour une fois ya pas ce problème récurant : "mais pourquoi ils sourient tous sur leurs photos ? OO" lui aussi il sourit tuot le temps XD et les photos où c'est pas le cas, le côté triste, ça lui va aussi, c'est l'intérieur et le côté classe... ben logique, ça lui va aussi XD
Takuma Ishida Hayato
Génie de supérette
Takuma Ishida Hayato
Âge personnage : 22 ans Hiboux postés. : 5488 Date d'inscription : 27/02/2010Crédits : A[-]P - Disney Fantasy Double Compte : Marek, Maxence, Sovahnn, Alec, Jordane et Callum
Takuma Ishida Hayato
Dim 28 Fév 2010 - 17:40
Bon je te confirme *paulo* j'sens qu'avec Aileen ça va être fun xDDDDDDDDDDDDD
Edit: Ouiii Chiwie j'te ferais des vava si tu veux XDDDDDDDDD mais pas tout d'suite j'ai la flemme =D
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Dim 28 Fév 2010 - 18:23
ooooooooh oui, ça va être fun XDDD
kiouuuuuuuul <3 (cool XD)
Takuma Ishida Hayato
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Takuma Ishida Hayato
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Takuma Ishida Hayato
Dim 28 Fév 2010 - 18:43
Hey ta fiche perso racaille !! *sors*
Enzo S. Ryans
Chaton. Le seul et l'unique
Enzo S. Ryans
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Enzo S. Ryans
Dim 28 Fév 2010 - 18:52
OO mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu OO quel erreur de bleue XD
Takuma Ishida Hayato
Génie de supérette
Takuma Ishida Hayato
Âge personnage : 22 ans Hiboux postés. : 5488 Date d'inscription : 27/02/2010Crédits : A[-]P - Disney Fantasy Double Compte : Marek, Maxence, Sovahnn, Alec, Jordane et Callum